Liberalisme Contre Marxisme

Smith distingue les notions de valeur établies par Aristote, en particulier la "valeur en usage" et la "valeur échangeable"1. Il s’attache surtout à la valeur d'échange et pose la question du facteur qui détermine la quantité d’un bien à échanger contre un autre. Pour lui, « c'est du travail d'autrui qu'il lui faut attendre la plus grande partie de toutes ces jouissances ; ainsi, il sera riche ou pauvre, selon la quantité de travail qu'il pourra commander ou qu'il sera en état d'acheter. (...) Le

C. La scission au sein du parti socialiste. 2 gds divergences sur methode s et finalités : Revolutionnaires : Aile gauche de la gauche, idealistes, revolut° sociale pr aneantir bourgeoisie et capitalisme. Reformistes : Revisionnisme du marxisme, plus pragmatiques ; ->être au pvoir, instaurer reformes par le vote de lois. Reconnaissance suffrage universel et democratie bourgeoise (capitaliste) La 1ere GM va créer la scission entre 2 partis de gauche. -USPD : hostile au conflit

l’instauration du communisme en 1945 Les pays d’Europe centrale et orientale (PECO) ont été sous la domination allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Les communistes sont encouragés par Moscou à participer à des « fronts patriotiques » contre l’hitlérisme, pour lutter contre ce dernier mais aussi pour légitimer l’importance du communisme après la guerre et préparer l’arrivée de l’Armée rouge. Les PECO ont été ensuite libérés soit par l’Armée Rouge, soit par une résistance communiste (Yougoslavie, Albanie)

population fut traumatisée par cette révolution socialiste, et Augusto Pinochet faisait partie de cette catégorie de population. Le putsch constituait donc une réaction à la socialisation brutale menée par Allende au Chili. Il visait à défendre le pays contre le communisme, par tous les moyens.   Cela nous amène à un autre aspect du coup d’Etat : l’aide apportée par les Américains. Il est important de rappeler le rôle joué par les Etats-Unis dans ce putsch. La CIA, sous les ordres du Président Nixon

Le libéralisme étant selon David Held[footnoteRef:2] la défense de la « liberté de choix, la raison et la tolérance face à la tyrannie un système absolutiste et l’obscurantisme religieux ». Si les deux concepts de libéralisme et démocratie sont souvent pointés comme étant contradictoires, et le terme « démocratie libérale » un oxymore[footnoteRef:3], la démocratie

communautarienne, etc. qui va prendre autant d’ampleur, par la suite, que l’on nomme essentiellement le communisme? La réponse est relativement fort simple! Un élément compose cette réponse : la montée du libéralisme exacerbé, aidée certes par l’essor également des progrès scientifiques. Qu’est-ce que le libéralisme? C’est une doctrine économique « classique » d’après laquelle une société prône le primat des droits de l’individu sur ceux du groupe, en général (contrairement à ce que l’on retrouve par exemple

estimaient que Tocqueville constituait une étape dans la pensée libérale. En effet, on a assisté pendant 20-30 ans à une perte d’influence du marxisme qui avait dominé la pensée intellectuelle jusqu’à la fin des années 80. L’influence du marxisme sur la pensée intellectuelle a, à cette période, décru et a été compensée par les divers courants du libéralisme (néo-libéralisme des années 80). C’est dans ce mouvement général que Tocqueville a ré-émergé * On a pris conscience de la formidable actualité de

verrons les efforts de la transformation, apportés par Khrouchtchev. Enfin nous verrons qu’un essai de retour à la normale va être mis en place par Brejnev. Pendant la guerre, le régime dictatorial s’est un peu assoupli pour rallier tous les peuples contre l’Allemagne. Mais cette libéralisation est de courte durée. La guerre finie, Staline rétablit son système répressif et le climat de terreur et de méfiance d’avance guerre. Par rapport aux années 30, la dictature se renforce. En effet, la période 1945-1953

enverra leurs dirigeants en exil. Malgré cela, Bismarck va multiplier les réformes sociales pour que le mouvement ouvrier se tourne vers lui. Donc on verra apparaître l’assurance maladie pour les ouvriers en 1883, l’assurance contre les accidents du travail en 1884 et contre l’invalidité et pour la vieillesse en 1889. Bismarck se retirera du pouvoir en 1870 ce qui permettra l’abolition des lois antisocialiste. Le parti social-démocrate d’Allemagne (SPD) va créer un programme plus réformiste que

de la société (Montaigne, Essais, III, 10) ; pourtant, au XVIe Siècle, certains témoignent déjà par leurs écrits de leurs convictions religieuses (Agrippa d’Aubigné) ou bien engagent, par l’activité de raison, la recherche de la vérité, un combat contre l’intolérance (Montaigne), l’immobilisme intellectuel (Rabelais, DU Bellay), la torture pour ne citer que ceci. On voit au XVIIe Siècle l’ « honnête » homme qui occupe civilement sa place sans toutefois prendre position sur les problèmes politiques