Liberté Et éducation

Sujet : Comment se cultiver par soi-même La plupart du temps, quand on dit de quelqu'un qu'il est cultivé, la personne en question a reçu une bonne éducation. Il a été dans de bonnes écoles, a été dans une famille suffisamment aisée qui lui a permis d'enrichir son éducation en accédant à de bonnes institutions. En fin de cursus, on dit qu'il est cultivé parce qu’il est à l'aise en littérature, histoire, arts, langues vivantes et langues mortes. Le principe même de ce cursus typé très encadré

de la spiritualité. PROBLEMATIQUE : MAIS RABELAIS PARVIENT A FAIRE L'ELOGE INCONDITIONNELLE DU PROGRAMME HUMANISTE TOUT EN MONTRANT UNE CERTAINE DISTANCE, DONC DE LA CRITIQUE VIS-A-VIS DE CELLE-CI. A. L'équilibre entre le corps et l'esprit Éducation idéale, proche de l'éducation humaniste ( qui s'inspire de l'éducation antique ) Le corps a autant d'importance que l'esprit. Il y a une énumération, rythme ternaire ( pour les choses solennelles, ici pour donner de l'importance ) Imparfait d'habitude

Grandgousier, modèle du souci d'humanité, de justice, pour une République des sages) B. ELOGE DE LA NATURE, LE LIVRE SUPREME - libération du corps et de l'esprit : un esprit sain dans un corps sain (adage latin : mens sanis in corpore sano) - la liberté de conscience, apologie de la religion naturelle, refus de l'obscurantisme et du fanatisme religieux II. UNE ETHIQUE HUMANISTE A. valeurs morales : l'honneur, l'honnêteté, la dignité humaine- une morale raisonnable, conforme à la bonne nature

(développement) de l’extrait « l’Abbaye de Thélème » dans Gargantua de Rabelais : « Comment était réglé le mode de vie des Thélémites » De « Toute leur vie était régie » à « qu’au premier temps de leurs noces » I. LA LIBERTE A Le paradoxe d'une liberté totale érigée en règle. Règle d'une abbaye: texte, généralement institué par le Saint fondateur, qui fixe la spiritualité des moines et leur mode de vie. Règles souvent sévères et contraignantes. « Règles »: sens plus large de

évoquée = celle de l’amour (seigneur/dame). Rabelais p-e même sacrilège avec devise « fais ce que voudras ». En effet, reprend formule de Saint Augustin : « Aime, (crains) Dieu, et fais ce que voudras », ie exclut Dieu de la vie de l’abbaye. De fait, liberté d’organiser journée, à l’inverse de la pratique monacale traditionnelle. En outre, vœu d’obéissance non respecté. Il n’y a pas de hiérarchie : ts = égaux. dc critique indirecte de la religion car obéissance à autrui et abdication de la volonté propre

Explication : “La liberté est un bien précieux qui devrait être recherché par tous les hommes. Mais dans le texte qui nous est ici proposé, E. Kant souhaite évoquer le phénomène paradoxal de la servitude volontaire : en effet, plutôt que de vouloir être libres, certains hommes, par facilité et par paresse, préfèrent rester soumis et dépendants des autres et, au lieu de rechercher leur autonomie, choisissent l’obéissance, ce qui fait qu’ils sont semblables à des ” mineurs ” qui ne font pas l’effort

refusé. L'éducation a pour but de conduire l'homme à sa propre humanité. L’idée centrale du texte de Kant est que l’homme ne peut devenir homme que par l’éducation. Cette éducation assure une transition entre l’être sauvage, proche de l’animal qu’il représentait et par l’être humain qu’il devient après cette acquisition. Cette éducation dont l’homme est soumis dès la naissance comporte trois étapes le soin, la discipline et l’instruction. Sachant que l’éducation n’est pas quelque chose d’inné cher l’homme

athénienne. Finalement, nous verrons les différences et les hypothétiques ressemblances au niveau de la vie sociale de la Spartiate et de l’Athénienne. Premièrement, les jeunes Grecs recevaient une éducation très différente selon la cité dans laquelle ils se trouvaient. Aussi, cette éducation différait si l’on était un homme ou une femme. Existait-il des ressemblances entre l’éducation de la jeune Spartiate et celle de la jeune Athénienne ? Pour tenter de le découvrir, nous allons, tout d’abord

écrivain et philosophe français, né le 28 juin 1712, à Genève. Orphelin de mère, est abandonné par son père à l'âge de 10 ans et élevé par son oncle. Son éducation se fait au gré de ses fugues, de ses errances à pied, et de ses rencontres, en particulier Mme de Warens. Sa maîtresse et bienfaitrice qui influencera son œuvre s'attache à parfaire son éducation et le contraint à se convertir au catholicisme. En 1741, Rousseau devient précepteur des enfants de Mme de Mably à Lyon. Passionné de musique, il élabore

femmes puissent être inférieures aux hommes et déclarait que la prédominance de l'ordre social défini par les hommes avait empêché les capacités féminines de s'exprimer librement. La constitution de la 2e République , proclamée en 1848, arrête la liberté des femmes au seuil des droits politiques. En réaction à cette situation sociale qui place la femme en minorité au sein de la société, mais aussi comme nous allons le voir, grâce à la nouvelle condition de la femme induite par le passage à la société