Liberté Nietzsche Sartre

soleil, des baisers et des parfums sauvages, tout nous paraît futile. » Foin des grands mots, des attitudes théâtrales, des postures héroïques tourmentées – la philosophie n’est pas dans la masturbation intello à la Hegel, ni dans les engagements à la Sartre, ni dans les prises de position des vertueux clamant leur vertu à la face des autres. La philosophie est l’art de bien vivre, dans la lignée des Grecs et de Montaigne. Elle est d’être ici et maintenant, et de réaliser au mieux sa condition d’homme

finalité de la lib. ? A quoi sert-elle ? DÉTERMINISME ET LIBERTÉ Déterminisme : univers explicable par des lois établies par la sc. Cause effet L'h. échappe-t-il à ce déterminisme ? Lib. ? Objections : Spinoza : libre arbitre inexistant car on est déterminés par Appétit Reconnaître la nécess. mène à la lib. Sujet : " La liberté est-elle d'abord la reconnaiss. de la nécessité ? " I Quelle est mon exp. de la nécessité ? Paradoxe liberté necessité (opposition) II Puis-je etre libre en

soi que l'on aime. Mais, aimer, c'est ressentir l'autre comme indispensable complèment de soi-même. c'est le reconnaître comme différent de soi et le vouloir tel qu'il est. Ce n'est donc jamais soi que l'on aime. SARTRE: "Aimer, est-ce vouloir priver l'autre de sa liberté ?" On reproche souvent à l'amour d'être possessif, tout en pensant le plus souvent que cette possessivité est la conséquence des sentiments des amants. Ainsi dira-t-on d'un amour qui n'est pas jaloux qu'il n'est pas non

langage : aboutissement ou corruption de la pensée ? 8 1. Le langage est l’aboutissement de la pensée 8 2. Le langage corrompt la pensée (Nietzsche, Sartre) 10 a. La primauté de l’intuitif sur le discursif (Schopenhauer) 10 b. Les concepts de la langue déforment la pensée originale 11 c. Le langage suggère une métaphysique (Nietzsche) 12 III. Y a-t-il un pouvoir du langage ? 13 A. Langage, société et pouvoir politique 13 B. Jeux de langage et formes de vie 15

quand on a mauvaise conscience ; ou a contrario elle donne une haute estime de soi lorsqu’on a bonne conscience. La conscience morale, c’est cette voix intérieure qui nous détourne de mal agir et nous incite à bien agir. Elle est la condition de la liberté et de la responsabilité inséparables de l’action morale ; autrement, c’est parce que l’homme possède la conscience qu'il peut être considéré comme un sujet libre et responsable de ses actes, donc comme un sujet moral. Dire de l’homme qu’il est libre

intention vers, une pure intentionnalité : telle est son essence, sa vraie nature. Certes, la conscience existe, mais comme relation à ce dont elle est conscience, et non comme une existence à part, enfermée dans son ipséité. Il faut alors, commente Sartre, dénoncer les illusions de la vie intérieure de l’âme, renoncer au mythe de l’intimité ou de l’intériorité, puisque la conscience n’a pas de « dedans », qu’elle n’est jamais une substance : « la conscience s’est purifiée, elle est claire comme un

« asservissement » ni soumission à une culture « dominante ». Conclusion de Race et Histoire : L’idée d’une nature humaine s’est donc peu à peu estompée sous les coups répétés de l’échec culturaliste, structuraliste et l’existentialisme de Jean-Paul Sartre. Avec Montaigne, il y a bien une volonté de retranscrire une sorte de l’état de l’âme humaine dans laquelle chacun peut se reconnaître. Ce qui fait que plutôt de parler de nature humaine, on parle de condition humaine. A travers un « moi » personnel

ou de « qu’est-ce qu’est la philosophie ? » reste toujours d’actualité et réévalue à chaque fois les réponses données. Des œuvres comme ceux de Nietzsche, Proust, Valéry, Cioran ont acquis le rang d’incassables vue l’ambigüité qu’ils inspirent entre sensibilité et pensée, passion et raison, imagination et action, tout et rien à la fois. Friedrich Nietzsche lui-même dans son Livre de la philosophie dit : « Grand embarras de savoir si la philosophie est un art ou une science. C’est un art dans ses fins

Par ailleurs, Marianne Chaillan argumente que J. K. Rowling suit plus la philosophie sartrienne de la liberté humaine. En donnant l’exemple de la cérémonie de répartition, Madame Chaillan explique que le Choixpeau tient compte de nos préférences, car il envoie Harry à Gryffondor selon son souhait. Ce sont nos choix qui vont nous définir. Cette scène fait donc référence à la célèbre thèse de Sartre - l'existence précède l’essence. Elle développe davantage cette philosophie sartrienne en comparant des

du tableau volé par Jean-Baptiste. Il se présente comme un juge pénitent. On se retrouve avec un mélange de fiction et une partie très réelle avec le véritable vol du tableau dans la cathédrale. On se demande si Jean-Baptiste n'est pas Jean Paul Sartre car ils s’étaient disputés. Jean-Baptiste ne sait pas quoi faire avec ce tableau. L'histoire se passé dans les années 1950 dans un bar. Quand il parle des gens qui forniquent avec le baby-boom de l'après-guerre. L’œuvre est ancré dans une réalité