Libido

La sublimation, processus décrit par Freud comme rendant compte de la production d'activités socialement valorisées - production artistique, investigation intellectuelle - fait avec la pulsion. Ce processus opérerait une satisfaction de la libido par la production de ces objets que sont les œuvres d'art. La pulsion dans ce processus élide son but sexuel, l'inhibe dit Lacan, pour cependant ne pas venir se satisfaire dans un symptôme par le retour du refoulé comme dans la névrose, mais directement

implique des renoncements qui parfois amènent à des névroses ou autres troubles psychiques. C'est l'impossibilité de ce renoncement qui conduit à la névrose ou à d'autres "solutions" (délire, retraits psychiques, perversion, etc.). La pulsion sexuelle (libido) ne peut faire l'objet ni d'un interdit absolu ni d'une satisfaction totale. Le compromis névrotique est une voie de dégagement mais il peut induire une énorme souffrance et c'est ce qui conduit quelqu'un à souhaiter et à entreprendre un traitement

sexe opposé et d'âge équivalent. "La perversion est la prédisposition originelle et universelle de la pulsion sexuelle" (Freud). Mais l'enfant peut aussi fixer une de ces pulsions partielles, renvoyant la libido à un point de fixation prégénital. S'il n'y avait pas de refoulement oedipien, la libido continuerait à s'exprimer sous forme de perversion sexuelle. Ainsi selon Sigmund Freud , la névrose est le contre-pied de la perversion. Le refoulement primaire forme un noyau (primaire lui aussi) qui attirera

latence, des mots pour le dire de Marie Cardinal 3ieme tps du trauma, : s’étend 1905/1920 (3 essais question sexuel….. jusqu’à la 2 ieme topique), la prise en cpte du dév de la séxualité infantile : la libido (NRJ sexuelle) se conjugue avec le dev de la sexualité infantile, dev ontogénique de la libido qui se localise sur des zones : orale d’abord (avec des sens proximaux : gustatif et odorat au départ, relation objectale de proximité au départ) angoisse à ce stade : détresse primitive : sentiment d’impuissance

Nous distinguerons pour être un peu schématique. Eros et l’amour platonicien Philia et l’amour aristotélicien Les atomes crochus et l’amour épicurien Agapé et l’amour pascalien La reproduction sexuelle et l’amour selon Schopenhauer La libido et l’amour freudien Le Désir du manque et l’amour lacanien. La transgression dans l’érotisme de Bataille Dans son traité « Le monde comme volonté et représentation » Schopenhauer développe tout un grand chapitre « La Métaphysique de l’amour

champs de vision converge vers l’objet, on ne voit plus le reste. Le désir , et les passion forment l’une des caractéristiques propres à l’homme. Le désir est différent du besoin ( boire , dormir ) , le désir est psychologique . FREUD parle de LIBIDO «  je désire » . Pour SPINOZA «  l’homme est un être de désir » c-a-d que le désir est notre moteur principal car l’homme vie de désir en désir et d’objectif en objectif. Il nous pousse a l’action , nous protège de l’avenir , il est l’essence de

qu’elles déprécient la vie sensible, s’oppose à son expansion. Vouloir épargner à l’homme les souffrances, c’est le condamner à ne ressentir jamais aucun plaisir. 4) Principe de plaisir et principe de réalité : Pour Freud, la pulsion sexuelle, la libido est la source des désirs qui cherchent à s’affirmer sans détours. Mais la réalité impose sa nécessité et ce sont les pulsions du moi, visant à la conservation de ce dernier qui conduisent à refuser ou différer certains plaisirs dangereux et à accepter

savoir ce qui va déclencher l’achat. Ce pourrait-il que ce soit les motivations inconscientes, les désirs inconscients inavoués, les fantasmes ? La publicité use et abuse alors des concepts psychanalytiques qu’elle va simplifier et transformer. La libido et la sexualité sont alors susceptibles de faire vendre. On voit alors apparaitre dans la pub la mise en scène de pulsion. Ils travaillent surtout sur « le principe du plaisir » Les produits sont alors associés à l’érotisme et les slogans tels que

ont pu se transformer en excitations idéales. C’est-à-dire que le désir qui était jusqu’alors bestial est devenu une excitation idéale, un désir sentimental : un désir d’amour. Indirectement, dans la fin de ce texte, Kant fait un « portrait » de la libido, du désir sexuel. Sous l’effet de la raison, il y a une transformation naturelle de l’instinct en désir sexuel. Grâce au sentiment que représente l’amour, il y a une découverte de l’homme par rapport à l’humanité, puis par rapport à la nature. L’homme

sans le psychisme - Le psychisme forme un appareil avec stratification - « le conscient et la mémoire s’excluent mutuellement » - Pensée conscienteperceptions - Mémoireinconscient • Etiologie des névroses : - L’angoisse « stase de la libido »désir sexuel insatisfait ( coitus interruptus) - Troubles névrotiqueséduction infantile plaisir + culpabilité - Abandonne théorie de la séduction (traumatisme) - De l’évènement extérieurau fantasme : évènement anodins + désir inconscient