Les Villes Gallo Romaines

prochain empire Egyptien. * La Mésopotamie : au environ de l’an 3mille avant JC il existe un Empire sémite, la cité la plus connut est celle de Babylone empire constitué par un grand nombre de cités elles sont dirigés par des monarques ce sont des villes. Autour de 1800, le roi HAMMURABI est un roi unificateur des cités, ainsi, il va construire un empire, il va écrire un code de loi très important. Le code va être diffusé dans toute la partie orientale. * L’empire Hittite : correspond à l’Est

considérer que l’histoire peut être divisée en quatre grandes périodes : - La première période : L’Antiquité : depuis l’invention de l’écriture en 3000 av JC jusqu’à la chute de l’Empire Romain d’Occident en 476. Mais même après l’échec de l’empereur Romulus Augustule, beaucoup d’éléments du système romain fonctionnent encore ce qui ne peut pas laisser à penser à une rupture complète. - La deuxième période : Le Moyen Age : de 476 à 1492. Le Moyen Age comprend plusieurs sous périodes : le Haut

 Droit : définition par un juriste de l’empire Romain (dynastie des Sévères, 193-235) Ulpien. Sa définition du droit est implacable. Pour lui, l’art qui permet de rendre à chacun ce qui lui est dû. Le droit peut s’accommoder de l’équité mais ne recherche pas systématiquement l’équité. Il est et restera un moyen de garantir l’équilibre du corps social. Le droit s’relève de la contrainte publique, qu’elle soit consentie ou subie. Le droit procède et a toujours procédé d’un rapport de force. Le

façonné nos existences. Il faut donc se défaire de cette idée d’illusion de l’instant et faire une place à l’histoire. Il faut dépasser l’orientation individualiste, il faut considérer le droit dans l’histoire, c’est aller à la rencontre des peuples (romains ne sont pas des francs). On doit accepter la personnalité historique des peuples mise à mal par l’orientation historique individuelle (d’ordre communautaire) et accepter aussi la difficulté de restituer la vie des hommes du passé (source lacunaire)

Exposé TD Moderne : l’ordonnance de Villers-Cotterêts (1539) BIBLIOGRAPHIE ⦁ MARION, Marcel, Dictionnaire des institutions de la France, XVIIe-XVIIIe siècle, Paris, Picard, 1079 (reproduction), 564p ⦁ JOUANNA, Arlette, La France du XVIème siècle, 1483-1598, Paris P.U.F, 1996, 688p. CHAP 1, p.25 ⦁ JACQUART, Jean, François Ier, Paris, Fayard, 1981, 435p Ordonnances (Marion Marcel) Les ordonnances étaient des lois promulguées par les rois pour être exécutées dans tt le royaume et qui avaient

du quatrième concile de Latran (1215), disant que celle-ci consiste en une mauvaise utilisation de la religion au profit des hommes. L'Église est bientôt appuyée par les rois de l'époque, dont surtout Saint-Louis (1215-1226-1270), ainsi que par les villes qui commencent à prendre leur indépendance et où apparaissent déjà des rudiments de réflexion. Le duel parvient tout de même à survivre, mais se voit donner quelques formalités, afin qu'il perde son caractère de vengeance privée. Sa subsistance a

Microsoft® AUX COMMANDES DE Flight Simulator X Bernard Jolivalt customer 36013 at Sun May 22 00:50:32 +0200 2011 Propriété de philippe gallo flight-livre.book Page I Lundi, 19. février 2007 7:27 19 Aux commandes de Microsoft Flight Simulator X Bernard Jolivalt customer 36013 at Sun May 22 00:50:32 +0200 2011 Propriété de philippe gallo flight-livre.book Page II Lundi, 19. février 2007 7:27 19 Pearson Editions a apporté le plus grand soin à la réalisation de ce livre

justice du seigneur est concurrencée, contestée par les communautés : les villes. Au 12e siècle, les villes se développent et contestent la justice du seigneur. On trouve des villes franches, elles restent sous la tutelle du seigneur, elles ne possèdent pas de juridiction propre mais le seigneur leur accorde des chartes de franchise dans lesquelles il accorde aux villes franches des privilèges judiciaires. Les bourgeois des villes franches obtiennent une tarification propre des amendes et que le seigneur

Introduction Droit : racine grecque « recte » peut désigner ce qui est droit → idée de règle. Racine romaine « jus » → idée de justice. De nos jours, tous les historiens s'accordent à dire qu'il n'y a pas de véritable définition du droit. Cornu lie le droit à la règle, il peu désigner la droite conduite dictée par les règles → mais idée de règle ne suffit pas à elle seul pour faire le droit. Pour le romains, le droit est l'art du bon et du jus : « jus est ars boni et aequi ». Les grecs avaient distingué

au Droit M.Ducos : Rome et le Droit, livre de poche 1996. E.Gasparini : Introduction historique au droit et aux institutions Droit positif : droit appliqué à une époque donnée Voltaire : « l’histoire de l’empire romain est celui qui mérite le plus notre attention car les romains ont été nos législateurs et nos maitres, leur lois sont encore en vigueur dans la plupart de nos provinces et on aime a voir la petite source d’un torrent qui à inonder la moitié de la terre.» Dès qu’il y a société