Lettres Patentes De Charles Viii

de la Renaissance.La musique baroque se caractérise par l’importance du contrepoint. Trois pratiques sont proposées par le baroque : la musique d’église, la musique de chambre et la musique de théâtre. Néo-baroque  : le foyer de l’Opéra  (de Charles Garnier), Paris, plan datant duSecond Empire, 1861, ouvert finalement en 1875. VI) En conclusion : Le Baroque est donc l’art de l’illusion et de l’exagération, qui s’est complètement opposé au classicisme, en traduisant le mouvement, l’instabilité

Les conditions matérielles. 33 B/ La conception du pouvoir. 33 C/ L’accession au trône impérial de Charles Ier. 34 1. L’Empereur d’Orient. 34 2. Le Pape Léon III. 34 II. La conception politique du pouvoir sous les Carolingiens. 35 A/ La cérémonie du couronnement impérial (et non pas du sacre). 35 B/ Signification de l’impérialité de Charles Ier. 35 C/ La conception du pouvoir. 36 SECTION 2 : LE GOUVERNEMENT CAROLINGIEN ET ROBERTIEN JUSQU'A

Les conditions matérielles. 18 B/ La conception du pouvoir. 18 C/ L’accession au trône impérial de Charles Ier. 18 1. L’Empereur d’Orient. 18 2. Le Pape Léon III. 18 II. La conception politique du pouvoir sous les Carolingiens. 19 A/ La cérémonie du couronnement impérial (et non pas du sacre). 19 B/ Signification de l’impérialité de Charles Ier. 19 C/ La conception du pouvoir. 19 SECTION 2 : LE GOUVERNEMENT CAROLINGIEN ET ROBERTIEN JUSQU'A

il existe des exceptions comme par exemple un étranger marié dont la femme meurt et lui plus tard se voit récupérer ses biens par le roi, c’est le droit d’aubaine. 2. Le sacre: C’est une cérémonie très importante car quand le roi prend une loi, une lettre partante, il fait toujours référence à Dieu « par la grâce de dieu, roi de France et Navarre ». Ce qu’on appelle les grands féodaux n’ont pas le droit eux de commencer par cette formule et cela marque la différence entre le roi et les seigneurs féodaux

II - La théorie statutaire Elle est élaborée par les légistes et notamment Jean de Terre Vermeille au début du XVème siècle pour soutenir les droits du dauphin. Charte à l’encontre du Traité de Troyes de 1420 dans lequel Charles VI avait déshérité son fils (futur Charles VII) au profit d’Henri V ( roi d’Angleterre ) . Cette théorie affirme que la dévolution de la couronne est statutaire ou légitime c’est à dire qu’elle obéit à un statut ou en d’autres termes a une coutume fondamentale établie

>Masculinité et primogéniture >Indisponibilité b) règles de cathlolicité >Etats généraux de Blois ( 1577) souligne que la catholicité est la principale et loi fondamentale loi du royaume c) inaliénabilité du domaine de la couronne >énoncé par Charles V (1364) >COnfirmé par l'Edit de Moulis (1566) >Domaine fixe et casuel >imprescriptibilité du domaine d) exceptions au principe d'inaliénabilité du domaine de la couronne >L'engagement >L'apanage B) Des lois fondamentales pour l’Etat >Lois

femmes - A sa mort, le 5 juin 1316, Louis X le Hutin laissait une fille, âgée de quatre ans, la petite Jeanne, suspectée de bâtardise, une épouse enceinte, Clémence de Hongrie, et deux frères, Philippe le Long, comte de Poitiers, et, le plus jeune, Charles le Bel, comte de la Marche. Philippe se proclama alors régent et convoqua une assemblée de prélats et de barons qui, réunie le 16 juillet 1316, entérina cette situation jusqu'à l'accouchement de la reine. D'ores et déjà il fut décidé que, si elle

l'unification car d'une part elles seront rédigées de manière large (coutume de Toulouse). A- La rédaction des coutumes A partir du XVe siècle, la rédaction des coutumes devient officielle, elle est d'initiative royale. Cette initiative est venue du roi Charles VII, un an après la fin de la guerre de Cent ans en 1454 avec l'ordonnance de Montils-Lès-Tours cette ordonnance avait pour objet la réformation de la justice en général et poursuivait le but de clarifier le Droit. Dans cette ordonnance l'article

des XII tables, v. 451-450 av. JC « Table 1. 1. Si quelqu’un est cité en justice, qu’il y aille. S’il n’y va pas, que l’on appelle des témoins. Ensuite qu’on s’en saisisse. 2. Si le défendeur tente de ruser ou de fuir, mets la main sur lui. Table VIII. 6. Si un animal a causé quelque dommage, que le maître en ce cas soit obligé d’abandonner l’animal, à moins qu’il ne préfère payer l’estimation du dommage. 7. S’il tombe des glands de ton arbre sur mon terrain et que je les fasse manger par mon troupeau

œuvre juridique mais également politique. Deux siècles plus tard, Colbert conseille à Louis XIV de prendre en charge la rédaction des lois car il n’y a pas d’union politique sans union juridique. 2. L’ordonnance de Montile-les-tours, 1454 Charles VII veut remettre de l’ordre dans son royaume, perturbé par la guerre de 100ans (le roi aidé par Jeanne d’Arc). Il décide de l’amélioration du fonctionnement de la justice, par l’ordonnance de Montile-les-tours signée par le roi, qui dans son article