Libido

de la puberté Quelques définitions : Objet sexuel : personne dont émane l’attraction sexuelle But sexuel : l’acte auquel pousse la pulsion Pulsion : besoin sexuel libido 1- Les perversions ou aberrations sexuelles Dans ce premier chapitre il revient sur l’idée que la libido (pulsion sexuelle) ne s’installerait pas chez l’individu à l’adolescence et n’aurait donc pas comme but la seule union sexuelle avec l’objet (personne) du sexe opposé. Freud avance au contraire

au cours du développement de l'enfant qui définit la maturation des pulsions. 2 – La libido. Énergie sexuelle : Désirs qui diffèrent des pulsions en ce sens qu'elle ne recouvre que l'aspect psychique. L'aspect quantitatif : Quantité d'énergie non mesurable mise au service de la pulsion → Libido du Moi : Ce que l'on investit. → Libido d'objet. Développement libidinal : La libido se développe au cours de l'histoire de l'être humain et crée sa personnalité. II – Développement

1910, qui reprend quatre conférences de Sigmund Freud aux Etats-Unis ; Totem et tabou, publiée en 1913, qui est une théorie de la culture en rapport avec la psychanalyse. En 1930, Freud obtient le prix Goethe malgré les polémiques qu’il suscite (libido chez l’enfant par exemple). A partir de 1923, il souffre d’un cancer de la mâchoire, qui lui vaudra des traitements douloureux et des opérations chirurgicales à répétition. Malgré cela, il s’efforce de continuer à pratiquer et à répandre la psychanalyse

athmosphère sombre, des décors épurés, un homme et une femme qui semblent ne pas se connaitre mais qui se cherchent déjà et la magie Carte Noire qui fait son effet : une respiration de vapeurs et c’est le total envoutement, l’idylle assurée, voir la libido exaltée. Les cinéphiles feront évidemment le lien avec le film mythique d'Elia Kazan Un tramway nommé désir révélant Marlon Brando et tiré de la pièce de théâtre éponyme de Tennessee Williams (prix Pullitzer en 48). Rarement un slogan n'aura

la pulsion sexuelle ou « libido » qui peut être ainsi retracé : - de la naissance à l’âge d’un an environ, l’enfant éprouve ses premières jouissances dans l’excitation rythmique des muqueuses buccales : le suçotement. Très vite, apparaît le plaisir de mordiller, manière pour l’enfant de s’approprier le sein maternel, premier objet de son désir. Cette étape, caractérisée par l’appui de la pulsion sexuelle sur la fonction de nutrition, FREUD la nomme : stade oral de la libido. - entre deux et trois

le corps. 1. Du point de vue nosologique →Paradigme freudien. Couple hystérie/névrose-obsessionnelle ET limite entre névrose/psychose. Psychose hystérique = aspects délirants + état névrotique. Accumulation d’excitations sexuelles sans issue => libido se transforme en angoisse. →Névrose d’angoisse. Perspective économique. 2. Du point de vue de la sexualité →Psychanalyse et l’étiologie sexuelle. La sexualité ne se réduit plus au génital, mais au Prégénital = sexualité infantile. →Pathologie

culturellement. C’est un jeu masculin, éducatif, où les jeunes hommes, pas encore mariés, maîtrisent leurs pulsions et leurs sentiments, comme ils apprennent à maîtriser leur corps dans un tournoi (ce qui n’exclut pas qu’ils laissent libre cours à leur libido avec des femmes de rang inférieur). De plus, la femme est une proie ; celle qui est la cible de l’amour courtois des jeunes est souvent l’épouse du suzerain, qui la donne en enjeu. Origines et développement L'amour courtois est une conception

(conscient, principe de réalité, processus secondaire), Ca (inconscient, processus primaire) et Surmoi (préconscient, instance interdictrice). Le Moi est un compromis du ça, surmoi et de la réalité. Il s’adapte et permet de s’autonomiser. La libido est une énergie pulsionnelle du sujet (pulsion sexuelle au sens large). La pulsion est un concept assez central entre le psychique et le somatique. C’est une force inconsciente qui oriente l’organisme vers un but (satisfaction). La source

de désir et elles sont orientées vers la recherche de plaisir, de bien-être, de bonheur et de jouissance. Elle sont de ce fait, essentiellement dominées par le principe de plaisir* et sont sous-tendues écono-miquement par une énergie sexuelle : la libido*. Ces aspirations non vitales distinguent l’homme de l’animal qui n’est lui, géré dans la nature, que par ses pulsions de conservation, son instinct. Chez l’enfant les pulsions sexuelles ne sont pas unifiées. Elles se trouvent sous la forme d’un

humaine. Une personnalité équilibrée. Une personne équilibrée a une personnalité où il y a un équilibre entre le ça, le surmoi et le moi. Le « ça » : le réservoir des pulsions inconscientes qui sont régies par le principe du plaisir. 2 forces : - la libido : c’est l’énergie de la pulsion sexuelle, pulsion de vie, d’amour,… « EROS » - la pulsion destructrice de mort. ( THANATOS). Le « moi » : c’est le centre des mécanismes cognitifs conscients qui contrôle les pulsions. Le moi est