Liber abaci

déterminante. Il reste plusieurs années en Afrique du Nord et étudie auprès d'un professeur local. Il voyage également en Grèce, Égypte, Proche-Orient et confirme l'avis de Sylvestre II sur les avantages de la numération de position. En 1202, il publie le Liber Abaci, recueil qui rassemble pratiquement toutes les connaissances mathématiques de l'époque, et malgré son nom, apprend à calculer sans abaque. Et c’est ainsi qu'avec le retour du commerce intensif, consécutif aux Croisades, que les Européens généralisent

connaît alors l'Europe, avec l'ouverture de nouvelles routes commerciales notamment vers l'Orient musulman, permet également aux milieux marchands de se familiariser avec les techniques transmises par les Arabes. Ainsi, Léonard de Pise, avec son Liber abaci en 1202, contribue largement à faire redécouvrir les mathématiques à l'Europe. Parallèlement au développement des sciences, se concentre une activité mathématique en Allemagne, en Italie et en Pologne aux XIVe siècle et XVe siècle. On assiste à

le représentant des marchands toscans en Algérie, en Tunisie et au Maroc auprès de la douane). C'est pourquoi on date symboliquement le passage aux chiffres arabes dans le commerce d'occident à l'année 1202, date à laquelle FIBONACCI publia le Liber abaci (le livre des calculs), qui est un traité de comptabilité fondé sur le calcul décimal avec les chiffres arabes. Le système arabe de notation était beaucoup plus simple à utiliser que le système occidental pour faire des calculs commerciaux (essayez

son entrée, la financiarisation restait encore en lisière : Dante expédiait les usuriers au septième cercle de l’enfer. Dès 1202, le mathématicien pisan Fibonacci, qui avait étudié en Afrique du nord auprès de confrères arabes, avait publié son Liber Abaci. Dans cet ouvrage, il encourageait les marchands, pour leurs calculs, à reprendre le système numérique indo-arabe, bien plus puissant, et leur expliquait aussi en détail certaines méthodes de calcul de l’intérêt. Pourtant, bien plus tard encore

L’italien Leonardo FIBONACCI (1175-1250) mathématicien ramena d'Afrique du nord l'idée d'utiliser les chiffres arabes plutôt que les chiffres romains, pour effectuer les calculs dans la vie économique 1202, date à laquelle FIBONACCI publia le Liber abaci (le livre des calculs), qui est un traité de comptabilité fondé sur le calcul décimal avec les chiffres arabes - Introduction de la lettre de change comme moyen de pallier l'insuffisance du numéraire L’absence de moyens de paiement (en

cette époque. En effet, un savant du nom de Fibonacci (Voir Annexes) va s’illustrer en mathématiques en inventant une suite de nombres portant aujourd’hui son nom. Fibonacci part tout d’abord d’un problème enfantin qu’il décrit dans son ouvrage, Liber Abaci. Cet exercice étudie la croissance d’une population de lapins : « Possédant initialement un couple de lapins, combien de couples obtient-on en douze mois si chaque couple engendre tous les mois un nouveau couple à compter du second mois de son existence

écoles arabes en Algérie ( son père est chef du bureau de douane ). Apprend les cours sur les techniques indo-arabes, Euclide & relève qques disputes mathématiques ( contestation de théorèmes ). Nbreux voyages : Sicile, Provence, Grèce, Syrie.. Liber Abaci ( livre des abacles ) : bon livre mais sans + Son 3e livre en 1225, parle du 0 pour la première fois. Suite de FIBONACCI : un couple de lapinaux : 2 mois pour maturité, et chaque début de mois, produisent un couple de lapin : 1 1 2 3 5 8 13..

 0  apporte  la  confusion.  Le  système  va  être   qualifié  et  on  l’appeler  le  système  :  sifra  nul  (Chiffra)  :  ce  qui  va  donner  le  mot  chiffre.   Liber  abaci  (1202)         Arabe  :  emmène,  apporte  le  papier  en  Occident  lors  des  conquêtes.  Le  secret  a  été  négocié.   Nicolas  chuquet  (1450-­‐1488  )  Invente

connaît alors l'Europe, avec l'ouverture de nouvelles routes commerciales notamment vers l'Orient musulman, permet également aux milieux marchands de se familiariser avec les techniques transmises par les Arabes. Ainsi, Léonard de Pise, avec son Liber abaci en 1202, contribue largement à faire redécouvrir les mathématiques à l'Europe. Parallèlement au développement des sciences, se concentre une activité mathématique en Allemagne, en Italie et en Pologne aux XIVe siècle et XVe siècle. On assiste à

la doctrine et le mysticisme. L’Italie, par la Sicile, est en contact avec la civilisation arabe. A partir du 13ème siècle, on ne se contente plus de traduire, on enrichit les connaissances. Léonard de Pise, ou Fibonacci (1170 – 1250) écrit le Liber abaci, une véritable encyclopédie qui réunit les connaissances grecques et arabes. En Europe, on assiste à la création des premières universités : Paris, Bologne, Cambridge… La scolastique Depuis sa traduction en latin, l’œuvre d’Aristote s’est diffusée