Lettres Philosophiques 8 Voltaire

L’Optimisme de VOLTAIRE Le mot est pris ici dans son sens concret (« le fait d’envisager les choses, l’avenir, de manière positive ») et non au sens philosophique. De nature, Voltaire était gai. « Je mourrai, si je puis, en riant », écrit-il. Ou encore : »Un Français qui n’est pas gai est un homme hors de son élément ». Il aimait les jeux de mots et signait ses lettres de sobriquets comme : »Le Vieux malingre ... » etc. Il aime l’humour sous toutes ses formes. Par exemple, il donne des noms

ou la fable 2. L’exemplum 3. Le conte 4. Le conte philosophique 5. La parabole 6. L’utopie 7. La contre-utopie 5. Quelques citations pour finir 1. Rappel de l’objet d’étude en classe de 1re L’argumentation : convaincre, persuader et délibérer Il s’agira de réfléchir aux modalités de l’argumentation directe ou indirecte à travers les problèmes que posent les différentes formes de l’essai, de la fable ou du conte philosophique. Corpus : une œuvre littéraire ou un groupement de textes

l’argumentation – Lettres persanes de Montesquieu Introduction Issu d’une grande famille aristocratique de parlementaire bordelais, Montesquieu lui même magistrat au parlement de Bordeaux, fait publié en 1721 à Amsterdam de manière anonyme le roman épistolaire Lettres persanes. Cette œuvre met en scène deux personnages Usbek et Rica qui à partir de 1712 voyage en France pour quelques années. Ils font part de leurs impressions à leur compatriote en leur écrivant des lettres. Notre textes est

réflexion philosophique ou morale. D'autres fables pour l'intertextualité : « Le Loup et l'Agneau » « L'Huître et les Plaideurs » page 154 « Le Pouvoir des fables » Montesquieu, Lettres persanes : 1701 - Roman épistolaire et oriental Usbek et Rica sont venus en Europe d'Ispahan. Ils écrivent à leurs compatriotes, Mirza qui leur donne des nouvelles du Seral (palais du Sultan) et des femmes du harem (la favorite : Roxane). Roman publié comme étant une traduction de ces lettres (contournement

Jean de La Fontaine Jean de La Fontaine (né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, et mort le 13 avril 1695 à Paris) est un poète français de grande renommée, principalement pour ses Fables et dans une moindre mesure ses contes. On lui doit également des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons comme celui de Madame de La Sablière et

récit -il varie le schéma des rimes ex : v.46 et v.47 pas le seul moment où il passe d’alexandrin a octosyllabe L’intervention du pigeon sédentaire pour convaincre son compagnon, le pigeon utilise des arguments logiques et s’adresse à la raison -(v.8/9) évoque les dangers du voyage, énumération + emplois du pluriel montre le nombre élevé de dangers face auxquels il pourrait se trouver -un enjambement à ce vers qui permet de mettre l’attention sur « Les dangers » mot le + négatif -précision des

Candide est un conte philosophique de Voltaire paru à Genève en janvier 1759. Candide porte le titre complet de Candide ou l'Optimisme. Cette ?uvre, ironique dès les premières lignes, ne laisse aucun doute sur l’origine de l’auteur, qui ne pouvait qu'être du parti des philosophes : «Les anciens domestiques soupçonnaient que Candide était fils de la s?ur de Monsieur le Baron et d'un bon et honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver

Voltaire, L’horrible danger de la lecture : Cet extrait de L’horrible danger de la lecture est un pamphlet de Voltaire, il s’agit d’un texte critique contre tous ceux qui veulent interdire l’usage de l’imprimerie et de la lecture. Dans un texte ironique Voltaire veut montrer aux lecteurs tous les avantages liés à la lecture. Elle apporte la connaissance et le progrès, c’est l’occasion pour lui de combattre cette interdiction, sa censure et surtout l’ignorance. On verra comment à travers la forme

compte | Newsletters | Hors-série | Abonnement | RSS Livres Publié le 17/07/2008 - Modifié le 22/07/2008 N°1870 Le Point Voltaire-Rousseau, la guerre sans fin Ces deux monstres sacrés incarnent l’esprit des Lumières. Génies multiformes, écrivains et philosophes, mais aussi poètes, dramaturges, polémistes, ils ont construit un large pan de la culture française moderne. Voltaire, à nos yeux, incarne la lutte contre le fanatisme. C’est avant tout l’homme de la tolérance, dont l’enseignement passe par

L’Ingénu (1767) Voltaire I Caractéristiques genre : L’Ingénu est une œuvre, qui tient à la fois de l’apologue, du conte philosophique, du conte satirique et du roman (par exemple du roman d'apprentissage et du roman sensible), et qui critique les doctrines jésuite et janséniste, ainsi que la société, la hiérarchie et la noblesse française. Elle raconte les aventures d’un Huron (« l’Ingénu »), qui, arrivé en France, se trouve confronté aux différentes cibles de la critique. Voltaire la présente