Lettre De Poilus

les rattache à leur humanité. Les couleurs sont plutôt froides (du gris, bleu, noir), elles rappellent la couleur la couleur du métal, tandis que les autres (jaune, rouge) éclairent le tableau et lui donne une dynamique.- Lettre de poilu Présentation de la lettre :

perspective en montrant la diversité et en confrontant avec l’analyse des historiens Comment s’y prendre en classe ? Les documents à privilégier sont - les sources écrites : témoignages montrant la violence subie par les combattants (lettres de poilus, récits), discours politiques (appel à la mobilisation ou communiqué de guerre montrant la propagande et la volonté de faire adhérer tout le monde), témoignages artistiques. - des documents permettant de comprendre la violence générée par

sont engagés à l’armée, les femmes elles, travaillent et remplacent les hommes alors au front. L’industrie change, et les usine de fabrication de voiture sont mobilisés afin de pouvoir construire les armes et les chars de l’armée. Au front, les poilus sont confrontés à des conditions de vie très difficiles. Ils combattent sous la pluie, dans le froid, les rats et le poux partagent leurs quotidiens, augmentant la propagation des maladies. Les soldats meurent de faim, et de soif. Les soldats côtoyaient

« Y laisser ma peau... » Mémoires de Poilus-Lettres du front. Le Nancéien Léon Guth est né dans une famille qui avait fui l'Alsace-Lorraine annexée.Il était un excellent élève de l'Ecole normale supérieure de Saint-Cloud. Il obtient son certificat en 1913 et sera mobilisé dès le début de la guerre au 26 ème régiment d'infanterie. Sergent, Léon Guth sera tué dans la Meuse le 11 avril 1916. Il aura entretenu une importante correspondance avec son père pendant toute la durée de la guerre. Le

alcoolisme (avant chaque assaut on distribue un demi litre de miaule à 65°), hygiène lamentable (d’où le surnom de poilus). L’état d’esprit des soldats est bien connu grâce aux lettre (des milliards de lettres ont été envoyées), aux journaux intime, aux journaux des régiments (ex : Tacatac teufteuf). Censure depuis 1915, la poste est sous contrôle militaire. A partir des lettres ouvertes par la censure, un rapport sur l’état d’esprit des soldats est envoyé à l’état major. Donc multiples sources

marraines de guerre. Elles écrivaient des lettres qui écrivaient et envoyaient des colis aux soldats du front, rendaient visite aux blessés dans les hopitaux . Certaine aller même sur le front voir les soldats. Beaucoup de soldats furent heureux d’ avoir des marraines de guerres car cela remonter beaucoup le moral. Image 5 : lettre d’un soldat pour une marraine de guerre. Image 6 : une marraine de guerre sur le front Image 7 :encore une lettre de marraines de guerre 6) Les conditions

nouvelles chimiques comme les gaz ont impressionné les contemporains, mais causent 1 % « seulement » des morts. 5. a. Georges gallois envoie à ses parents, restés à l’arrière, une lettre du front, écrite après cinq mois de combats incessants mais destinée à les rassurer et les informer de sa situation personnelle. La lettre est bien souvent, pendant des mois, le seul lien qui rattache le soldat mobilisé à sa famille. b. Il cite les gaz asphyxiants et les liquides enflammés. Il évoque aussi, par les

conférence à Sciences Po depuis 2002. Benoît est né en 1970 il est diplômé de sciences Po depuis 2002. Il a été conseiller d’un ministre, il est actuellement conseiller auprès du président du Louvre. Ils sont tout les deux chevaliers des Arts et des lettres. Ils ont commencé à écrire depuis 1999 surtout des contes pour la jeunesse 1999 Contes de L’alphabet 2002 Contes du grenier 2003 Le puits du diable 2003 Une nuit de Noël 2006 Contes des 6 trésors 2008 L’inconnu du Louvre 2) Présentation

guerre illustre l’état d’esprit des futurs soldats au lendemain de la mobilisation. En effet, le jeu des alliances plonge l’Europe dans une guerre dont on croyait vite en être revenu. Malheureusement ces jeunes soldats que l’on surnommera plupart « les poilus » vont vivre pour certains, ceux qui auront « la chance » de passer outre l’horreur des tranchées, cinquante deux mois d’enfer au front. L’ordre de mobilisation, le 1er Août 1914, une fois lu sur les mairies ou entendu par la voix des gardes champêtres

particulièrement durs : il fait froid et les tranchées se remplissent de boue. Les soldats, surnommés « poilus », ne sont en contact avec leurs familles que par l'intermédiaire d'un courrier censuré par les autorités pour maintenir le moral à l'arrière. Des milliards de lettres seront cependant échangées. Les permissions sont rares (après 1915, une semaine tous les quatre mois pour les poilus français). • Il est difficile de tenir dans ces conditions. Les hommes doivent s'endurcir. Pourtant les