Liberté Orwell 1984

tient entre les mains est un roman réaliste. Ainsi, le genre littéraire du roman est visible dans bon nombre de « grands incipits », tel Le dernier jour d’un condamné où le lyrisme romantique, expression du « moi », ou encore la revendication de la liberté de l’esprit montre bien le romantisme de cette œuvre hugolienne. De même, dans le genre très réglementé qu’est le polar, on remarque tout de suite l’appartenance d’un livre à cette catégorie, notamment la précision du cadre spatio-temporel, ou encore

obsession égalitaire. L’autre, plutôt de gauche, lui reproche un maccarthysme à l’envers. Qu’on se rassure : elles ont raison toutes les deux. Le PC pratique donc une censure, mais différente de celle de la novlangue imaginée par Georges Orwell (la langue de 1984 où il n’existe pas de mots pour énoncer les idées interdites), différente de celle de la vieille langue de bois (faite elle pour ne célébrer que la juste doctrine) ; une autocensure et joue du sentiment de culpabilité, la faute consistant

français quelques-unes de ses plus grandes œuvres (Horace, 1640 ; Cinna, 1642 ; Polyeucte, 1643). Sa pièce la plus connue reste néanmoins Le Cid (1637), une œuvre qui suscite en son temps la controverse (la fameuse que- relle du Cid), en raison des libertés prises par l’auteur avec les règles strictes de la tragédie classique. est une tragicomédie inspirée d’un sujet espagnol. de Chimène, mais contraint de choisir entre son amour et la défense de l’honneur de son père. Les personnages sont héroïques

des comptes à tout agent public de son administration ». Seulement, si le citoyen demande davantage d’information sur la conduite des affaires de l’Etat, il demande à la fois que, l’Etat lui garantisse la sûreté et la liberté qui s’obtiennent souvent par une restriction de leur liberté d’information et la nécessité de conserver certaines affaires de l’Etat secrètes. En effet, se pose la question de la conciliation entre l’exigence de transparence dans une société démocratique et la nécessaire préservation

l’insurrection, 8 L’accident, le fait divers, institué en évènement, 11 II. La réalité insurrectionnelle, phantasme et peur d’une société qui se perd, 13 Les conditions de la guerre sociales, 13 La société des gardiens, 14 La société contre la liberté, 18 III. L’insurrection, l’héritage impossible de nos démocraties, 19 Le mythe fondateur de nos sociétés démocratiques, 19 Le mythe de la corruption, fondement de notre imaginaire social, L’insurrection comme mythe de la purification politique

n'avons aucune emprise et que nous devons donc accepter et supporter. Le destin est lié à la puissance divine qui régit le cosmos, le logos. Ce « fatalisme » (de « fatum » en latin, le destin) est une des caractéristiques de cette philosophie. La liberté de l'homme tient dans la manière dont il réagit aux événements auxquels il ne peut rien changer : s'il ne peut rien modifier aux événements qui l'affectent, il est cependant le maître de la manière dont il les accueille et dont il y réagit

Houellebecq, Bruckner désigne comme principaux responsables de la dépression contemporaine, le libéralisme et le capitalisme concomitant, l’individualisme et le mouvement de libération de mai 68. L’utopie du libéralisme est morte. Chez Houellebecq, la liberté est défigurée par les injustices, l’inégalité et la violence. Selon l’auteur, l’autonomie, que le libéralisme reconnaît à tous, est devenue en fait le privilège de quelques-uns. Avec le libéralisme, c’est l’individualisme cynique et la faillite

amène à nous interroger sur les limites morales, politiques, juridiques à imposer à ce pouvoir démiurgique. Désormais, le progrès technique n’est donc plus nécessairement assimilé à un progrès pour l’être humain, il peut constituer une menace pour sa liberté, son autonomie, son intégrité corporelle, et plus radicalement pour son humanité. À moins peut-être d’envisager une nouvelle humanité créée par la technique comme le summum du progrès, perspective que certains défendent aujourd’hui. L’enjeu contemporain

publication posthume en 1925), ou encore nommé à une charge qui n'existe pas (le Château, publication posthume en 1926). L'influence de Kafka sera profonde sur tout le roman du XXe siècle, et suscitera chez de nombreux écrivains une plus grande liberté face aux canons du réalisme. Parmi les nombreux romanciers qui ont participé à ce renouveau de la littérature d'imagination, Mikhaïl Boulgakov, Boris Vian, mais également la génération du boom de la littérature latino-américaine, qui publie ses œuvres

La ville est entourée par un « rempart haut et large » => protection (enfermement) A côté du travail : activités ludiques et culturelles proposées à tous les utopiens : Ce sont des activités absolument libres (à l’opposé du travail). Cette liberté donne un sens à ces activités. * L’organisation politique (ou idéal moral utopien) : More ne précise pas le régime politique, mais les principes sur lesquels repose ce régime. La vie politique doit être animée par le bien général, dès lors les