Lettre De Sentiment Pour Une Fille

(portrait de Mlle de Chartres)- Portrait moral de la jeune fille. Elle apparait comme l’incarnation de la beauté.- On ne connait pas tout de suite son identité mais elle se fait remarquer par sa beauté. Tous les regards sont posés sur elle.- Les individus sont déterminés par leur appartenance à une « maison ». A la cour les origines sociales jouent un rôle très important, donnant de la valeur aux persos. Les qualités physiques de la jeune fille sont donc complétées par sa très haute naissance, qui attire

Préciosité . Style littéraire importé d'Espagne [gongorisme, créé par Luis de Gongora (1561-1627)]. Recherche l'expression originale et compliquée de sentiments raffinés. Madeleine de Scudéry (1607-1701), Honoré d'Urfé (1567-1625), Voiture (1598-1648). Gongorisme Scudéry, Madeleine de A créé des expressions originales et recherchées. Beaucoup ont passé de mode, exemples : achever : rendre complet ; aimer : avoir un furieux tendre pour ; balai : instrument de la propreté ; chandelle : supplément

Perspectives d’étude • Le libertinage • L’épistolarité Extraits choisis • • • • • Lettre 4 : autoportrait de Valmont Lettre 48 : lettre libertine écrite « sur le dos d’Emilie » Lettre 81 (de « sans doute » à « je suis mon ouvrage ») : autoportrait de Merteuil Lettre 100 (jusqu’à « mon sang bout dans mes veines ») : désespoir de Valmont Lettre 161 : désespoir de Tourvel Etude comparée des lettres 21 et 22 → la polyphonie et les effets de structure propres au roman épistolaire. Questions

George qui devient « Monsieur de la Dandinière », épouse leur fille « Angélique », une belle femme frivole qui le trouve inferieur à elle. Peu de temps après leur mariage, George regrette d’avoir épousé la fille des Sotenville qui le méprise tout le temps et qui n’éprouve aucun sentiment envers lui. Un jour, il apprend qu’elle écrit à son insu des lettres à un homme appelé « Clitandre », un dandy pour qui elle aurait des sentiments. Il l’apprend à travers son valet appelé « Lubin » qu’il a surpris

Les liaisons dangereuses 1/ En quoi ce texte est-il caractéristique des Lumières ? 2/ En quoi cette lettre fait-elle le portrait d’une femme revendiquant sa liberté ? INTRODUCTION : « Les liaisons dangereuses », lettre LXXXI, 1782, de Chordelos de Laclos. Courant littéraire du 18e siècle, c’est un roman épistolaire Polémique/Epidictique ayant pour thème le libertinage. TEXTE 2min REPRISE DE LA QUESTION + ANNONCE DU PLAN « En quoi ce texte est-il caractéristique des Lumières ? » Dans

elle prend l’apparence d’un homme et se déguise en cavalier pour s’immiscer parmi eux et observer leur comportement lorsqu’ils ne sont pas en présence de femmes. Elle raconte les aventures qu’elle vit dans la peau de Théodore de Sérannes dans ses lettres à Graciosa. Rosette et D’Albert sont amoureux de ce cavalier qui est la parfaite incarnation de l’idéal de beauté de D’Albert. Madeleine finira par révéler son identité aux deux amants. Rosette : Elle est la jeune femme en rose que D’Albert rencontre

faisant semblant devant sa femme, Mme Grandet, sa fille, Eugénie Grandet, et sa domestique Nanon, qu’ils sont pauvres et qu’il y a à s’inquiéter pour le futur. L’avare place tout sous clef et calcule le moindre centime dépensé. La population de Saumur voit en sa fille une belle opportunité pour s’enrichir dans leur localité. Alors, avec qui Eugénie Grandet se mariera-t-elle ? Deux clans de la riche bourgeoisie de Saumur s’attellent donc à séduire la fille Grandet de manière ardente. Les Des Grassins (une

des Lumières. Paru en 1782, il est divisé en quatre parties, et composé de 175 lettres. Scandaleux, par sa description du libertinage, il reste longtemps interdit. Il raconte les manipulations libertines de la marquise de Merteuil et du vicomte de Valmont vis-à-vis des jeunes aristocrates, la présidente de Tourvel et Cécile de Volange. (accroche avec informations sur l’oeuvre) Le passage étudié est extrait de la lettre LXXXI située dans la deuxième partie du livre. La marquise de Merteuil reproche

suite de la Révolution, Félix Grandet vit à Saumur dans une maison froide et triste. Sa femme, sa fille Eugénie et sa servante Nanon subissent au quotidien son avarice sordide, ses colères de despote. Le 15 novembre 1819, Eugénie a 23 ans. Parents et amis sont réunis quand un élégant jeune homme se présente : c'est Charles Grandet, le cousin d'Eugénie. Pendant que Félix Grandet apprend par une lettre de son frère Guillaume que ce dernier, qui vient de faire banqueroute, va se suicider et lui confie

aujourd’hui au XIIIème siècle. A partir duquel on peut considérer le roman comme une œuvre d'imagination constituée par un récit en prose d'une certaine longueur, dont l'intérêt est dans la narration d'aventures, l'étude de mœurs, l'analyse de sentiments ou encore de la passion. La deuxième partie du XVIIème siècle voit apparaître le courant du roman dit « classique », qui impose sobriété naturelle et une pureté du langage, de la parole, en apposition aux excès du baroque. Ainsi, on se peut demander