Les Voyages De Gulliver Lumières

était la colonisation. On retrouve cette critique dans Supplément au Voyage de Bougainville, écrite par Diderot en 1772. Le texte évoque une société tahitienne utopique, mais Diderot met en question les principes de la société. Il soulève également le problème du colonialisme. Il dénonce une société colonisatrice, injuste, immoral, violente, face à un monde libre, simple et tolérant aux autres. On retrouve bien les idées des lumières, c'est-à-dire le combat pour la liberté, la tolérance et l’égalité

Thomas More correspond à une description (voir para-texte) de la ville imaginaire nommée Utopie (étymologie grecque « ou » et « topos » signifiant respectivement « non » et « lieu »). Ce texte est donc un texte utopique. Le document B, Les voyages de Gulliver écrit par Jonathan Swift, est lui aussi un récit utopique. En effet, l'auteur raconte les aventures de son héros chez les Houyhnhnms qui sont en réalité un « peuple de cheveux extraordinaires ». On peut donc remarquer dès le para-texte que cette

célèbres: D'Alembert, Diderot, Montesquieu, Rousseau et Voltaire réfléchissent sur les individus et la société qui les entourent. C'est la démocratie, en Amérique, et la monarchie parlementaire en Angleterre, qui vont influencer les philosophes des lumières. Ils vont rédiger l'Encyclopédie, ouvrage de connaissances générales, et critiquent le pouvoir royale et manifeste leurs oppositions. L'encyclopédie s'adresse aux gens cultivés et instruits et influencent les intellectuels de la société. Les

1677-1679. * Les Aventures de Télémaque de Fénelon, 1699. ------------------------------------------------- Les utopies des Lumières * Libertalia dans « Histoire Générale des Pyrates de typiak » de Daniel Defoe, 1724. * L'Île des esclaves et La Colonie de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, 1725. * Voyage au pays de Houyhnhnms, quatrième des Voyages de Gulliver, de Jonathan Swift, 1726. * L'Eldorado dans Candide (Chapitre XVIII) de Voltaire, 1759. * La Vérité, ou le Vrai système

Recherche sur LES LUMIERES, à partir de l’exposition visuelle : «  Les Lumières, un héritage pour demain ». I• Les Lumières : L’esprit des lumières. 1) Cette époque est appelée « Lumières » car dès la première moitié du XVIIIe siècle, surgissent partout en Europe des idées nouvelles qui, à travers la métaphore de la lumière évoquent le passage de l’obscurantisme à une pensée et une action libres, éclairées par la raison, qui est donnée en partage à tous les hommes de la terre.

tragiques et ses épopées. Il cherche à faire imprimer La Henriade en Angleterre. Il écrit à George 1er en automne 1725, il présente son ouvrage comme une incitation à la liberté et à la lumière. C'est pour trouver des valeurs qui sont déjà les siennes qu'il a décidé de partir en Angleterre, l'écrivain des Lumières se dessine déjà en lui. Il se trouve ruiné, dans un pays où il est, au début, isolé, et il tombe malade. Il se replie dans une colonie de réfugiés français, et va retrouver le marchand Falkener

INTRODUCTION AU CONTE PHILOSOPHIQUE I / Le Siècle des Lumières Le XVIIIème siècle a été surnommé «  le Siècle des Lumières  » : cette expression désigne par une métaphore une période au cours de laquelle les philosophes ont essayé de faire évoluer la pensée, les idées. Le mot « lumières » signifie au sens figuré la connaissance, le savoir, l’intelligence. En effet, c’est par la connaissance et la réflexion que les philosophes veulent

questionnent sur les droits des hommes. Toutes ces réflexions, amènent a demander une libération du peuple. Avec leurs voyages, les philosophes découvrent des manières de vivre et des modèles d'organisation social différentes (ex : voyages de Voltaire et Montesquieu dans toute l'Europe, correspondances de Diderot avec Catherine II de Russie…). Après 1760 on assiste à une légère avancée des Lumières dans les milieux sociaux moins aisés. Les philosophe, veulent que le peuple ait des connaissance culturelles

donc étudier chacun de ces textes pour percevoir les différentes imperfections de l'homme et les stratégies utilisées suivant ces auteurs. Dans le texte A, Les Voyages de Gulliver, Chapitre IX (1726) écrit par Jonathan Swift, on distingue un contraste marqué entre les chevaux du pays des Houyhnhnms et les Yahoos. Pour cause, Gulliver revenant de son Angleterre, un pays dit « civilisé » rentre dans un pays où les animaux ont le comportement des hommes (civilisés) et où les hommes sont considérés

« le lieu du Bon ». Si de ces deux mots, seul le premier passera à la postérité, ils n'en sont pas moins complémentaires pour décrire l'originalité de l'Utopia de More. En effet, cette œuvre a pour caractéristique d'être, d'une part, un récit de voyage et la description d'un lieu fictif (utopia) et, d'autre part, un projet d'établissement rationnel d'une société idéale (eutopia). Ces deux aspects du texte de Thomas More ont amené à qualifier d'utopie des œuvres très différentes. Les précurseurs