Liberté Acquise

La morale – liberté, devoir, bonheur – La morale est un savoir particulier qui permettrait de bien agir, de connaître le bien et le mal, de faire en sorte d’agir selon certaines valeurs que nous considérons comme légitimes. Mais il ne suffit pas de suivre un code de bonne conduite pour agir moralement – cf distinction de Comte-Sponville entre politesse et morale -. La morale suppose un sujet capable de s’interroger sur ses actes et ses devoirs, un sujet conscient de ses responsabilités

lui seul qui prend les décisions pour son royaume et pour le peuple qui y vit. En dans quel intérêt les prend-il ? Certainement pas dans celui du peuple dont il se moque éperdument en général. Cela pose donc quelques soucis pour le peuple car la liberté des individus peut être atteinte puisqu’il ne décide de rien et doit quelque part se soumettre à une personne qui a les pleins pouvoirs. Dans ce cas, il se pose aussi un problème d’égalité entre le roi et le peuple parce que le peuple doit obéir aux

Toute prise de conscience est-elle libératrice? (corrigé) Toute prise de conscience est-elle libératrice ? Il y a un lien intime entre conscience et liberté, car la conscience, qui nous distingue des bêtes, nous permet de nous émanciper de la nature. On pense au « Connais-toi toi-même » de Socrate. Pourtant, la découverte (« prise de conscience ») brutale de certaines vérités peut être très déstabilisantes I Oui. C’est le fondement de la philosophie (« ouvre les yeux de l’esprit ») et de la

propagation de l’épidémie du sida notamment chez les personnes handicapées a réactualisé la question de leur sexualité. Si, à l’heure actuelle, la reconnaissance du droit à la sexualité des personnes handicapées mentale semble chose globalement acquise, il n’en demeure pas moins que les modalités d’exercice de se droit sont particulièrement problématique, notamment lorsqu’il s’agit de les mettre en œuvre au sein d’un établissement spécialisé. LA RECONNAISSANCE DU DROIT A LA SEXUALITE • Les

Peut-il y avoir liberté sans loi ? Peut-on concevoir une liberté sans loi ? La question posée : Peut-il y avoir liberté sans loi ? ne revient pas à la deuxième: cad la possibilité de la concevoir ou de l'imaginer. Car c'est évident que l'on "conçoit" une telle liberté mais n'y a-t-il pas contradiction ? D'un côté, on la définit comme devant être sans contrainte, et de l'autre la liberté rencontre des empêchements ou des déterminations. Or, il est évident que la loi oblige et donc limite

 Note de synthèse LA QUESTION ETHIQUE Ma réflexion s’organise autour de la problématique suivante : dans quelle mesure l’éthique permet à l’individu de retrouver une liberté face aux exigences morales ? Je commencerai par une définition générale des deux termes, afin de voir à quel moment ils se rejoignent, et à quel moment ils se distinguent. Le mot éthique vient du grec « ethos», qui signifie lieu de vie ; habitude, mœurs ; caractère, état de l'âme

plus « connue » du droit est celle qui est contraignante et répressive. En fait tout dépend ce que l’on appelle : liberté. Si l’on considère qu’ être libre  signifie faire tout ce que l’on veut, sans être freiné par la présence des autres avec les quels nous vivons, alors l’on pourrait considérer le droit comme un moyen liberticide, c'est-à-dire un moyen utilisé pour supprimer les libertés. Mais si l’on considère qu’être libre c’est le fait de se sentir en sécurité  et justement, grâce à cette sécurité

prise de conscience de soi permet de modifier notre rapport à ce que l'on est. C'est également prendre conscience de ses propres limites, de son identité, et donc de sa liberté. Ne penser qu'a soi, signifies, qu'aucunes pensée pour un autre être n'est donc présente. L'être qui ne pense qu'a soi, ne prends pas en compte, la liberté, les limites, l’identité des autres. L'être qui ne pense qu'a soi, ne penses qu'a ses propres besoins, et à ses propres désirs. On dit que cet être est un être égoïste

Ce fait est dû à la vulnérabilité du malade, donnant lieu à une construction inégalitaire de la relation médecin – malade qui nécessite la confiance. La connaissance des professionnels de santé est considérée comme un bien public, et est donc acquise par le biais de la société dans le but de la servir. Le professionnel de santé est le passage obligé d’accès aux soins, et de fait se doit de garantir le meilleur intérêt médical du patient. Il se doit d’agir en fonction des valeurs d’une communauté

fidèle dans ses choix comme la raison guide le philosophe. Il s’appuie donc sur des faits rationnels pour nourrir ses concepts, ses revendications. Par ailleurs, le philosophe des Lumières utilise la connaissance empirique – connaissance acquise suite à son vécu – pour raisonner. Il accorde, en effet, une grande importance à l’expérience des faits. Suite à l’affaire Calas – où un protestant avait été accusé d’avoir assassiné son fils voulant se convertir au catholicisme – Voltaire, persuadé