Libère

l'importance de libérer le désir. Mais nous pousser à assouvir une soif de désirs ne nous rend t-il pas emprisonnés de cette dernière au point d'éprouver de la frustration et de la souffrance si l'on n'arrive pas à la satisfaire d'où le fait de se libérer du désir. Nous pouvons donc nous interroger sur la nécessité du désir: faut il le libérer ou s'en libérer ? Pour répondre à cela nous pouvons tout simplement établir une construction en miroir avec dans un premier temps, faut il libérer le désir

s’attachent à défendre l’illusion. Ils prétendent qu’il n’est ni souhaitable, ni possible de perdre ses illusions. Ils la considèrent indispensable au bon fonctionnement de l’existence et de la vie. Sans illusion, ils estiment la vie insupportable. Se libérer de ses illusions mène à plus de liberté car elle signifie plus de lucidité, une meilleure compréhension générale de la société, de soi, d’autrui. Des meilleurs chois de vie sont alors possibles dans des conditions de lucidité et de compréhension de

armées alliées. Les américains et les anglais libère les camps en France puis en Bavière et enfin en Autriche. L'armée rouge libère les camps situés en Pologne, Tchécoslovaquie et Allemagne de l'est. Parfois les déportés ont pris le contrôle des camps avant l'arrivée des alliées comme à Buchenwald ou les communistes allemand avait pris le camps. Des camps ont été libéré par des makis. Einsenhower a tenu a visité les camps. 1 . Quand les camps ont il été libéré? par qui? quels ont été la réaction des alliées

Étant donné que le désir nous fait courir le risque d'être malheureux, peut-être faudrait-il travailler à s'en libérer complètement pour ne plus être esclave de quoi que ce soit. Cela nous est possible parce que nous nous caractérisons comme des êtres raisonnables, capables de maîtriser nos désirs et passions. C'est ce qu'explique Kant dans L'introduction à la Métaphysique des moeurs. Nous sommes selon lui, à la fois des êtres sensibles - ayant des passions et des désirs - et des êtres intelligibles

de la Phrase : « Si donc le Fils vous libère, vous serez réellement libres » : Par exemple, si l'on prie pour soi-même, l'on dit : « Si Jésus me libère, je serai réellement libre ». Ou si l'on prie pour sa famille, on dit : « Si Jésus libère ma famille, elle sera réellement libre. » Ainsi, c'est la Parole de Dieu qui est proclamée. A la place des Je Vous salue Marie, sur chaque petits grains, on dit : « Jésus, aie pitié de moi, Jésus guéris-moi, Jésus, libère-moi ! » Si l'on prie pour sa famille,

peut être libre qu’en dehors du travail, car même si nous contrôlons cette nécessité dans le travail, nous restons dans la nécessité. Avec le système capitaliste, le travail est devenu aliénant : il relègue l'ouvrier au rang de machine au lieu de le libérer et de l'humaniser, comme il était censé le faire à l'origine. Pour avoir du temps libre, vivre librement, il faut d’abord travailler et répondre à nos besoins pour survivre. Donc le royaume de la liberté commence là où le royaume de la nécessité cesse

même temps qu’il est poète: « moi aussi je suis peintre » a-t-il dit à Picasso. Rappelant d’ailleurs qu’Horace disait que la poésie est comme la peinture (Ut pictura poesis). En dépassant ses frontières la poésie mais également les poètes se sont libérés de toutes contraintes et ont ainsi pu s’ouvrir à d’autres formes d’arts telle que la peinture. Cette facilité qu’a la poésie à s’imprégner d’une autre création artistique lui confère à nouveau une autre dimension : celle que la poésie se définierait

d'un nominal de 74 000 dh mais estimées à 64 000 dh. En contrepartie la SA prend à sa charge le paiement de ses fournisseurs pour 30 000 dh, et des effets à payer pour 20 000 dh. Des apports en numéraire complètent le capital. Ils doivent être libérés de moitié à la souscription. Deux actionnaires ayant souscrit au total 600 actions se libèrent totalement par anticipation. Les versements sont effectués auprès du notaire, qui compte tenu des frais et droits qu'il a acquittés et de ses honoraires

« visible ». La condition de prisonnier est en réalité celle de l’homme qui « ne se pose pas de question », la condition de l’homme libéré est à interpréter comme « la montée de l’âme dans le monde intelligible », c'est-à-dire l’exercice de la pensée, de la volonté de savoir et de la découverte du but ultime que constitue le souverain Bien. Le retour de l’homme libéré chez ses contemporains est naturellement difficile sinon vain, tant son discours heurte et bouscule leur confortable condition d’êtres

racontent leurs vies ; au contraste avec les histoires des autres, elles arrivent à refléter la leur. Un extrait essential pour discuter le sujet de « Mémoire » dans Mes quatre femmes , c’est l’invocation des 30 esclaves libérés (p. 70+71 „D’un coup, ils sont là …gagné leur liberté. »). Les quatre femmes sont rassemblées dans la geôle noire. Auparavant, Angélique, l’ancienne esclave illettrée s’occupe avec une page de la Gazette officielle de la Guadeloupe