Lien Acteur Et Spectateur Au Théatre

de question. Mais connaissant un peu le travail de Pommerat nous nous imaginons bien que ce cercle sera présent. De plus il est à l'origine même de son travail, il ne peut donc pas le supprimer. Ce spectacle est créée aux Bouffes du Nord dans le théâtre de Peter Brook. Pommerat auteur, metteur en scène contemporain met en scène ses propres textes avec la même troupe Louis Brouillard. Arrivé à Cavaillon le personnel nous dis que nous pouvons entrer par tous les côtés, nous ne raterons rien du

siècle, Athanase Kircher améliore la caméra obscura, grâce a la possibilité d’utilisation d’une lumière artificielle, elle se compose de trois éléments : une source lumineuse, une plaque de verre peinte et un objectif. C’est un lointain héritier du théâtre d’ombre chinoise. Le thaumatrope Vers 1825, John Ayrton invente le Thaumatrope. C’est un disque où sont dessinés sur les 2 faces des dessins. Il Stimule la persistance rétinienne ce qui permet a l’œil de garder l’image en tête.

 ! Le texte théâtral repose exclusivement sur l’échanges des répliques , qui doivent à elles seules contenir toutes les informations nécessaires au spectateur pour comprendre les liens entre les personnages, la narration, le récit. Comme seules les répliques font avancer l’action, on dit qu’au théâtre, la parole est action. 2- Le texte théâtral est aussi le langage non verbal, indiqué généralement par les didascalies (=

LE THEATRE MEDIEVAL Le théâtre médiéval est un théâtre européen et pas seulement français. Mais il comportait cependant des particularités selon les régions où il était pratiqué. L’essentiel du théâtre médiéval se fait dans les Flandres et en Rhénanie, mais aussi en Italie, en Belgique... Aucun édifice construit est resté depuis le début du théâtre médiéval. Il n’y avait pas de réel édifice et le peu qui existait était en bois. Au Moyen-âge, le théâtre était une chose éphémère

Le théâtre élisabéthain Le genre théâtral en Angleterre sous le règne d’Elisabeth 1ère, ayant connu un âge d’or jamais égalé, fut qualifié d’« élisabéthain ». Il ne faut pas cependant le limiter à la durée du règne de la «Reine Vierge» (1558-1603), mais l’étendre à ses deux successeurs : James 1er (1603-1625, v. l’article Jacobean) et Charles 1er(1600-1649). Il s’agit d’une époque pendant laquelle le théâtre anglais excelle si bien qu’il verra s’établir la langue anglaise comme langue littéraire

FRANÇAIS/THÉÂTRE BÉRÉNICE À propos de Bérénice Un documentaire sur le tournage de Bérénice Bérénice Adaptation pour la télévision de la tragédie de Jean Racine « L’absence, ni le temps… » Bérénice remarque quelque chose d’inhabituel dans la voix de Titus. « Hélas ! », conclut Antiochus. « Il fallait être sûr de s’être rendu maître du cœur des spectateurs pour oser finir ainsi », commente Voltaire. Là où s’achève la victoire de Racine commence le travail du cinéaste : « filmer l’émotion

Scène d’exposition : 1ère scène de la pièce (la plupart du temps) qui donne toutes les informations nécessaires au spectateur pour qu’il puisse comprendre l’intrigue (personnages, histoire, lieu…) · Double fonction = PLACERE et DOCERE (plaire et instruire) elle doit à la fois informer le spectateur et lui donner envie de regarder la pièce · Extrait de l’Art poétique, Boileau (1674) : -

pièce en s’adressant aux autres personnages. C’est-ce qu’on appelait « deus ex machina » (un dieu depuis la machine). Ici le lien est assuré par la mention répétée de l’univers divin: « Ciel », « Sort » v.1693, « Enfers » v.1695, « Ciel » v. 1721, « Ciel » v.1748, « Destinées » v. 1749. De plus les divinités, même si elles n’apparaissent pas sur scène comme dans le théâtre antique, sont implicitement présentes puisque Auguste les interpelle « En est-ce assez, ô Ciel, et le Sort pour me nuire / A-t-il

Corées. Le titre peut êtres interpréter sous plusieurs aspects. Tout d’abord, on peut penser qu’il met en évidence l’amour impossible de deux états. En effet, le théâtre est disposer en fonction que deux estrades de spectateurs soient face à face, séparer par un défiler qui donne tout un sens à la pièce. Car, chaque rangs de spectateurs représentent une Corée, d’un cotés le Nord et de l’autre le Sud. Le spectacle lui est là pour mettre en évidence les rapports complexes qu’entretiennent les deux

Mise en scène ». En confrontant ces éléments avec les documents proposés par les pages « Repères », ils pourront s’interroger sur l’évolution des représentations théâtrales (choix des costumes, décors, accessoires). SÉQUENCE 1 – Le « théâtre dans le théâtre » du XVIIe siècle à nos jours • Pierre Corneille, L’Illusion comique (p.  150 ES/S et Techno / p. 152 L/ES/S) SÉQUENCE 2 – Maîtres et valets dans la comédie du XVIIIe siècle • Alain-René Lesage, Turcaret (p.  170 ES/S et Techno / p. 172