Licteur

mariage avec T. Claudius Néron, elle eut Tibère (empereur de 14 à 37). Elle fut l’arrière-grand-mère d’Agrippine. - Vers 86 : «faisceaux couronnés de lauriers» : honneurs réservés aux principaux dignitaires de l’empire qui se déplaçaient précédés de licteurs portant un faisceau de verges. - Vers 88 : «confiance» : Il faut respecter la diérèse : «confi-ance». - Vers 89 : «irritent» : «excitent». - Vers 90 : «crédit» : «influence», «considération». - Vers 91 : «n’est plus que» : «n’est plus où». Cet

mariage avec T. Claudius Néron, elle eut Tibère (empereur de 14 à 37). Elle fut l’arrière-grand-mère d’Agrippine. - Vers 86 : «faisceaux couronnés de lauriers» : honneurs réservés aux principaux dignitaires de l’empire qui se déplaçaient précédés de licteurs portant un faisceau de verges. - Vers 88 : «confiance» : Il faut respecter la diérèse : «confi-ance». - Vers 89 : «irritent» : «excitent». - Vers 90 : «crédit» : «influence», «considération». - Vers 91 : «n’est plus que» : «n’est plus où». Cet

France, et Jeanne d’Arc, est étroite. La statuaire républicaine campe l’allégorie debout, levée, coiffée du bonnet phrygien et vêtue à l’antique d’un drapé. Elle tient fermement dans sa main droite une lance qu’on peut assimiler aux faisceaux de licteurs qui sont le symbole dans la Rome antique de la force militaire légitime des magistrats romains. Son bras gauche est levé  ; on peut interpréter ce geste à la fois comme un salut aux troupes conviées à la fête nationale et comme une manière de scruter

France, et Jeanne d’Arc, est étroite. La statuaire républicaine campe l’allégorie debout, levée, coiffée du bonnet phrygien et vêtue à l’antique d’un drapé. Elle tient fermement dans sa main droite une lance qu’on peut assimiler aux faisceaux de licteurs qui sont le symbole dans la Rome antique de la force militaire légitime des magistrats romains. Son bras gauche est levé  ; on peut interpréter ce geste à la fois comme un salut aux troupes conviées à la fête nationale et comme une manière de scruter

Chantez, riez ; soyez heureux, soyez célèbres ; Chacun de vous sera bientôt dans les ténèbres Le spectre au regard blanc. La foule vous admire et l’azur vous éclaire ; Vous êtes riche, grand, glorieux, populaire, Puissant, fier, encensé ; Vos licteurs devant vous, graves, portent la hache ; Et vous vous en irez sans que personne sache Où vous avez passé. 133 Jeunes filles, hélas ! qui donc croit à l’aurore ? Votre lèvre pâlit pendant qu’on danse encore Dans le bal enchanté ; Dans les

parlement, ne veulent pas changer l’ordre social et économique (anticapitaliste). 16. Fascisme (s’oppose au modèle démocratique et au communisme) Vient d’une organisation d’anciens combattants. « Faisceaux italiens de combat ». Le faisceau des licteurs, symbole du Parti National Fasciste Le mot fascisme est employé pour la première fois par Benito Mussolini en 1919 ; le terme fait référence aux faisceaux (fasci), assemblage de verges liées autour d’une hache, qui représentait l’unité civique

travailleurs, (…) allocutions délirantes de Goebbels proclamant jusqu’à l’extrémité que l’Allemagne allait triompher » (p. 189) ; quant à Mussolini, « il donnait à son pays l’air d’être uni et résolu par le moyen des cortèges, des faisceaux et des licteurs. (…) appuyé sur ces apparences, il devenait une grande vedette de la scène internationale » (p. 207). Les portraits de Mussolini et d’Hitler, que compose ainsi le Général, illustrent à des degrés divers cette hybris, responsable d’une véritable faute

éléphants, les tigres Et l’Orient, les magiciens, les épices, Et les confins du Nord noyés dans les brumes À lui Il était jeune, dix-huit ans, vingt ans, trente ans, deux mille ans Il commandait le monde Pour lui les statues de marbres Les faisceaux des licteurs Les cris des soldats, le sang des gladiateurs Le salut des sénateurs La foule écartée sur son passage À lui de pouvoir déplacer les frontières Refaire les alliances, Soumettre, aider, refuser, pardonner, condamner Construire, détruire, Voir, venir

Royauté qui est un régime absolu. Les rois sont à la fois prêtres, juges, chefs militaires et détenteurs du pouvoir politique. Insignes montrant qu’ils sont là pour illustrer leur important pouvoir : Couronne, anneau, sceptre, escorte formée par des licteurs qui tenaient dans la main une double hache, dont le manche était entouré de liens,  chargés d’exécuter les sentences arbitraires du roi. Ces symboles de puissance des étrusques seront repris par les magistrats de la république romaine. Pouvoir absolu

premier coup. Cependant, c’est surtout dans ces bas-reliefs que l’âpre génie romain marque sa trace. Il y a là, très souvent, une sorte de force sombre et de solennité qui pénètrent en nous avec tout un cortège de souvenirs écrasants, les lauriers, les licteurs, la pourpre consulaire. Une puissance barbare y éclate, qu’aucune éducation n’est capable de contenir. Parfois même, dans les lourdes guirlandes ciselées où les fruits, les fleurs, les feuillages s’accumulent et s’enchevêtrent ainsi que les moissons