Lettre A Paul Demeny Rimbaud

Honoré de Balzac, né à Tours le 20 Mai 1799 – mort à Paris le 18 Août 1850 – classé dans le Réalisme. Après ses études dans sa ville natale, à seize ans, il continue sa formation à Paris dans le droit. Puis à vingt ans, il abandonne le droit pour la littérature. Sa famille lui donne deux ans pour faire ses preuves et ces deux années constituent l’apprentissage du romancier. Il publie des essaies, dont il n’est pas satisfait, sous des pseudonymes. Il obtient de nouveaux délais et continuent ainsi

textes : le premier chant de l’œuvre « Art Poétique » a été écrit par Nicolas Boileau, le second est un extrait des Contemplations de Victor Hugo et le dernier est la « Lettre du Voyant » de la main d’Arthur Rimbaud, originalement adressée à Paul Demeny. Tous trois expriment une vision de la poésie bien particulière et personnelle. Nicolas Boileau à travers son poème nous communique sa vision de la poésie : c’est un art difficile, qui doit répondre à des exigences particulières. Selon lui, il faut prendre son

inspiré par le symbolisme : Arthur RIMBAUD (1854-1891) 1) La « Lettre du voyant » de Rimbaud à son professeur Paul Demeny (15 mai 1871)  [… ] Je dis qu'il faut être voyant, se faire voyant. Le poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. Toutes les formes d'amour, de souffrance, de folie ; il cherche lui-même, il épuise en lui tous les poisons, pour n'en garder que les quintessences. Ineffable torture où il a besoin de toute la foi, de toute la

lyrique est centrée sur le "moi", chante le malheur, le bonheur, les doutes et les craintes de l'auteur. Elle permet à l'auteur de faire part des émotions intenses, des sentiments, de l'affectivité qui caractérisent l'être humain. Anna de Noailles, dans J'écris, dit ainsi "J'ai dit ce que j'ai vu et ce que j'ai senti". Le poète, par l'utilisation du "je", se place en position centrale. A travers ce "je" auquel chacun peut s'identifier, il incarne la condition humaine au travers de l'expression des sentiments

message que Charles Baudelaire adresse à Paris dans l’épilogue de la deuxième édition de son recueil Les Fleurs du Mal, paru en 1861. L’auteur nous y ouvre son laboratoire d’alchimie poétique où il y transforme la “boue”( le laid) en “or”( le beau) grâce à son langage poétique dont la spécificité est de faire des alliances inhabituelles. Son œuvre intégrale fera de lui le précurseur du symbolisme et inspirera les poètes qui lui succèderont, tel qu’Arthur Rimbaud. Comment l’alchimie des mots permet-elle

Sonnet pour une fin de siècle écrit par Alain Bosquet en 1980 et enfin Lettre à Paul Demeny , dite « Lettre du voyant » , une lettre écrite par Arthur Rimbaud en 1871. Nous allons voir à travers ces textes, comment ces poèmes abordent le thème des fonctions de la poésie et du poète. Tout d’abord, L’albatros est un poème à forme fixe. L'albatros traduit chez Baudelaire la conscience d'être différent des autres. Baudelaire a recours à une image très suggestive pour décrire sa propre condition dans une

d’Arthur Rimbaud Avant la lecture du texte, il faut présenter : L’auteur : Arthur Rimbaud est né à Charleville dans les Ardennes le vingt octobre 1854. Il est décédé a Marseille en 1891. C’est une figure légendaire de la poésie française : - Il a écrit ses premiers poèmes a seize ans, alors qu’il était un adolescent révolte et fuguer. - Sa carrière littéraire est très brève ; il cesse d’écrire aux environs de 1875 pour aller faire du commerce et du trafic d’armes notamment a Aden au Yémen

en particulier grâce à Valéry Brioussov, poète et fondateur du symbolisme russe. Voir aussi les Préraphaëlites en Angleterre. Le mot est proposé par Jean Moréas, qui utilise ici l'étymologie du mot symbole (« jeter ensemble ») pour désigner l'analogie que cette poésie souhaite établir entre l'Idée abstraite et l'image chargée de l'exprimer. Pour les Symbolistes, le monde ne saurait se limiter à une apparence concrète réductible à la connaissance rationnelle. Il est un mystère à déchiffrer dans les

Lamartine, Poète Alphonse de Lamartine est né en 1790 à Mâcon, très jeune il est attiré par la littérature et devient un grand admirateur de Chateaubriand. A l'âge adulte pour éviter de servir Napoléon il part en Italie, à Florence, Rome et Naples, ou il assouvit sa passion pour l'Antiquité. A son retour en France, son père lui donne la charge de maire de Milly, c'est le début d'une longue carrière politique. A l'automne 1816 alors qu'il se trouve à Aix-Les-Bains pour soigner ses troubles nerveux, il

« la guerre est un fruit » à « ses courtisans », Encyclopédie (1751) | | |Voltaire, article « Guerre » de « un généalogiste » à « son prochain », Dictionnaire philosophique portatif | | |(1764) | | |Montesquieu, Lettres Persanes, Montesquieu, Lettre 24 de « nous sommes à Paris » à « de cette espèce ». | |