Life

Blanche ou les fleurs dont ils couvrent les armes des soldats, le « Power Flower ». Ce mouvement pacifiste va être illustré par des chansons telle que I don’t want to be a solider ou Imagine où John Lennon chante «  Imagine all the people living life in peace. » Cependant, cette remise en question de la société américaine de l’époque ne s’arrête pas à la lutte pour le pacifisme. Le mouvement hippie critique aussi la toute naissante société de consommation. Dans Money, David Guilmour, auteur

américains. Les sans papiers ne peuvent pas être intégrés, s’ils ne parlent pas américain, s’ils n'ont pas de papiers et ne peuvent pas avoir un solde suffisant pour survivre, pour être intégré dans une société individualiste, dans "American way of life", la culture des États-Unis. Pour lutter contre l'immigration clandestine qui vient des pays latino-américains, le président Bush a décidé de construire un mur à la frontière entre le Mexique et les États-Unis.

La majorité a manifesté contre la guerre du Viêt Nam et les Noirs organisaient des émeutes dans les grandes villes américaines, ce qui a attiré encore plus de jeunes. Mais cette génération « Baby-boom » n’acceptait pas non plus l'« American way of life » et son conformisme, la soumission au pouvoir et aux canons de l'art. Elle cherchait à fuir la société de consommation en mettant en avant des valeurs écologistes et égalitaires inspirées des philosophies orientales tel que le bouddhisme par exemple

un caddie qui déborde de produits. Son regard est vide, fatigué. Elle a une cigarette dans la bouche et des bigoudis dans les cheveux. Cette femme sculptée et habillée de réelles vêtements traduit le miroir de la société américaine « American way of life ». Pour effectuer ses sculptures il fait appel à de réel modèle vivant pour faire des moulages de leur corps afin d’offrir aux spectateurs une réelle vision de la vie quotidienne américaine. Il se veut hyper-réaliste. Les vêtements, les bigoudis, ou

portrait peu flatteur de la ménagère étasunienne moyenne de la fin des années 1960. Pourtant, cette œuvre n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. L’acte d’achat est

pris soin de représenter son pays par les produits que l’on trouve dans le caddie : Coca Cola, cookies par exemple. Le sculpteur s’oppose ainsi à la version « parfaite » de la société de consommation, véhiculée par les publicités : l’« American way of life ». Les matériaux et techniques au service de cette représentation : 166 x 70 x 70 cm. En ce qui concerne les caractéristiques plastiques la femme est faite à partir d'un moulage sur une vraie personne. Ensuite les vêtements, les bijoux, le sac, les

y las maneras de vivir de los americanos. Los indocumentados no pueden integrarse, no hablan el ingles, no tienen papeles y no pueden tener un sueldo suficiente para sobrevivir, para integrarse en una sociedad individualista, en "el American way of life", la cultura de los Estados Unidos. Para luchar en contra de la inmigración clandestina que viene de los países latinoamericanos, el presidente Bush decidió construir un muro en la frontera entre Méjico y los Estados Unidos.

masse une politique de salaire élevé. Quels sont les espaces pionner de la révolution industrielle ? La France ( rev. Lente donc petit rayonnement internationale), USA ( 1 er puissance mondiale, basé sur la consommation , le « American way of life » , L’Angleterre ( pays pionner de la 1 er rev.), L’Allemagne (grande maitrise de l’industrie lourde) Quel est la nature des dites « nouvelles crises » ? Les nouvelles crises arrivent a partir de 1850 , elles sont a l’origine soit du krach boursier

n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque aux Etats-Unis (y compris les bigoudis même si c’est difficilement imaginable pour des Européens !) . Dans cette scène, c’est plutôt la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée. Duane Hanson dresse un constat : la consommation de masse, qui se traduit par l’achat par tout le monde des mêmes choses au même endroit (et souvent au même moment

portrait peu flatteur de la ménagère étatsunienne moyenne de la fin des années 1960. Pourtant, cette oeuvre n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. L’acte d’achat est présenté