Libération kanak socialiste

un film de M athieu K assovitz, 2011, 2h15 Au-delà du film (A paraître dans la revue L ' autre en 2012) Yoram Mouchenik1 Nouméa, décembre 2011 En Nouvellemilitants kanak en 1988 fait quatre morts chez les gendarmes, elle est suivie par une prise -guerre civile entre les forces dites « loyalistes » et le mouvement indépendantiste kanak luttant pour la décolonisation de la Nouvelle-Calédonie. Le vote du nouveau statut Pons pour la NouvelleCalédonie, les élections régionales et présidentielles proches

==>PALIKA Suite aux phénomènes idéologiques liés à mai 68, plusieurs groupes de radicaux Kanaks commencent à revendiquer l'indépendance, avec en particulier « Les Foulards Rouges » et « Groupe 1878 » qui s'unissent au congrès de Temala ( nom d'une rivière ) au sein du Parti De Libération Kanak => Le PALIKA. Certains anthropologues poussent dans un même temps Jean-Marie Tjibaou à développer une « identité kanake » et à fonder leur revendication sur une fierté d'être mélanésien et sur une base culturelle

Travail de lecture A. Lecture du livre. B. Analyse des éléments du récit selon l’axe de lecture. * Le narrateur est Gocéné, il fait parti de l’histoire car c’est son histoire qu’il raconte tout au long du roman. Gocéné est un vieux Kanak, il relate son expérience à de jeunes compatriotes indépendantistes de la Nouvelle-Calédonie. Il raconte donc sa jeunesse. Je pense que l’objectif de ce choix fait par l’auteur est de dénoncer la maltraitance de l’être humain, de l’esclave, mais aussi

leur raconte son passage à paris pour l’Exposition Coloniale de 1931. 4°) D’après le narrateur, l’exposition coloniales de 1931 qui se déroule dans le bois de Vincennes, est un endroit ou ils sont « parqués derrières des grilles, dans un village Kanak reconstitué » p 21. C’est un endroit ou sa population et lui sont maltraités, ils doivent effectuer des tâches, comme danser la poitrine exhibé pour les femmes, les hommes devaient « creuser d’énorme tronc » p. 21 ; « en poussant des cris de bêtes »

n’étaient pas vraiment en situation de concurrence avec le français, comme c’était le cas de l’anglais. Le peuple kanak Lors du recensement de 2009, 99 078 personnes se déclaraient comme kanakes (à quoi peuvent s'ajouter certains des 12 177 individus qui ont préféré se définir comme « Calédoniens »), soit 40,34 % du total des habitants du territoire. en 1853, la population kanak est estimée à 100 000 personnes. En 1920, il n’en reste que 20000. La grotte d'ouvéa le 5 mai 1988 l’armée française

proposent que le drapeau FLNKS devienne le drapeau du pays. Il représente en effet la prééminence du peuple premier, même s'il ignore dans son état actuel les autres populations. Il serait selon ses défenseurs le symbole d'une réconciliation, le peuple kanak "offrant" ce drapeau à l'ensemble des communautés comme signe d'apaisement. Symbole du drapeau FLNKS : LE BLEU : la couleur de l’azur, comme du ciel de la mer, de l’immensité et de la transparence. C’est la plus immatérielle des couleurs qui exprime

de Kanaky. La Nouvelle-Calédonie connaît les revendications nationalistes d’indépendance kanack depuis 1975. Cependant, il avait fallu la séquence politique révolutionnaire (1984-1988) pour que soit formulée la souveraineté de Kanaky par le peuple kanak. Certes, Tous les mouvements nationalistes mélanésiens découlent de l’indépendance des Etats souverains comme les Fidji ou encore la Papouasie Nouvelle-Guinée en 1975 en autres. Cette Mouvance d’une idée politique de souveraineté conscientise tout

le faible intérêt des citoyens pour la question posée et la décision du Parti socialiste d’appeler à l’abstention. Le référendum du 6 novembre 1988 Les électeurs sont appelés aux urnes pour adopter le nouveau statut de la Nouvelle-Calédonie, qui fait suite aux « accords de Matignon » entre l’État, le RPCR (Rassemblement pour la Calédonie dans la République) et le FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste). Les résultats du vote sont très favorables au nouveau statut (79,99% des

faible intérêt des citoyens pour la question posée et la décision du Parti socialiste d’appeler à l’abstention. 7. Le référendum du 6 novembre 1988 : Les électeurs sont appelés aux urnes pour adopter le nouveau statut de la Nouvelle-Calédonie, qui fait suite aux « accords de Matignon » entre l’Etat, le RPCR (Rassemblement pour la Calédonie dans la République) et le FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste). Les résultats du vote sont très favorables au nouveau statut (79,99 % des

faible intérêt des citoyens pour la question posée et la décision du Parti socialiste d’appeler à l’abstention. 6. Le référendum du 6 novembre 1988 Les électeurs sont appelés aux urnes pour adopter le nouveau statut de la Nouvelle-Calédonie, qui fait suite aux « accords de Matignon » entre l’Etat, le RPCR (Rassemblement pour la Calédonie dans la République) et le FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste). Les résultats du vote sont très favorables au nouveau statut (79,99 % des