Lettre Ironique

contre « l’Infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour la tolérance et la liberté de penser. Genres : roman, conte, théâtre, essai Œuvres principales : Candide ou l’Optimisme (1759) L’Ingénu (1767) Zadig ou la Destinée (1748) Lettres philosophiques (1734) Dictionnaire philosophique (1764) Compléments : Intervenu dans différentes affaires judiciaires dont l’affaire Calas (1762), l’affaire Sirven (1764) et l’affaire du chevalier de La Barre (1766) Entré au Panthéon en 1791

vif succès car, à travers un conte satirique et ironique, Voltaire critique le fanatisme, la guerre, l’intolérance, l’esclavage et l’injustice. Et cet écrit est toujours vivant aujourd’hui ; il trouve un écho en ce XXIème siècle dans lesquels les maux soulevés par Voltaire perdurent toujours, trois siècles plus tard : les guerres, le fanatisme religieux, l’exploitation d’êtres humains, le racisme, l’intolérance Montesquieu, en écrivant les Lettres persanes (1721) se livre à une critique également

méthode du commentaire composé en six étapes, exemple expliqué, Leslie Benadiba, Prof sans frontières Montesquieu, Les Lettres Persanes, Lettre XXIV, 1721 En 1721, Montesquieu publie les Lettres Persanes. Il s’agit d’un recueil de lettres, écrites par deux Persans venus en France : Rica et Usbek. Rica est à Paris depuis un mois quand il écrit la « Lettre 24 ». Lettre XXIV. Rica à Ibben. A Smyrne. (…) Le roi de France est le plus puissant prince de l'Europe. Il n'a point de mines d'or

MONTESQUIEU Charles Louis de Secondat, baron de La Brède (18 janvier 1689-10 février 1755) Moraliste, philosophe Les deux ouvrages qui valent sa gloire à Montesquieu sont l’un et l’autre « anonymes » : Les Lettres persanes paraissent en 1721, sans que soit mentionné le moindre nom d’auteur. Les Lettres persanes mettent en pratique un regard qui commence d’être celui de la sociologie. VOLTAIRE François Marie Arouet (21 novembre 1694-30 mai 1778) Ecrivain, philosophe Impertinences et ambitions

antiphrases et des oxymores les plus provocants en passant par les paradoxes les plus absurdes jusqu’aux métaphores les plus dépréciatives. Les registres ironiques sont à tel point multipliés que parfois même ceux-ci se confondent l’un dans l’autre, tour à tour l’ironie devient humoresque et l’humour devient ironique, la satire devient ironique ou l’ironie devient satirique. La polyphonie de la dépréciation culmine alors dans une écriture multiforme. La rhétorique de l’ironie sait finalement jouer

les plus évidentes évoquent le traitement social d'individus différents d'autres abordent le désespoir qu'entraîne une mise à l'écart. La métamorphose, est aussi l'origine d'un conflit père-fils, c'est l'aboutissement d'une réflexion initiée dans lettre au père (livre que kafka adressa a son père en rapport avec leur relation paradoxale),en hypothèse l'auteur s'apparenterait à Gregor, en conflit permanent avec son père du fait de leurs différences. La métamorphose principale décrite n'est pas

Candide de Voltaire Extrait du chapitre XVIII Lecture analytique : Présentation de l’auteur : Voltaire (François Marie Arouet) célèbre philosophe des Lumières, est passée à la postérité pour ses œuvres engagées telle les Lettres philosophiques (1734) et de nombreux contes philosophiques dont le plus célèbre demeure Candide en 1759 dans lequel, par le biais de l’imaginaire Voltaire attaque la société à son temps. Présentation du texte : Le héros éponyme Candide, chassé du château de Thunder-ten-Tronck

Candide, est un livre qui a été écrit par Voltaire au 18ème siècle. Historien, philosophe des Lumières, célèbre écrivain français, Voltaire est considéré comme le chef du parti philosophique. Il est l'auteur de nombreuses œuvres tel que Micromégas, Les Lettres Philosophiques, L’ingénu. Dans Candide, l'auteur met en scène un personnage naïf qui au tout début porte un regard mélioratif sur le monde grâce à l'enseignement reçu de Pangloss. Après son expulsion du château, il assiste à une scène d'horreur

sa société. I) Du conte oriental à l’utopie 1) Le goût pour l’exotisme La description de l’El Dorado est marquée d’une touche d’exotisme qui renvoie au goût du XVIIIème siècle pour l’Orient, pour la découverte du nouveau monde (voir les Lettres persanes de Montesquieu ou Zadig de Voltaire) : « robes d’un tissu de duvet de colibri » (l83), « les marchés ornés de mille colonnes » (l96), « liqueurs de canne de sucre » (97-98), « gérofle » (l100), « cannelle » (l100), tous ces termes renvoient

contes (Candide, Zadig, Micromégas, l’Ingénu…) ainsi que des collaborations à l’Encyclopédie et des ouvrages plus théoriques comme le Dictionnaire philosophique, les Lettres philosophiques ou encore des dialogues philosophiques. Cependant, même dans ce genre d’ouvrages, son style reste dominé par un ton bref et concis, toujours ironique. 2. L’œuvre : Candide ou l’Optimisme est paru en 1759, publié par un éditeur de Genève et anonymement, sous forme de brochure. La France vit alors sous le règne