Lettre De Poilus

combattants et la population de la commune. Une plus grande fraction de la population y allait, car cette génération étaient plus proche du conflit, avec des parents ayant participé à ce conflit. Cependant, les documents de la guerre, comme les lettres de poilus, les certificats militaires ou les badges étaient généralement cachés, le plus souvent dans un placard. Seuls les honneurs militaires, comme les croix ou le sabre de guerre, étaient exposés. A travers ces différents éléments, on découvre que

triste et cruelle vérité qu'il découvre en lisant les lettres de son père en cachette de sa mère. Et cette guerre est également l'occasion de dévoiler non seulement les âmes torturées, mais aussi les rencontres humaines que fait son père. C'est un homme plein de poésie, de philosophie et très attachant!.. D'un autre côté, on découvre la vie de ceux qui attendent.. La fin de la guerre, le retour des poilus, une permission, une lettre, l'appel de combattre au front... Le jeune garçon est

les prières que j’avais apprises quand j’étais tout petit, et tu peux croire que jamais prières ne furent dites avec plus de ferveur. […] Ton fils (1) qui te chérit et qui t’embrasse un million de fois. Lettre de Gaston Biron à sa mère, 25 mars 1916 (après Verdun), publiée dans Paroles de poilus, Librio, 1998 (1)- Gaston Biron a vingt-neuf ans en 1914. Il écrit régulièrement à sa mère. Il meurt le 11 septembre 1916

femmes jouent aussi un rôle important dans le bon moral des troupes : elles apportent parfois un réconfort physique, mais le plus souvent moral par leur présence à l’arrière lors des permissions ou par la correspondance entretenue avec les poilus. Les lettres témoignent de leurs préoccupations au sujet des exploitations mais aussi des combats. On relève également de longues descriptions concernant l’environnement des soldats ainsi que leurs conditions de vie(comme la description des rats, des tranchées

combattants, la douleur du deuil reste toujours vive. 2) Commémorer et se souvenir A. Le retour des combattants La démobilisation des cinq millions de soldats est lente. En ville, on fête le retour des régiments. Au village, les « fêtes des poilus » accueillent les démobilisés par des défilés, des banquets et des bals. De nouvelles cérémonies célèbrent le « retour» des morts de la guerre, quand, à partir de 1921, les familles ont obtenu le droit de ré-inhumer les corps. Les puissantes associations

ECHEC 2ième : GUERRE DE POSITION (Décembre 1914...) durant 3 ans  3ième : GUERRE DE MOUVEMENT LE RETOUR (Mars à 11 Novembre 1918) La tranchée est le quotidien des soldats FR pendant 3 ans. Un soldat FR = un poilu Quelles sont les conditions d'existence/vie quotidienne du poilu dans les tranchées ? Front occidental = principal front pendant la WW1 → il s'étend de ma Mer du Nord à la Suisse, il est situé en France et en Belgique , il s'étend sur 800 km de long pour quelques km de large

Plan : 1.Introduction 2. la lettre. ( a) genre, énoncé, énonciation. b) lexique réaliste, technique, familier et militaire. c) les figures. d) rôles des phrases négatives, interrogatives, impératives. 3. Le lyrisme. ( a) les thèmes du lyrisme. b) comparaisons et métaphores. c) la musique (quête des sens). 4.Conclusion I. La lettre Eléments réalistes. La parole du soldat, du poilu a) genre, énoncé, énonciation [pic] Lettre / énoncé de parole : locuteur = 1ère personne

et psychologique A cause de cette guerre d’usure il faut que les soldats tiennent Améliorations des conditions de vie (ravitaillement et repos) Propagande Campagne de communication (affiches) « On les auras » gll Pétin Censure presse Censure des lettres Cours de moral à l’école Stigmatisation de l’ennemie : attiser la haine et donner confiance Culture de guerre Bourrage de crane CONCLUSION Mise en œuvre des puissances européenne puis des empires coloniaux puis mondiale Egalités des forces=guerre

et à leurs élèves. Il aborde la vie quotidienne des soldats français sur le front de l’ouest à partir d’une sélection de peintures et de dessins réalisés par des artistes mobilisés, complétés d’autres sources d’information, journaux de tranchées, lettres et carnets de soldats, fonds d’archives. L’ensemble de ces documents est conservé à la BDIC-MHC, qui possède sur ce sujet des collections d’une richesse et d’une variété exceptionnelles. Lors de la mobilisation en août 1914, les soldats croient

raus ! » soit : «Dehors les Juifs ! ». Invalide 2 : Au second plan, on voit un autre invalide: il a un bras et les deux jambes enbois. Il saigne au genou. Il a aussi une barbe (référence aux poilus de la guerre). Il mendie et on voit un homme qui lui donne un timbre (référence à la censure des lettres durant la guerre). 1- Apres la Premmière Guerre mondiale (1914-1918), il y a beaucoup d’invalides car de nombreux soldats ont étés blessés par balle ou par des obus, certains ont dû être amputé