Lettre à Pomponne

la lionne, La Fontaine  ° Il y a 4 étapes qui se dégagent de ce texte. La première étape (l.1-15) est l’annonce des obsèques de la lionne comme le titre l’annonce, par les phrases suivantes « La femme du lion mourut […] Il fit avertir sa province que les obsèques se feraient ». La seconde étape (l.16-29) est la critique directe de la cour du roi. La Fontaine décrit très bien à grâces a ces animaux l’hypocrisie des courtisans « les gens tristes gais, prêts à tout, à tout indifférents, sont ce qu’il

Lettre 1 Laclos n’est guère original en publiant en 1782 un roman par lettres. C’est dans les quarante années précédant la Révolution que ce genre connaît sa plus grande vogue. Le roman par lettres correspond à une société où règne la conversation de salon, dont la lettre est le prolongement naturel. Les Liaisons dangereuses prennent la forme d’une correspondance entre plusieurs épistoliers auxquels le romancier cède son privilège d’omniscience. Il a plusieurs

les samedis, des gens de lettres. Tous les ans, elle publie un ou plusieurs tomes de ses romans fleuves, dans lesquels les habitués du salon se reconnaissent sous des surnoms: Sapho, Acante, etc.. Une querelle surgit entre Madeleine de Scudéry et l'abbé d'Aubignac, qui se disputent l'invention de la fameuse Carte du Tendre. Biographie : - Jeunesse : Madeleine de Scudéry, née au Havre le 15 novembre 1607 et morte à Paris le 2 juin 1701, est une femme de lettres française. Madeleine de Scudéry

So chic ! Elisabeth-Charlotte d’Orléans et la mode féminine au XVIIIe siècle Le musée du château de Lunéville a acquis en 2009 un intéressant portrait d’Elisabeth-Charlotte d’Orléans, qui montre la future duchesse avant son mariage avec Léopold de Lorraine en 1698. A travers les représentations peintes et gravées de ce modèle, c’est une petite histoire de la mode qui se dessine, à une époque de grands changements pour le vêtement féminin. Princesse française, Elisabeth-Charlotte d’Orléans

Première lettre Cécile Volanges à Sophie Carnay, aux Ursulines de. . . . . Tu vois, ma bonne amie, que je te tiens parole, et que les bonnets et les pompons ne prennent pas tout mon temps ; il m'en restera toujours pour toi. J'ai pourtant vu plus de parures dans cette seule journée que dans les quatre ans que nous avons passés ensemble, et je crois que la superbe Tanville aura plus de chagrin à ma première visite, où je compte bien la demander, qu'elle n'a cru nous en faire toutes les fois où

 « Madame de Sévigné a donné le ton français à nos salons, qui laissent aujourd'hui encore l'étranger bouche bée. Elle a enseigné à tout dire avec élégance, à tout supporter avec philosophie, à faire de ses plus belles souffrances, des "poulets". » Guy de Portalis Marie de Rabutin-Chantal, Marquise de Sévigné, est née le 5 février 1626, place Royale (actuellement place des Vosges) à Paris. Elle est la petite-fille de la future sainte Jeanne de Chantal, qui fonda l'ordre de la Visitation avec

ANACOLUTHE , F - (SYNT.) = rupture ou discontinuité dans la construction d'une phrase. La phrase commencée est oubliée et fait place à une autre parce que l'esprit de l'auteur est pris par autre chose que la suite rigoureuse de sa pensée ou la suite grammaticale de sa phrase. LE NEZ DE CLEOPATRE, S'IL EUT ETE PLUS COURT, TOUTE LA FACE DE LA TERRE AURAIT CHANGE. ET, PLEURES DU VIEILLARD, IL GRAVA SUR LEUR MARBRE CE QUE JE VIENS DE RACONTER. (B. Pascal) (J. de La Fontaine) Voir

des êtres dominés par leurs tempéraments et non par leur raison. Ce film est donc une adaptation du roman, des différences existent entre la version de Zola et celle de Carné. Au niveau spatio-temporel, le film a lieu à Lyon au début du XXe siècle. Le roman, lui, se passe à Paris, au Passage du Pont-Neuf, au milieu du XIXe siècle. Au niveau de la focalisation et du rythme de l'histoire, le roman est en focalisation omnisciente et est marqué par de nombreuses pauses, le film est en focalisation

plaire aujourd'hui et recommencer demain ». À la mort d'Auguste Dumont (1885), la direction fut reprise par l'imprimeur Dubuisson, qui créa un supplément hebdomadaire, le « GIL BLAS ILLUSTRÉ ». Puis lui succédèrent René d'Hubert et Jules Guérin. Mais, en 1888, une partie de la rédaction initiale — Catulle Mendès, Armand Silvestre et Fernand Xau, notamment — passa à « l'Écho de Paris ». Et commença alors le lent déclin du journal. En 1903, son tirage était tombé à 5 000 exemplaires. En 1911, le journal

Les Lettres choisies de Mme De Sévignié: Lettre 1: Le 15 mars 1648, envoyée à Bussy-Rabutin, depuis les rochers. Cette lettre a pour but d'annoncer la naissance d'un garçon et du plaisir de Mme De Sévignié d'être avec son cousin. Lettre 2: En juin et juillet 1652, envoyée à Gilles Ménage depuis Paris. Cette lettre demande un entretien avec son cousin dans le but de s'expliquer. Lettre 3: Le 1 décembre 1664, envoyée à Pomponne depuis Paris. Dans cette lettre, Mme De Sévigné se moque d'un courtisan