Licteur

circumnavigation (295), travaux édilitaires (176), empyrée (297), éphébie (176) et éphèbe (224), faune (122), fermage des impôts (243), gymnosophistes (18), hiatus (34), hiérophante (161), Hilotes (129), janiteur (27), laticlave (120), légat aux armées (86), licteurs (56), logogriphe (309), magister (43), maître-queux (207), monolithes (184), municipe (41), nécromanciens étrusques (40), ordre équestre (39), pastophore (196), patricien (121), prépotence (161), principat (73, 182, dignité impériale, règne d'un

circumnavigation (295), travaux édilitaires (176), empyrée (297), éphébie (176) et éphèbe (224), faune (122), fermage des impôts (243), gymnosophistes (18), hiatus (34), hiérophante (161), Hilotes (129), janiteur (27), laticlave (120), légat aux armées (86), licteurs (56), logogriphe (309), magister (43), maître-queux (207), monolithes (184), municipe (41), nécromanciens étrusques (40), ordre équestre (39), pastophore (196), patricien (121), prépotence (161), principat (73, 182, dignité impériale, règne d'un

Citoyens donnoit son suffrage de dessus les toits. Où le droit et la liberté sont toutes choses, les inconvéniens ne sont rien. Chez ce sage peuple tout étoit mis à sa juste mésure : il laissoit faire à ses Licteurs ce que ses Tribuns n'eussent osé faire; il ne craignoit pas que ses Licteurs voulussent le réprésenter. Pour expliquer cependant comment les Tribuns le réprésentoient quelquefois, il suffit de concevoir comment le Gouvernement réprésente le Souverain. La Loi n'étant que la déclaration

inflexible qui, ayant des son début bien étudié le caractere et la fin de la révolution franyaise, voulait immédiatement la mener a son but, en brisant tous les obstaclos; le cnar lancé devait tout broyer sous ses roues (1) : la dictature avec ses licteurs, dictature militaire ou civile, selon les circonstances, mais en tons - cas immense. C' est dans cette situation logique que Marat s' était placé a la Convention nationale. D' une laiileur hideuse, accronpi dans un coi n de l' Assemblée, comme les

tirée, non plus du dehors, mais d’elle-même. Les tribuns ne sont pas des magistrats. Des magistrats, même à l’époque où en fait ils furent considérés comme tels, ils n’eurent jamais les insignes, ni la toge prétexte, ni la chaise curule ; ni les licteurs et les faisceaux, pas plus que le droit de prendre les auspices. Ils sont, non les tribuns du peuple romain, mais les tribuns de la plèbe, toujours appelés ainsi, et toujours nécessairement plébéiens, alors même que la distinction entre la plèbe

bien d'abord le siège curule (siège d'ivoire) sur lequel siège le roi. Ensuite le sceptre surmonté d'un aigle, ensuite un autre symbole, la couronne de feuilles d'or et enfin le manteau de pourpre. En outre le roi est toujours accompagné de douze licteurs qui portent des faisceaux de verges qui enserrent une hache. Ces faisceaux sont le symbole du pouvoir absolu du roi qu'on appelle l'imperium et cet imperium comporte le pouvoir de commander l'armée et de commander aussi aux autorités civiles, cet

pratique. 4) L'armée : A partir d'Auguste, l'Empereur se réserve le droit de commander l'armée et d'avoir droit au Triomphe pour éviter qu'un général victorieux devienne trop populaire. De plus, il s'entoure d'une garde prétorienne qui remplace les licteurs. Auguste a réformé l'armée. Il l'a transforme en une véritable armée de métier qu'il regroupe en 300000 hommes (28 légions). Le service militaire est de 16 ans. Les soldats reçoivent une solde à intervalle régulier. Une fois le service accompli,

interne, intra muros. Mais ce pouvoir lui confère avant tout la main mise sur un certain nombre d’activités juridictionnelles : le pouvoir s’exprime aussi par le symbole, par certains attributs : désormais le roi étrusque se déplace entouré de 12 licteurs : officiers portants une double hache, chargés de le protéger mais symbolisant cette justice, une justice pouvant être expéditive puisqu’ils ont le devoir de châtier immédiatement voir par la mort celui qui contrevient aux aspirations du monarque (désobéissance

Ils sont accompagnés de 12 dicteurs. Pouvoir de détention majeur. Ils donnent leur nom à l’année et on un pouvoir de commandement politique en plus d’assurer la juridiction militaire et du pouvoir de commandement de l’armée. Les prêteurs (2 licteurs chacun) ont un pouvoir de commandement militaire, même pouvoir politique que les consuls, ils sont spécialisés dans les affaires judiciaires. Ils peuvent convoquer et présider le Sénat. Le procès à Rome comportait 2 phases : ils trouvaient un magistrat

(Assemblées plus faibles). • L’activité judiciaire était également entre les mains des magistrats. Les magistrats disposaient d’un pouvoir de coercition contre tout individu. Ce pouvoir de contrainte était symbolisé par les « licteurs », la garde personnelle du magistrat. b) Les modes de désignation des magistrats. Le principe est l’élection des magistrats supérieurs par les comices centuriates. Election des magistrats inférieurs par les comices tributes. L’Assemblée