Les états Européens Et La Question Sociale En Europe Au Xixème Siècle

grecque, car les Grecs furent les premiers à réfléchir à la réalité politique, et à la signification de la vie en communauté. Il y a une démocratie grecque, une seule qui puisse être étudiée, car documentée, et c’est celle d’Athènes aux IVème et Vème siècle av JC. Cela a correspondu à un véritable bouillonnement intellectuel. Il ne faut cependant pas confondre citoyenneté et démocratie. Sparte, la grande rivale d’Athènes, n’est pas une démocratie, mais est une cité qui se fait la gloire d’être « la cité

Exposé L'immigration en Europe de la fin de la première guerre mondiale à nos jours. L'immigration depuis la première guerre mondiale en Europe est un champ d'étude devenu important dans le processus de construction de l'Union Européenne. A une époque ou les frontières sont de moins en moins effectives au sein de l'UE, c'est la question de l'identité nationale qui fait surface dans les débats politiques de ces dix dernières années dans chacun des États membres. Ces débats sont probablement

l'architecture 1750 – 1914 : Europe, Colonies et Empires. 1. Introduction. Révolutions et transformations épistémologiques, techniques, économiques, politiques. Architecture, histoire et industrie. Prémices : architecture et Lumières: science, archeologie, histoire. Néoclassisicme. Stuart et Revett, Leroy, Piranèse. Boffrand, Ledoux 1, Soufflot. Robert Adam. la ville des Lumières. Les fondements du Néo-classicisme : un tournant vers le milieu du XVIIIème siècle. XVIIIème et XIXème. Néoclassicisme

au long du semestre la question de la mondialisation, les rapports étatiques, les Etats imposent des réflexions nationales, unilatérales. Mais les Etats sont toujours présents, ce qui constitue le modèle Etat-Nation-Territoire. Il y a de plus en plus des aires culturelles, des aires linguistiques qui dépassent les Etats et des aires religieuses, qu’il y a une interpénétration du religieux dans le politique. Dans une dernière partie, à l’intérieur des frontières des Etats, il y a d’autres fractures :

LES REVOLUTIONS DE 1848 : ENTRE ASPIRATIONS DEMOCRATIQUES ET IDEE DE NATION. Souvent qualifié de « siècle des nationalités », Le XIXème est coupé d’un évènement majeur que sont les Révolutions de 1848. Elles symbolisent en effet une étape charnière entre la première partie du siècle, éveil des nationalités, et la période qui suivit les révolutions, caractérisée par la formation d’Etats-Nations. Parallèlement, les peuples, et en particulier ceux chez lesquels le problème national se trouve déjà

technique de l’observation (O) en sciences sociales L’O telle que nous l’abordons dans ce cours n’a pas toujours eu la même signification ni le même crédit. Cette séance se propose donc de retracer –rapidement- les différentes trajectoires et étapes de l’institutionnalisation de cette méthode de recherche qu’est l’O. L’histoire de l’O est liée essentiellement à deux dynamiques qui sont interdépendantes : • A l’histoire des disciplines des sciences sociales • Aux différentes traditions nationales

Antoine Prost est un historien spécialiste de la France du XXème siècle (société, mentalité et éducation). Il est né en 1933, ancien élève de l’Ecole normale supérieure, agrégé d’histoire il soutint sa thèse en 1973 sur Les anciens combattants et la société française (1973, Presses de la FNSP). Il est professeur à l’Université Paris 1 et à l’Institut d’Etude Politique. Il a également mené des travaux sur la question de l’éducation ce qui l’a amené à participer à de nombreuses commissions

compte les modifications structurelles des sociétés. John Stuart Mill (économiste du XXème siècle): il existe deux types de recherches en sciences sociales : ♣ Le premier type consiste à étudier les effets produits par des causes spécifiques dans « un état de société » donné, qui inclut le désir de richesse. Un « état de société » s’agit d’une configuration à un instant donné des principaux faits sociaux tel que «  le niveau de connaissance, de culture intellectuelle ou morale atteint par la communauté

des autres continents par une superficie nettement moindre, seule l’Australie est comparable à cet égard. Ces deux éléments conduisent donc à l’idée que l’Europe est également une question liée à l’affirmation d’une identité commune qui la distingue des autres territoires. Q2 Une identité affirmée ? L’identité européenne se compose d’un fort héritage commun, culturel et économique. C’est celui de la chrétienté qui a profondément marqué l’Europe, mais qui présente toutefois une diversité à travers

sur nos origines humaines. Et cela, nous le devons à la science et non pas aux religions. Durant des siècles, les religions eurent le pouvoir sur le savoir : l’école (pour les plus riches) était gérée par l’Eglise Catholique en Occident, et tous ceux qui souhaitaient contredire l’Eglise sur certains points scientifiques s’exposaient à de graves répercussions. Par exemple, Galilée au XVIIème siècle fut persécuté par l’Eglise à cause de sa théorie de l’héliocentrisme, qui plaçait le Soleil au centre