Liaisons Dangereuses Registre Comique

personnage de roman au cœur de l’Histoire » .........................88 Chapitre 2 Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours .....................................................91 Séquence 6 Mettre en scène la variété du comique .............................................93 Séquence 7 Parcours de lecteur : Alfred de Musset, Lorenzaccio, 1834 ..............121 Séquence 8 L’évolution du tragique : des héros aux personnages ordinaires .....129 Séquence 9 Histoire des arts

7-8) et (v.11). La fleur est personnifiée de manière à renforcer les liens que le poète crée avec la femme. 2. L’éloge de la jeunesse et de la beauté Registre laudatif : vocabulaire mélioratif qui fait de ce poème un éloge (discours qui vante les qualités de qqch ou de qqn). Le choix du comparant (la rose) installe d’emblée le poème dans le registre laudatif. Ensuite, le vocabulaire mélioratif confirme cette idée : belle, vive couleur, grâce, amour ; embaumant, beauté, honoraient. Enfin, les

personnage de roman au cœur de l’Histoire » .........................88 Chapitre 2 Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours .....................................................91 Séquence 6 Mettre en scène la variété du comique .............................................93 Séquence 7 Parcours de lecteur : Alfred de Musset, Lorenzaccio, 1834 ..............121 Séquence 8 L’évolution du tragique : des héros aux personnages ordinaires .....129 Séquence 9 Histoire des arts

« Mais quand ce fut mon tour, quelque chose dut se détraquer, … ». De plus, ils souhaitent se donner bonne conscience et présentent à cette fin leur acte comme moralement juste, soit en invoquant l’intérêt général (l’invention de leur père est dangereuse), soit en prétextant lui rendre un fier service (« C’est un vieil homme, à présent et, de toute manière, il n’en a plus pour bien longtemps [.] Je t’assure, même pour lui, c’est une grâce à lui faire. Il sera beaucoup plus heureux dans l’autre monde

Perspectives offrent une ouverture temporelle ou générique. • D’autres genres : – Jean de La Fontaine, « L’Huître et les plaideurs », Fables (1679), p. 134 – Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves (1678), p. 171 – Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses (1782), pp. 172-173 – Léon Tolstoï, Anna Karénine (1877), pp. 174-175 • Des textes théoriques : – Roland Barthes, Sur Racine (1963), p. 170 – Antonin Artaud, Le Théâtre et son double (1938), p. 189 – Pierre Larthomas, Le Langage dramatique

Perspectives offrent une ouverture temporelle ou générique. • D’autres genres : – Jean de La Fontaine, « L’Huître et les plaideurs », Fables (1679), p. 134 – Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves (1678), p. 171 – Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses (1782), pp. 172-173 – Léon Tolstoï, Anna Karénine (1877), pp. 174-175 • Des textes théoriques : – Roland Barthes, Sur Racine (1963), p. 170 – Antonin Artaud, Le Théâtre et son double (1938), p. 189 – Pierre Larthomas, Le Langage dramatique

première personne (ma présence, je goûte, je veux choisir) met en évidence le caractère égocentrique de ce souhait fondé sur la plaisir de la vengeance, plaisir mis en valeur par la métrique du vers. La groupe prépositionnel «  a ces mots  » fait la liaison entre le récit et le discours. Cette expression reprend le verbe introducteur «  disait-i  » et souligne la dimension performative des paroles du pâtre. Si l’effet n’est pas scientifiquement relié à la cause, cette expression donne ce sentiment et

¨ il faut payer un impôt pour ce chien, alors qu’il ne remplit pas la mission pour laquelle elle l’a pris. ᕣ « Madame Lefèvre était […] de ces personnes qui parlent avec des cuirs » signifie : ¨ qu’elle s’exprimait mal et faisait des fautes de liaison. ¨ qu’elle parlait avec brutalité. ¨ qu’elle jurait et disait des gros mots. ᕤ Madame Lefèvre « était de cette race parcimonieuse de dames campagnardes qui portent toujours des centimes dans leur poche pour faire l’aumône ostensiblement aux pauvres

littéral (Les Liaisons dangereuses, par de Laclos, qui renvoie au sujet central), métonymique (Le Père Goriot, par Balzac, qui renvoie à un personnage secondaire de l’histoire), métaphorique (Voyage au Bout de la Nuit, par Céline, qui décrit le contenu du texte de façon symbolique), antiphrastique (La Joie de Vivre, par Zola, qui présente ironiquement le contenu du roman, où le protagoniste est obsédé par la mort). - le titre rhématique : désigne la forme (par ex. Le Roman comique, qui désigne

été plus court, toute la face de la terre aurait changé » (Pascal, Pensées ). III – L’asyndète et la polysyndète : l’asyndète consiste à faire disparaître les mots de liaisons, elle peut être énumérative (« Fuyards, blessés, mourants, caissons, brancards, civières / On s’écrasait au pont pour passer les rivières » (Hugo, l’Expiation )) ou non énumérative (« La pleine lune éclairait d’une lueur