Liberté René Descartes

Philosophie La liberté I] L’existence de la liberté Dans l’Antiquité, en grec, il n’existait pas de mot définissant la liberté. Cela désignait uniquement un statut social : ne pas être esclave. La problématique de la liberté apparait plus tard avec le christianisme. Descartes fait partie de ce courant chrétien. A) Le libre arbitre et l’influence du christianisme 1) La vie de Descartes a) Sciences et philosophie René Descartes (1596-1650 : première moitié du

moment, l'homme primitif se sent lié au monde, dépendant de lui, soumis à un ordre qui le dépasse et dont il ne distingue pas les différents plans. Se sentant soumis à une destinée à laquelle il ne peut échapper, il méconnaît encore les pouvoirs de sa liberté. L'homme est un être du monde et ne peut rien lui ajouter. Pas de fossé ontologique entre l'homme et le Grand Tout. L'homme ne se distingue pas du monde. Rien n'est vraiment étranger à l'homme et certainement pas lui-même. B. L'opposition objective

Comparaison entre Descartes et Nietzsche Tout être humain ressent des émotions mais chacun de nous leur donne une certaine importance, différemment d'un individu à l'autre. Pendant que l'un vit dans une quête d'émotions fortes, d'autres passent leur vie à essayer de cacher ce qu'ils ressentent. Cette réflexion m'amène à comparer l'importance que nous devons accorder aux passions dans notre vie, selon les idéologies de Descartes et de Nietzsche. Je vais donc présenter le contexte historique, la thèse

consciences, nous verrons ensuite s'il est possible d'opposer leurs arguments a d'autres en nous interrogeant sur ce qui finalement, défini un être humain. I LES ANIMAUX ONT TOUJOURS ETE CONSIDERES COMME DES ETRES SANS CONSCIENCE. Au 17eme siècle, René Descartes et d'autres philosophes de l'époque s'interrogeaient sur la conscience des animaux et plus précisément sur la part de conscience qu'il y aurait ou pas en eux. Cette réflexion les a poussé a une conclusion selon laquelle les animaux seraient dépourvus

A travers "Dieu, garant de l'existence" extrait du Discours de la Méthode, René Descartes nous oriente vers un personnage mythique dont il défend l'existence et notamment le fait qu'il serait le garant des idées innées. Le fondateur du rationalisme moderne prouve l'existence de Dieu par le biais de raisonnement solides, car comme il a pu le citer : "Il vaut mieux ne jamais songer à chercher la vérité sur aucune chose que de le faire sans méthode". Par exemple, il introduit l'idée de parfait

Explication de texte
 Discours de la méthode, Descartes Cet extrait est tiré de l’ouvrage Discours de la Méthode écrit par René Descartes, philosophe du XVIIe siècle. Descartes dans ce texte soulève l’idée que l’homme risque d’être dans un perpétuel état d’insatisfaction s’il souhaite sans cesse désirer l’impossible, bien qu’il s’interroge aussi de savoir s’il est possible de maîtriser ses désirs.
 Dans un premier temps, Descartes présente sa troisième maxime, où il dit qu’il faut s’habituer

puisque les thème et formes littéraires du siècle précédent persistent. À la recherche de la vérité : La philosophie de René Descartes (1596-1650), le cartésianisme, devient celle de la monarchie absolue. Elle est à la base de la littérature classique par son souci d'ordre et de discipline. En érigeant le doute comme principe de son système métaphysique, Descartes arrive à sa célèbre formule «Cogito, ergo sum» (Je pense, donc je suis). De cette façon il affirme la raison comme critère de la

Chapitre 1 : la conscience comme commencement. Introduction René Descartes est celui qui va révolutionner la philosophie. Il est en rupture avec la philosophie aristotélicienne issue de la théologie médiévale. En effet, à partir du XIIe siècle, le théologie catholique sous l'influence musulmane va construire toute une école (la scolastique) en récupérant la pensée d'Aristote, ses concepts et ses catégories. C'est notamment vrai dans la physique. Mais à partir du XVIe siècle, et surtout au tournant

grande liberté : le choix. Se mettre en accord avec soi-même, c'est accorder sa volonté avec ses actions. Pour Sartre l'homme est un être en devenir, qui peut s'il le décide résister à la contrainte, si sa conscience l'y autorise. Mais la notion de conscience de soi ne va pas sans les notions de morale, de contrainte et de transgression. La morale ne consiste-t-elle pas à nous faire ressentir le poids et la force du bien et du mal ? Il nous faudra donc définir ce qu'on entend par liberté : la possibilité

au « dialogue constant »1 avec Platon, Aristote, René Descartes, Martin Heidegger et Ludwig Wittgenstein, entre autres. Ce dialogue est motivé par des questions qui « font partie intégrante de cette pensée que » Meyer appelle « ‘’problématologie’’ et qui n’est rien d’autre que l’étude du questionnement »1. Son problème de base est, de certaine manière, que « depuis Descartes, le fondement était l’homme vu comme un sujet qui instaurait, par sa liberté, ses normes d’action comme son savoir, c’est-à-dire