Lettres Persanes Lettres Viii

Montesquieu, Lettres Persanes (1721) 1) L’année 1721, est le temps des correspondances. C’est Montesquieu qui lance le mode du roman épistolaire. Nous sommes en présence d’une lettre de 2 persans, écrite par Rica à son ami Ibben, à Smyrne, en Perse. Cette lettre correspond à la fin du règne de Louis XIV, en 1712. Elle décrit sur le mode de l’étonnement, la ville de Paris où Rica vient de s’installer depuis un mois. On remarque que c’est une lettre grâce à différents éléments tels que la date d’envoie

le mal est partout et qu'il ne doit trouver le bonheur que dans la religion, ce qui permet le salut de son âme. Les philosophes prônent le contraire, c'est-à-dire la libération de la religion. Ainsi, Montesquieu, dans Les Lettres Persanes, écrites en 1721, affirme, dans la lettre XXIV, qu'"il y a un autre magicien, plus fort que [le roi de France], qui n'est pas moins maître de son esprit qu'il l'est lui-même de celui des autres. Ce magicien s'appelle le Pape. Tantôt, il lui fait croire que trois

c'est aussi un moyen de faire passer un message important sans qu'il y est de represaille ou bien de condamnation quelque conque, personne ne peut être au courant de cela. Mais il y a aussi un grand exemple d'oeuvre qui fut censuré, ce sont " Les lettres Persanes" ecrit par Montesquieu, ils échangent leurs impressions, leurs étonnements et critiques sur la société du XVIIIe siècle. Argumentation indirecte peut aussi avoir quelques inconvénients, en effet il peut y avoir un vrai problème par rapport

Lettres persanes : critique de la politique Introduction : « Les lettres persanes » est un recueil de lettres écrites par Montesquieu. Dans ce recueil, il rédige l’histoire de Rica et Usbek. Ces deux personnages viennent d’Ispahan. Ils quittent leurs femmes et leurs amis pendant dix ans pour découvrir la culture occidentale, notamment la culture française. Ils gardent contact avec leurs amis par lettre, c’est grâce à celles-ci que Montesquieu critique la politique occidentale et particulièrement

l’étranger grâce à des organisations secrètes. Celles-ci ont joué un rôle important dans la diffusion des idées. Les philosophes ont recourt à la falsification (en donnant une fausse apparence) afin de publier leurs œuvres en France. Ainsi, Les Lettres Persanes et L’Esprit des Lois de Montesquieu ont été publié anonymement en Hollande. [pic] Au siècle des Lumières, la diffusion des idées des philosophes a été difficile par la censure. Les philosophes se sont donc tournés vers d’autres

Texte 13 : Montesquieu, Lettres Persanes, 1721 Auteur : Montesquieu, né en 1689 et mort en 1755, a écrit Lettres Persanes en 1721, il est connu comme un philosophe faisant parti du Siècle des Lumières. Petite bibliographie : Lettres Persanes, 1721 et Le temple de Gnide, 1725. Titre de l’œuvre : Lettres Persanes, 1721 De quoi parle l’extrait : Dans cet extrait, l’auteur nous fait part d’une correspondance fictive entre deux voyageurs Persans : Rica et Ibben, voyageant en Europe et plus

leurs réalisations et parfois ils étaient arrêtés par la justice. Alors, les auteurs de cette époque comme Montesquieu, Diderot, Rousseaux ont décidé d’avoir recours à la critique mais de manière judicieuse. Montesquieu publia anonymement les Lettres Persanes en Hollande. Voltaire réfute tous les aspects négatifs de la société à travers l’histoire de Candide. Il critique indirectement la noblesse, la philosophie de Leibnitz à travers Candide, Pangloss. Et donc les auteurs ont pu éviter la censure

Question C'est à la toute fin du xviie siècle, en 1699, que Fénelon publie Les Aventures de Télémaque. Les deux autres textes du corpus appartiennent pleinement au Siècle des lumières, il s'agit d'un extrait du roman épistolaire Lettres persanes, publié par Montesquieu en 1721, et du conte philosophique Candide, publié par Voltaire en 1759. Ces trois extraits ont en commun d'offrir au lecteur l'image d'une société idéale, merveilleuse ou exotique, source de dépaysement pour le lecteur. Mais leur

implicite(sous-entendu) : Pour faire réfléchir les lecteurs, les écrivains utilisent l’éxagération, le rire et n’expriment pas clairement les arguments (en partie pour éviter la censure !) ex1 : l’éxagération : le portrait des parisiens dans les Lettres Persanes ex2 : le rire : l’humour (on raconte une situation amusante) : l’ironie (dire le contraire de ce que l’on pense) ( avec les arguments et les exemples) : la caricature (on accentue les défauts

manière explicite ou implicite ? Les textes du corpus sont du nombre de trois, « Du souverain » extrait de Les Caractères écrit en 1668 par Jean de La Bruyère, « Cour » extrait de l'Encyclopédie écrit en 1751-1780 par Diderot, et la Lettre 74 extrait des Lettres Persanes écrit en 1715 par Montesquieu. Pourquoi peut-on dire que les textes du corpus argumentent de manière explicite ou implicite ? Dans un premier temps nous aborderons l'argumentation explicite et dans un second temps l'argumentation