Liberté Illimitée Et Désir

AIMONS-NOUS VRAIMENT LA LIBERTE ? AIMONS-NOUS VRAIMENT LA LIBERTE ? A. Analyse du sujet : * Analyse des termes : * La Liberté : Capacité d’agir sans contrainte Autonomie => capacité de donner ses propres règles, de se gouverner ou d’obéir qu’à soi-même Indépendance => n’avoir besoin que de soi-même (indépendance d’esprit : penser par soi-même) * Aimer : Sentiment d’affection et

question suivante : Qui paie les dettes et jusqu’à quand ? Celui qui paie les dettes est toujours l’associé (ou entrepreneur) mais il paie sur son patrimoine et tant qu’il y a des dettes (il peut donc être ruiné) lorsqu’il y a une responsabilité illimitée, alors que dans le cas d’une responsabilité limitée, on ne prend jamais sur le patrimoine de l’associé. S’il reste des dettes, tant pis pour le créancier il perd sa créance. Holding : Lorsqu’une société détient des actions ou part sociale d’une autre

pouvoir extérieur à soi, coercitif et donc opposé à la liberté au sens de « droitillimité à tout ce qui ten te l’homme et qu’il peut atteindre », de liberté naturelle, d’indépendance ; l’entrée sous l’autorité de l’État est entrée dans l’état civil et ses lois etsortie de l’état de nature sans lois, si ce n’est celle du plus fort pour certains (Hobbes contre Rousseau). Le problème est de savoir si cette opposition entre État et liberté est pertinente, car l’institution qu’est l’État présuppose

entrave ? Celui qui ne désire rien de ce qui lui est étranger. Et quelles choses sont étrangères ? Celles qu’il ne dépend pas de nous ni d’avoir, ni de n’avoir pas, ni d’avoir avec telles ou telles qualités, ou en telles conditions. Donc le corps nous est étranger, ses membres nous sont étrangers, la fortune nous est étrangère. Si, par conséquent, tu t’attaches à quelqu’une de ces choses comme à un objet personnel, tu recevras le châtiment que mérite celui qui désire ce qui lui est étranger

un pouvoir extérieur à soi, coercitif et donc opposé à la liberté au sens de « droit illimité à tout ce qui tente l’homme et qu’il peut atteindre », de liberté naturelle, d’indépendance ; l’entrée sous l’autorité de l’État est entrée dans l’état civil et ses lois et sortie de l’état de nature sans lois, si ce n’est celle du plus fort pour certains (Hobbes contre Rousseau). Le problème est de savoir si cette opposition entre État et liberté est pertinente, car l’institution qu’est l’État présuppose

germes essentiels d'une paix durable. (...) Je ne crois pas que la Russie désire la guerre. Ce qu'elle désire, ce sont les fruits de la guerre et une expansion illimitée de sa puissance et de sa doctrine. Mais ce que nous devons examiner ici aujourd'hui, alors qu'il en est encore temps, c'est le moyen d'empêcher la guerre de façon permanente, et d'établir dans tous les pays, aussi rapidement que possible, les prémices de la liberté et de la démocratie. Les difficultés, les dangers auxquels nous avons

Peut-il y avoir liberté sans loi ? Peut-on concevoir une liberté sans loi ? La question posée : Peut-il y avoir liberté sans loi ? ne revient pas à la deuxième: cad la possibilité de la concevoir ou de l'imaginer. Car c'est évident que l'on "conçoit" une telle liberté mais n'y a-t-il pas contradiction ? D'un côté, on la définit comme devant être sans contrainte, et de l'autre la liberté rencontre des empêchements ou des déterminations. Or, il est évident que la loi oblige et donc limite

Sujet : Le travail constitue-t-il une limite à notre liberté ? Intro Au mot « travail » s’associe généralement l’idée d’une contrainte sociale déplaisante et pénible. En effet qui ne souhaiterait pas à ne pas avoir à travailler ? Notre société se base sur la notion même du travail : il faut travailler à l’école pour pouvoir ensuite accéder à un métier pour lequel on travaillera encore afin de gagner sa vie. Or le travail implique que l’on doit se soumettre à des règle, ce n’est pas nous qui décidons

La liberté incarne sans doute l’une des aspirations humaines les plus profondes. Mais si la liberté physique nous parait acquise depuis des siècles, grâce aux évolutions et constituions successives, la liberté morale entendu comme responsable, demeure paradoxale : en effet on ne choisi par librement d’être libre. En ce sens, un effort de volonté semble nécessaire pour devenir libre. Ainsi la liberté est un choix difficile, de tous les instants, que peu d’hommes assument pleinement. Nombreuses sont

restaurer le sentiment primitif dans toute sa force et toute sa vivacité » > on parlera de pensées ou d’idée → concept qui s’oppose à celui d’impression (= sensations → « ensemble de nos perceptions les plus vives : audition, vue, tact, amour, haine, désir ou volonté. Et nous distinguons les impressions des idées, qui sont des perceptions moins vives dont nous avons conscience lorsque nous réfléchissons à l’une des sensations ou à l’un des mouvements mentionnés ci-dessus »). De ce fait → « La pensée