Libre échange

dotation factorielle, libre-échange et protectionnisme, commerce intra-firme, compétitivité prix et hors prix, délocalisation, externalisation, firmes multinationales, spécialisation. En partant d'une présentation stylisée des évolutions du commerce mondial et en faisant référence à la notion d'avantage comparatif, on s'interrogera sur les déterminants des échanges internationaux de biens et services et de la spécialisation. On analysera les avantages et les inconvénients des échanges internationaux pour

Economie Internationale I. Les fondements de l’échange international Constat des échanges internationaux de biens et de services Les flux mondiaux de biens et de services sont le reflet de la DIT (Division Internationale du Travail) A/ La mondialisation Sur un plan économique, la mondialisation peut-être définie comme une internationalisation et une interpénétration croissante des économies. La croissance du commerce international a réellement débuté au 19eme et surtout

effet domine les échanges avec le reste du monde et le centre d’impulsion de l’économie mondiale se trouve sur les bords de la Tamise en cette fin du XIXe siècle. La Grande-Bretagne est le centre de l’économie-monde au XIX siècle. Dans les années 1850-1860, l’industrie britannique profitant de son avance technologique fournit du matériel ferroviaire des machines et des produits textiles à de nombreux pays : elle est l’atelier du monde. Seule attachée à une politique de libre échanges avec le traité

distances (ex : bateau (semaine) > avion (heure) pour aller jusqu'à New York) / Traités bilatéraux ou multilatéraux. N.B : Bilatérale entre deux Etats. Ex : IIème Guerre Mondiale enchainement de traités > GUERRE. Au Etats Unis, aucun commerce libre : tout est contrôlé. Mondialisation & Globalisation entraine « l’abandon » des frontières physiques entre les Etats qui a laissé place aujourd’hui à des barrières économiques. (ex : plus de douane entre les pays européens). D’où l’expression

la fin de la seconde guerre mondiale les échanges internationaux ont connu des mutations importantes. * D’une part, les échanges de marchandises ont progressé plus vite que la production de ces marchandises : par exemple, sur la période 1990-2003, les échanges de marchandises ont progressé chaque année de près de 6 % en moyenne, contre une augmentation annuelle moyenne de seulement 2 % pour la production de marchandises. Sur cette période, les échanges se sont donc accrus trois fois plus vite

internationale se caractérise par une multitude de questions et d’hypothèses, elle constitue un thème à la fois ancien et très développé de la science économique. Afin d’analyser les faits récents, il est primordial d’établir un aperçu historique sur les échanges internationaux, car pour comprendre la situation actuelle il est nécessaire de la comparer avec les faits anciens. D’où l’intérêt de notre première section. Dans un premier temps nous verrons la théorie des avantages absolus formulée par Adam Smith

la progressive intégration des partenaires en présence mais le mouvement s’est fortement accéléré dans la deuxième moitié du XXe siècle. Se donnant pour objectifs croissance économique et progrès sociaux, les économies nationales ont multiplié les échanges en tous genres puis les accords d’intégration tandis que les firmes à la recherche du profit adoptaient des stratégies dépassant le cadre national. A) INTEGRATION ET REGIONALISATION : a) Les degrés d’intégration : Il faut distinguer

L’environnement des échanges douaniers La Direction Générale des Douanes et Droits indirects est une administration fiscale rattachée au Ministère de l’Économie et des Finances, chargée de : 1 - de collecter la fiscalité attachée à ses prérogatives (perceptions diverses pour alimenter le budget communautaire appelées ressources propres et alimenter le budget national, c'est-à-dire les ressources nationales, les budgets des collectivités territoriales et les droits divers comme les droits de port

économie fermée, est une économie qui vit en autarcie, c’est-à-dire qui n’a aucun échange avec l’extérieur. Paul Valéry : « Si l’Etat est fort, il nous écrase, s’il est faible, nous périssons. » I. L’économie ouverte : le libre marché à la main libre A. Les lois du marché dans une économie ouverte : Théories libérales du marché Adam SMITH : le « laisser-faire » et la main invisible RICARDO : le libre-échange et l’avantage comparatif Le fonctionnement d’une économie ouverte B. D’un état

I COM-P RE NDR E I . NIME RCE Lelibre-échange bor est-il outes nations les intérêt ont-elles à pratiquer librele 1.Del'échange libre-échang au ' sans échânge,pâs de porlâ11ts. D',où des elfets velopper leurs atouts dâns division du travail ni de boûle de neige, qui font certainsdomain€s,mais en spécialisation, sansdi- que lâ richesse et âttire1ari diversifiant lett tissù provision du travail social, chesse, sauf intenention dùctif. La câpâcitéà se pâs de gains d'efficacité. volontâristede