Libido

le fait qu’ils manquent leur but : on pourrait les grouper sous le nom d’actes manqués. __________________ Quatrième leçon - Les complexes pathogènes. Les symptômes morbides sont liés à la sexualité. La sexualité infantile. L’auto-érotisme. La libido et son évolution. Perversion sexuelle. Le complexe d’Œdipe. La première découverte à laquelle la psychanalyse nous conduit, c’est que, régulièrement, les symptômes morbides se trouvent liés à la vie amoureuse du malade; elle nous montre que les désirs

faire pour que ce qui est inconscient, le reste. La psychanalyse c’est essayer de permettre à ce qui est refoulé de revenir sur la scène consciente. Refoulement= mise hors de la conscience de ce qui nous gêne. Libido= (énergie vitale) Tout ce qui est refoulé est porteur d’un libido. Tout ce qui est refoulé revient de manière cachée nous jouer des tours (lapsus, rêves, actes manqués…). La psychanalyse permet de relever le refoulement ; permet aux individus d’accéder aux pensées

se fait au prix de la réduction de l’importance de la sexualité. Il refuse également la mise en avant de l’inconscient collectif au détriment des pulsions du moi et de l’inconscient individuel, et la non-exclusivité des pulsions sexuelles dans la libido que propose Carl Gustav Jung. En juin 1911, Alfred Adler quitte Freud le premier, pour fonder sa propre technique et sa théorie. L'année suivante c'est au tour de Wilhelm Stekel, alors qu'en 1913, en septembre, Freud se brouille avec Carl Gustav Jung[17]

de Freud. Ouvrage fondamental : « le tempérament nerveux » (1912). Pour Adler, la volonté de puissance est plus importante que le désir de jouissance. La clef des troubles nerveux ce n’est pas pour lui une difficulté sexuelle, un refoulement de la libido (pulsion sexuelle) mais le sentiment d’une infériorité, en particulier d’une infériorité physique. Les symptômes névrotiques sont une façon symbolique de masquer, de compenser cette infériorité. Tous les hommes (à cause de la longueur de l’enfance

l’étude de la curiosité proposée par St Augustin  : La Libido sciendi est le terme employé par Saint-Augustin pour désigner la curiosité qui est vue péjorativement comme un désir de savoir trop développé. En effet, Saint-Augustin fait de la curiosité l’une des trois concupiscences (désir des biens et des plaisirs terrestres) qui sont : la libido sentiendi (le désir des sens), la libido dominandi (le désir du pouvoir) et la libido sciendi (le désir de savoir). Souvent, ces désirs se mêlent comme

de la tension ) - Sa source (qui est à la fois le lieu ou elle se manifeste et l’énergie qui s’y trouve) - Son objet (qui va la satisfaire) Le concept de libido Représente l’énergie dérivée des pulsions sexuelles, qui va se répartir différemment au fur et à mesure du développement de l’enfant. La libido s’investit à la fois dans le sujet lui-même, soit dans les objets Attention : la sexualité de l’enfant n’est pas la sexualité génital de l’adulte : ce concept est pris dans

Document téléchargé depuis www.cairn.info - Biblioth?que Municipale de Lyon - - 193.48.136.254 - 14/03/2015 14h40. © ERES Pour désirer il faut avoir un corps. Et pour avoir un corps, il faut l’avoir investi, il faut l’avoir peint avec ce que Freud nomme libido. Désirer un autre corps suppose d’avoir peint au préalable l’image de son propre corps comme désirable. Le fantasme n’est pas autre chose : l’habillage imaginaire de son être de rebut en un corps supposé désiré par l’Autre. Mais la question est :

indifférenciée. On appelle cela la libido qui est une énergie disponible qui peut donner lieu à toutes pulsions qui jusqu'alors était indifférenciée. Il va doucement apprendre la maitrise de ces gestes. …........Ce manifeste dans le somatique. Le but de la pulsion c'est la disparition de cette tension (ex : sensation de faim) : le plaisirs. La libido peut se déplacer d'une pulsion à une autre, autrement dit l'énergie pulsionnelle pour se diriger vers différents objets (Ex : Libido: - pulsion de conservation

montrer que l’hypnose a un pouvoir de suggestion d’un homme sur un autre (cf. Mesmer) il faut s’assurer d’avoir foi, attribuer un pouvoir. Freud souligne que le symptôme est de nature sexuelle lié à la sexualité infantile (celle que recouvre la libido) D’abord essentiellement auto érotique pour devenir hétéro érotique. Freud insiste pour dire que l’émergence du symptôme est la remémorisation d’un traumatisme et défini comme l’expression de l’accomplissement du désir et la réalisation de fantasme

de l’enfant n’ayant pas encore atteint sa maturité. Pour Anna Freud, il est possible d’évaluer le développement et de recueillir des éléments permettant d’apprécier l’opportunité d’un traitement selon un double point de vue. A savoir, d’une part, libido et agressivité ; d’autre part, moi et surmoi : par définition, le Moi est ce qui se développe par la différenciation de l’appareil psychique au contact de la réalité extérieur. C’est à lui que revient la défense de la personne et son ajustement,