Liberalisme Contre Marxisme

modèle territoire nationale· Amplification phénomènes mondialisation Absence substitut Etat pour 3 raisons :· Impossibilité citoyenneté sans territoire · Echec théories marxistes· Echec volonté Tiers-monde 3- L’Etat rempart contre l’insécurité  face troubles intérieurs + extérieurs (dilemme de sécurité) · Théorie souveraineté créée en réaction violence MA  ligne défense paix civile· Baisse fréquence conflits  baisse nbr morts · Recherches

stabilité ; «  quoi que le pouvoir législatif soit le suprême pouvoir d'un état, cependant il ne peut être absolument arbitraire sur la liberté, la vie et les biens du peuple ». Il pose donc des conditions sur le pouvoir suprême de l’État. Le libéralisme politique ou l’État minimal : 1. Montesquieu Dans son livre, De l'esprit des lois, il défend la liberté et le bonheur du peuple. Et rajoute aussi la responsabilité. Cette liberté-responsabilité est encadrée par des lois ; « la liberté est tout

les grandes propriétés et redistribuer les terres au profit des paysans pauvres. Ils sont tour à tour assassinés (133 et 121 av JC). Les esclaves révoltés contre Rome et guidés par Spartacus de 73 à 71 av JC échouent également, mais donnent naissance à un mythe durable. Dans la tradition chrétienne, on trouve également des déclamations contre les riches oppresseurs (épître de Saint Jacques, 4). Ce n’est cependant que sous la Renaissance qu’apparaissent les textes majeurs de l’utopie sociale.

l’évolution de l’idéologie socialdémocrate allemande depuis la fin du 19 ème siècle. A partir de 1933, le parti nazi au pouvoir entreprend d’interdire le mouvement ouvrier. Après la guerre, le mouvement ouvrier se divise : les Spatakistes se soulèvent contre le nouveau régime tandis que le SPD soutient la république de Weimar, et participe à la vie politique. Le parti communiste allemand (KPD) s’aligne sur Moscou. Dans l’après guerre, l’Allemagne est divisée. En RFA, le SPD devient une force politique

3. Penser l’économie à l’ère du capitalisme et de la mondialisation Quelles idéologies ont justifiés ou combattu le capitalisme et la mondialisation ? A. Libéralisme et socialisme au XIXe siècle Le XIXe siècle, âge d’or du libéralisme ? Courant de pensée forgé à la fin du XVIIIe siècle autour de l’œuvre d’Adam Smith, le libéralisme triomphe au XIXe siècle et apparaît comme l’idéologie en phase avec la mondialisation En effet, les libéraux considèrent que la liberté de commerce est garante

l'idéologique. C’est ainsi, qu’à l’instar de Georges Stigler, prix Nobel d’économie 1982, d’aucuns présentent l’histoire de la pensée économique comme « une perte de temps inutile quand il y a tant à faire avec la théorie économique moderne » . Par contre, l'économiste Schumpeter y voit trois utilités: "un avantage pédagogique, de nouvelles idées et des perspectives sur les voies de l'esprit humain" . Elle permet selon Blaug de comprendre la théorie comme un cheminement discontinu avec des retours

institutionnelles et idéologiques Crise qui révèle une impuissance à se renouveler. Voies nouvelles proposées par clubs, revues, cercles d’intellectuels qui foisonnent dans les années 1930 et remettent en question institutions, système éco, philosophie du libéralisme rationaliste. 1) La remise en cause des institutions : la réforme de l’Etat Campagne pour la « réforme de l’Etat » couvait déjà dans les années 1920-1924 avec le Président Alexandre Millerand (1er socialiste ds un gouvernement français puis

est possible de déduire que l’antisémitisme est «des actes ou des conditions défavorables au peuple judaïque»1. Il y a différents niveaux de l’antisémitisme. En effet, il est possible d’en distinguer au moins trois. Le premier se nomme «agression contre la personne ou les biens des juifs». C’est la forme la plus extrême et constitue du meurtre organisé. Le deuxième niveau c’est «l’antisémitisme civique». Cette forme interdit les juifs des droits civiques dont les autres citoyens ont droit. Le troisième

société est le meilleur, que les autres pays doivent l’imiter, soit par le jeu de l’influence (cas des Etats-Unis), soit par la contrainte (cas de l’URSS). I – Le modèle américain : liberté, modernité, prospérité A) Liberté politique et libéralisme économique Doc 5 p. 83 : discours d’investiture de Kennedy Les États-Unis se définissent comme le pays de la liberté, celle-ci formant la valeur essentielle, fondamentale du peuple américain. Elle s’exprime politiquement par des institutions

1896 ), on lui doit le mot de solidarisme pour désigner la mise en œuvre de la solidarité. Est assuré avec lui la percée politique de la solidarité. Son solidarisme peut être inscrit dans la perspective des troisièmes lois (ni marxisme ni libéralisme), qui permet d’éviter tout excès. La solidarité doit être mise en œuvre pour la collectivité de manière juridique. Ce dernier évoque la « dette » que les plus favorisés ont une dette envers les plus démunis. Citation