Lettre De Agnes à Arnolphe

la littérature, et notamment du théâtre. Molière au xviie siècle dans L’École des femmes, Marivaux au xviiie siècle dans La Dispute, Giraudoux au xxe siècle dans Ondine tirent profit de cette situation qui sert de point de départ à leurs pièces. [Rappel de la question] À quelles ressources littéraires et théâtrales ces divers dramaturges recourent-ils pour représenter cet événement fertile en troubles affectifs ? Les trois scènes présentent certaines ressemblances mais elles portent aussi la marque

Sujet : L’interrogation dans L’école des Femmes de Molière Introduction L’interrogation est une notion vaste et complexe qui recouvre plusieurs catégories d’étude. Tout d’abord, l’interrogation peut se définir grammaticalement, elle est soumise à des règles précises de syntaxe et de morphologie. Cependant, l’interrogation ayant partie prenante dans l’échange oral au quotidien, sa forme, rigide d’un point de vue grammaticale, s’assouplit pour recouvrir une multitude de formes et de sens selon

II. Le recours à l’ironie 2.1 L’ironie L’ironie est un moyen de dire, de faire entendre ou de faire lire autre chose que ce que l’on pense vraiment. Elle domine le début du texte et les trois premiers paragraphes et s'appuie entre autres sur des effets de contraste. Contrastes entre les paragraphes, entre les exemples, dans le lexique... Φ Par exemple comme : « il se donne le plaisir de l' appliquer à la grande ou la petite torture » il s’agit de comprendre que le magistrat pratique la torture

une place prépondérante vis‑ à‑ vis de l'action. - Simple nécessité dans « l'Etourdi » , la ,jeune fille devient un personnage central par la suite , - comique dans « les Précieuses Ridicules » - pathétique dans « l'Ecole des Femmes ». Cela n'est pas le fruit d'un hasard, ni d'un simple caprice d'auteur : il y a véritablement une naissance et un épanouissement de la jeune fille dans ces premières pièces, et ce rôle prend une signification importante à L'époque de « l'Ecole des femmes

L’évolution d’Agnès LA NAISSANCE DE L’AMOUR L’acte I a présenté Agnès, sans qu’elle ne paraisse en scène. Son « innocence » a été soulignée par Arnolphe, ainsi que son ignorance : « la rendre idiote autant qu’il se pourrait ». La scène 5 de l’acte II confirme cette présentation à travers son peu de conversation, par l’aveu naïf de sa rencontre avec Horace, et la façon dont elle s’est fait duper par l’entremetteuse. Cependant la fin de la scène montre déjà un éveil du sentiment amoureux

passé dix jours à la campagne, Arnolphe, riche bourgeois d’une quarantaine d’années, retrouve ses serviteurs Alain et Georgette, et Agnès, une jeune femme d’une vingtaine d’années qu’il a l’intention d’épouser le lendemain. Cette dernière ignore tout du projet d’Arnolphe. Retirée depuis dix jours du petit couvent dans lequel Arnolphe l’avait placée dès l’âge de quatre ans afin qu’elle développe certaines qualités (la simplicité, la naïveté, l’ignorance…) qui la prédisposeraient à devenir un jour

est arrivé à servir deux maîtres. Ces deux derniers négligent le fait que leur valet est employé par un autre, c’est alors que les coups de battes qu‘il reçoit sont doublés. Dans le troisième texte, L’école des Femmes, théâtre en vers écrite par Molière en 1662 dans le classicisme, le maître, amoureux d’Agnès, l’enferme pour s’assurer qu’elle ne tombera amoureuse que de lui. Il découvre ensuite que Horace menace son plan. Le quatrième texte, Les Plaideurs, est l’œuvre de Jean Racine qu’il a écrit en

voie d’une conception très « libérée » de l’amour, ce qui donne un caractère mystérieux et ambigu au personnage – au point que certaines interprétations lui attribueront une certaine malice. De toute façon, Arnolphe se retrouve victime de son propre stratagème, qui consistait à maintenir Agnès dans l’ignorance. S’ensuit un renversement des rapports de force. Comme souvent dans la comédie, le faible prend l’ascendant sur le tyran, pour le plus grand plaisir du spectateur. Le théâtre est censé nous

femmes où Arnolphe incarne un riche vieillard ridicule et jaloux, ce qui est l’inverse de la tragédie où les personnage sont plus mis en valeurs(Œdipe, Hyppolite).Nous allons donc voir comment la comédie peut être a la foie drôle et inquiétante. Premièrement nous étudierons en quoi la comédie et drôle puis en quoi elle est dérangeante notamment en nous basant sur l’école des femmes de Molière La définition du mot comique est bien claire : "qui provoque le rire, et qui appartient à la Comédie"

LE COCUAGE PLAN INTRODUCTION I. DEFINITION DU THEME II. EXPLICATION DETAILLEE DU THEME DANS LECOLE DES FEMMES III. EXPLICATION DETAILLEE DU THEME DANS LE GENERAL A] LES CAUSES DU COCUAGE 1°) LE COCUAGE PAR AMOUR 2°) LE COCUAGE PA ATTIRANCE B] LES PARADOXES DU COCUAG