Li

extrême, les eaux étant comparées au Styx : « con se fust li fluns au deable » (v. 3012) et l’épée mesurant l’importante longueur de « deus lances » (v. 3025). Mais Lancelot ne faiblit pas et, quelques vers avant notre extrait, fait une véritable profession de foi du héros : « Mialz voel morir que retorner ! » (v. 3090). À cela répondent, en une antithèse totale, les deux jeunes hommes qui l’accompagnent : « [mes] de pitié plore et sopire/li uns et li autres molt fort. » (v. 3092-3093). Nous arrivons donc

ainsi, c'est aspirer la sensation globale, non motivée, d'un seul coup, et d'autant plus pénétrante 1. 1. Le duc amoureux, dans la nuit des rois (Twe/j/1 Night) de Shakespeare, rn une poélique personnification de celle manière d'écouter la musique. li dit If music be lhe food oflove, play on.[ ... ] 0, il cameo'er my ear like the sweet south Thal brealhe upon a bank of violets Stealing and giving odour. (« Si la musique es1 l'alimcn1 de l'amour, continue à jouer. ... Ah! elle esl .,rrivée à

tel quel nous dit que le texte doit être chanté. En voici un extrait : XII Li emper[er]es s'en vait desuz un pin. Ses baruns mandet pur sun cunseill fenir:  Le duc Oger, (e) l'arcevesque Turpin,  Richard li Vélz e sun nev[old] Henri, E de Gascuigne li proz quens Acelin Tedbald de Reins e Milun, sun cusin; E si i furent e Gerers e Gerin; Ensembl' od els li quens Rollant i vint,  E Oliver, li proz e li gentilz; Des Francs de France en i ad plus de mil. Guenes i vint, ki la traïsun

affecté et cela se répercute sur le corps également, puisque suivant le degré de violence des sentiments, le corps ne peut plus agir, comme Didon, qui, tant désespérée ne peut plus se ressaisir et ne peut que se tourner vers la mort : "quant li donna, ne quida mie par li deüst perdre la vie". Nos deux textes, se consacrent au sujet aimant, à la place de l'âme dans la passion amoureuse et les répercutions de cette passion sur le corps. En effet, Didon sombre dans la folie, un des désordres de la passion

l'histoire d'un jeune homme vivant dans un monde futuriste où la perfection est primordiale. Tout est contrôlé par un ordinateur, UniOrd, qui décide tout les faits et gestes des citoyens de cette société, communément appelée la Famille. Copeau, dit Li RM35M4419WXYZ, apprend à lutter contre ce monde parfait, en étant différent des autres. Tous les membres de la Famille doivent prendre une dose de médicament qui les apaisent et annihilent leur désir de rébellion. Ce médicament provoque aussi une

Min confiance = 0,6 Redouane BENABDELOUAHED 31 Exemple II: TID Produit 1 P1; P3; P4 2 P2; P3; P5 3 P1 P2 P1; P2; P3 P3;P5 P5 4 P2; P5 Min Support = 0,3 03 Min confiance = 0,6 Redouane BENABDELOUAHED 32 Exemple III: † Chaque Ch ligne li correspond d à une ménagère é è ACHATS TID 1 2 3 4 5 PRODUITS pain crème, pain, crème eau crème pain, crème, vin eau crème,, eau Support >= 0.2 et Confiance >= 0.7 Redouane BENABDELOUAHED 33 Chef de rayon y Redouane BENABDELOUAHED 34 Chef de

+​ 1​ =​ 32      Exercice 2:    Nom  Symb ole  Z  Nombres d’électrons  Structure électronique   Hélium  He  2  2  2 (K)​   Néon  Ne  10  10  (K)² (L)⁸   Argon  Ar  18  18  2​ 8​ 8  (K)​ (L)​ (M)​   Lithium  Li  3  3  2​ 1 (K)​ (L)​   Ion lithium  LI+  2  2  2​ (K)​ (L)⁸ (M)⁸  Magnésium  Mg  12  12  (K)2(L)8( M)2  Ion Magnésium  Mg₂ +  10  10  (K)​ 2​ (L)​ 8      Oxygène   O  8  8  (K)²(L)⁶   Ion oxyde  O²­­  8  2  (K)² (L)⁸   Potassium  K  19  19 

monde urbain, laisse place finalement � une forme d�oppression, une inqui�tude que ressent le po�te dans New York d�mesur�ment grand, qui a perdu tout lien avec la nature, et qui devient par cons�quent d�pourvu d�humanit�. [...] [...] La ville est li�e alors � la fi�vre�, manifestation physique de la maladie, ainsi qu�au tourment, marqu� par l�id�e de br�lure v�hicul�e par les feux follets� et le cri des sir�nes qui hurlent� de souffrances. Enfin, la couleur des rues, livide renforce le mal-�tre

queuques bonnes paroles auprès de sa mère, dont j'ai itou besoin de la faveur. LUCIDOR. Je vous entends, vous souhaitez que j'engage Madame Argante à vous donner sa fille. Et Angélique vous aime-t-elle ? MAITRE BLAISE. Oh ! Dame, quand parfois je li conte ma chance, alle rit de tout son coeur, et me plante là, c'est bon signe, n'est-ce pas ? LUCIDOR. Ni bon, ni mauvais ; au surplus, comme je crois que Madame Argante a peu de bien, que vous êtes fermier de plusieurs terres, fils de fermier vous-même

il ne me revient point ; et si je pouvais, par queuque manigance, m’empêcher de l’avoir pour mon homme, je serais bientôt quitte de li ; car il est si sot ! BLAISE, interrompant, assis. Morgué ! velà une vilaine comédie ! MERLIN (À Blaise.) Paix donc ! (À Colette.) Vous n’avez qu’à dire à vos parens que vous ne l’aimez pas. COLETTE Bon ! je li ai bien dit à li-même, et tout ça n’y fait rien. BLAISE, se levant pour interrompre. C’est la vérité qu’alle me l’a dit. COLETTE, continuant. Mais