Liberté Freud

le ré LA CONSCIENCE • SUJET 1 De manière générale, une liberté et une action ne s’inscrivent-elles pas dans une prise sur le monde, qui permet leur intervention concrète, mais aussi qui en limite l’étendue ? Autrement dit, la conscience et la liberté n’admettentelles pas des limites nécessaires, et ne faut-il pas considérer l’impact de ces limites sur l’émergence de la conscience ? 1. La conscience comme source de liberté A. La conscience permet une prise de recul et un esprit critique

sont capables de passer des heures à la laver et la faire briller avec amour. • Cette orientation repose sur l’analyse des rêves que Freud interprétait comme la communication de désirs refoulés, au moyen de symboles. Théorie néo-freudiennes • Le travail de Freud eut une influence considérable sur les théories de la personnalité qui se développèrent ensuite. Pour Freud les explications du comportement peuvent se cacher sous la surface, mais beaucoup de ses étudiants et de ses confrères pensaient

La table ronde Oeuvres diverses, introduisant à la philosophie, suivant les grands thèmes du programme, et en fonction de vos propres intérêts : LE SUJET : Sigmund Freud, Introduction à la psychanalyse, Payot (Sur Freud) : Sigmund Freud Editions Découvertes, Gallimard. Ou : Freud par lui-même Folio Sartre La nausée Folio Sartre Huis clos Folio Shakespeare Othello, Macbeth Poche Stendhal De l’amour Flammarion Proust Un amour de Swan Folio Dostoïevski

policier qui a prêté serment au Maréchal Pétain, peut désobéir à un ordre qui porte atteinte à la dignité de l'homme. L'homme ainsi se redéfinit constamment par ses actions. Il est libre ce qui l'oblige à assumer ses responsabilités. Certes cette liberté est angoissante parce qu'elle nous interdit d'évoquer pour justifier notre conduite telle ou telle autre circonstance. Pour Sartre les excuses ne relèvent que de la mauvaise foi et de la lâcheté. Cependant qu'en est-il de ce criminel déclaré irresponsable

Est-ce que la théorie de Freud peut mener au bonheur en 2013? Dans sa théorie, Freud présente l’être humain comme étant composé de différentes facettes intérieures un peu comme des couches. La première est la couche consciente, qu’il appelle aussi le Moi, la deuxième est le préconscient aussi baptisée le Surmoi et pour finir, il y a l’inconscient que Freud nomme le Ça. Cette dernière est la partie la plus étudiée par Freud, car elle est, selon lui, la clef vers la guérison de nos problèmes

Sigmund Freud — Albert Einstein CORRESPONDANCE: «POURQUOI LA GUERRE?» (extrait) (1) Potsdam, le 30 juillet 1932. Monsieur et Cher Ami, Je suis heureux qu'en m'invitant à un libre échange de vues avec une personne de mon choix sur un sujet désigné à mon gré, la Société des Nations et son Institut international de Coopération intellectuelle à Paris m'aient, en quelque sorte, donné l'occasion précieuse de m'entretenir avec vous d'une question qui, en l'état présent des choses, m'apparaît

fin, nous désirons tout ce qu’on ne possède pas, et on ne peut pas tout obtenir. Aussi on ne peut pas combler nos désirs sans tenir compte des exigences du monde réel et les conséquences de ces actes. Il intervient le principe de réalité de Simon Freud qui désigne la capacité à repousser la satisfaction pulsionnelle. On ne pas exercer tout ce que l’on souhaite, c’est le principe de plaisir de Gustav Fechner où l’on est constamment à la recherche du bien-être, de la jouissance et de la satisfaction

Nous savons tous que la liberté est la possibilité de pouvoir agir selon sa propre volonté, le fait de penser sans avoir aucune contrainte. Selon Freud, la pensé contient trois niveaux de conscience qui nous permet d’agir consciemment ou inconsciemment. Faire tout ce qui me plait, relève-t-elle de l’inconscient ou du conscient? À première vue, tous ce qui nous plaise sont des besoins primaires à la base. On ne peut s’en passer et cela présente sous la forme d’une évidence. Ceci dit, on est libre

désirs : qu’est-ce qui nous définit comme être humain ? (Descartes, Marx et Freud) SA : Homme = mystère SP : Qu’est-ce qui nous définit comme être humain? SD : Descartes (raison et langage), Marx (travail et classes) et Freud (pulsions et désirs) DÉVELOPPEMENT 1. Descartes : dualisme de substances, «Je pense donc je suis» (chose pensante) 2. Marx : être social qui travaille, aliénation par le travail 3. Freud : Moi/Ça/Surmoi (topique #2), être de pulsions et de désirs CONCLUSION

Chapitre I Le point de départ de l’essai est une lettre reçue par Freud, en réaction à un précédent essai, intitulé L'Avenir d'une illusion, sur le thème de la religion. On lui fait remarquer que son analyse est pertinente, mais qu'elle ne prend pas en compte la véritable source de la religion – qui serait le sentiment d'éternité, appelé aussi sentiment « océanique » (image la plus concrète de ce qui n'a pas de bornes). Selon l'auteur de la lettre, ce sentiment, dès lors qu'il est ressenti, fait