Lesthétique Naturaliste

Le mouvement littéraire naturaliste, influencé par la révolution scientifique et industrielle, naîtra en en réaction contre l'idéalisme et le romantisme. Zola, qui définira véritablement les lois du Naturalisme, déclarera ainsi : "... tout écrivain, qui, le voulant ou non, emploie la formule scientifique, reprend l'étude du monde par l'observation et l'analyse en niant l'absolu, l'idéal révélé et irrationnel". Il exposera ses théorie dans ses romans manifestes (L'Assommoir, Nana, 76 et 79) et

définitivement à Downe .Il s intéresse aux écrits de Thomas Maltus et de Lyell qui l influence fortement .Il écrit certains écrit durant ces années. Mais en 1858, il apprend que Alfred Russel Wallace, un naturaliste, prépare lui aussi une théorie sur l évolution. Poussé par Lyell , il travaille avec Russel et en 1858 il présente leurs travaux à la Linean Society of London . Il élabore ensuite la théorie de l'évolution biologique ,basée sur l'adaptation des

refus de l’interprétation hâtive non fondée. Le romancier vérifie expérimentalement dans ses romans le rôle des déterminismes sociaux et biologiques sur l’individu et le groupe. Par exemple, la série des " Rougon-Macquart " illustre le démarche naturaliste qui vise à expliquer les comportements sociaux par l’hérédité. La littérature se doit donc de dépeindre la nature et ses réalités sans recherche de valorisation esthétique. Le naturalisme renforce ainsi certains caractères du réalisme. Différence

Céard ou encore Zola ont suivi ce mouvement, Zola en étant le précurseur ce dernier ayant écrit les Rougeons Macqart ensemble d'oeuvres naturalistes. En quoi le naturalisme permet l'accès à la découverte et à la connaisance de différents milieux sociaux et différentes époques ? Pour répondre à cette question nous étudierons tout d'abord comment les romans naturalistes sont fondés à partir d'une étude précise, presque scientifique sur le sujet à traiter. Ensuite, nous examinerons comment l'instauration

son premier ouvrage, "Contes à Ninon" à l'âge de vingt-quatre ans et fréquente les républicains. Puis il se lance dans une carrière de journaliste engagé.Son premier succès, le roman "Thérèse Raquin", luEmile Zola entreprend une immense oeuvre naturaliste, "Les Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second empire", une saga constituée de romans réalistes et "scientifiques". Ce projet l'occupera pendant un quart de siècle. i vaut de nombreuses critiques de la part de

utilise aussi ce mot dans le vocabulaire scientifique pour désigner le caractère naturel d'un phénomène. Ce terme tomba en désuétude jusqu'en 1857 au moment où la Revue Moderne publia une critique. Celle-ci qualifia la peinture de Gustave Courbet de naturaliste, dans le sens de « peintre de la nature réaliste ». Henri Mitterand distingue deux périodes dans le naturalisme théorique de Zola qu'il situe au carrefour du Romantisme (Jules Michelet et Victor Hugo), dont il a été imprégné

écoles élémentaires juives du voisinage, puis, de 1866 à 1873, l'école secondaire. Brillant élève, il est le premier de sa classe pendant ses sept dernières années de scolarité secondaire au lycée communal (Sperlgymnasium). Il a pour professeurs le naturaliste Alois Pokorny, l'historien Annaka et le politicien Victor von Kraus[D 8]. À l'âge de 8 ans, Freud lit Shakespeare, Homère, Schiller ou Goethe[B 3],[A 1]. Il apprend également l'espagnol, certainement aux côtés d'Eduard Silberstein, son ami d'enfance

(Littré). En esthétique, le terme désignait la doctrine qui donne pour but à l'art l'imitation fidèle de la nature : c'est dans ce dernier sens que Baudelaire appelle Balzac un « naturaliste ». 2. ZOLA ET LE GROUPE DE MÉDAN Émile Zola à sa table de travail Zola parle déjà des « écrivains naturalistes » dans sa préface à Thérèse Raquin en 1867 ; c'est à la même époque qu'il conçoit le projet des Rougon-Macquart sur le modèle de la Comédie humaine, de Balzac : ce vaste cycle

d'une documentation poussée. L'auteur émet alors une hypothèse qu'il vérifie ensuite à l'aide d'une expérimentation. On a qu'à penser au roman Thérèse Raquin d'Émile Zola où on retrouve des descriptions assez réalistes... • Germinal est un roman naturaliste : il a l'ambition de décrire la vie réelle. Au peuple, Zola emprunte ainsi son langage et ses mœurs ; il décrit avec beaucoup de minutie le monde de la mine et ne recule pas devant les termes techniques. L'histoire est réaliste mais développée de

termes commencent à être appliqués à la peinture : Baudelaire (Salon de 1846) oppose les coloristes, peintres du Nord, et les naturalistes, peintres du Midi, « car la nature y est si belle et si claire que l'homme [...] ne trouve rien de plus beau à inventer que ce qu'il voit ». Mais c'est surtout le critique d'art Castagnary qui suggère l'émergence d'une « école naturaliste », dont il dit, dans son Salon de 1863, qu'elle affirme que « l'art est l'expression de la vie sous tous ses modes et à tous