Life

modèle du libre échange avec le GATT  La bourse de NY devient le premier pôle boursier de la planète. B. UNE PUISSANCE ECONOMIQUE TOTALE QUI S’IMPOSE AU MONDE OCCIDENTAL  Modèle fordiste à son apogée  Société de consommation et « american way of life »  Produits américains ( jeans, cigarettes blondes dans les années 50, produits culturels depuis les années 50 musiques et cinéma, fast food et produits high tech se dvpent …)  1ère puissance éco mondiale sur le plan agricole( grenier du monde)

caractéristiques de la mondialisation sont des choses que l'on peut constater dans la vie de tous les jours, car c'est nous qui encourageons ces compagnies en achetant les biens qu'ils ont produits en Inde ou en Chine à coût moindre. La "american way of life" est particulièrement présente dans ce monde de surconsommation. La partie 5 de la leçon sur la mondialisation parle également de l'écart entre les riches et les pauvres dans notre société mondialisé. Je suis d'accord avec les idées présentés dans

image peu flatteuse de la classe moyenne américaine qu'il donne, pourtant il connaît un grand succès. Par contre, il ne veut pas ridiculiser les personnes qu'il réalise, il veut juste dénoncer quelque chose. C'est le miroir de « l'Américan way of life », c'est-à-dire le reflet du mode de vie américain qui fait rêver. Il ne rejette pas son pays qu'il aime, il est américain mais il dénonce certaines choses. Il ne montre que les excès de la société de consommation, mais il ne repousse rien. Il pointe

comme le chef de file de l'hyperréalisme. Il a participé à la dokumenta 5 (exposition majeure d'art contemporain) en 1972 d'ou il a été connu mondialement. Il est mort en 1996. Mais toute sa vie il a porté un regard critique sur « the american way of life » et aimait particluièrement prendre comme motifs des personnes de la classe inférieure et moyenne pour montrer le vide de leurs existance et leur solitude. Le contexte historique de l'oeuvre est est l'apparition des premiers « supermarket » et

portrait peu flatteur de la ménagère étatsunienne moyenne de la fin des années 1960. Pourtant, cette °uvre n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. L’acte d’achat est

absolument pas élitiste ; elle vise au contraire à rendre accessible au plus grand nombre les produits culturels (the entertainment) - ce qui permet d’accroître de manière considérable les débouchés et de développer un modèle culturel (the american way of life) - modèle désiré et recherché par les populations aussi bien européennes que des pays sous-développés B.On ne peut pour autant parler d’américanisation du monde : l’exemple indien 1.Constat - Le cinéma indien est bien vivant : Bollywood

absolument pas élitiste ; elle vise au contraire à rendre accessible au plus grand nombre les produits culturels (the entertainment) - ce qui permet d’accroître de manière considérable les débouchés et de développer un modèle culturel (the american way of life) - modèle désiré et recherché par les populations aussi bien européennes que des pays sous-développés B.On ne peut pour autant parler d’américanisation du monde : l’exemple indien 1.Constat - Le cinéma indien est bien vivant : Bollywood est le premier

portrait peu flatteur de la ménagère étasunienne moyenne de la fin des années 1960. Pourtant, cette oeuvre n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. L’acte d’achat est présenté

un caddie qui déborde de produits. Son regard est vide, fatigué. Elle a une cigarette dans la bouche et des bigoudis dans les cheveux. Cette femme sculptée et habillée de réels vêtements traduit le miroir de la société américaine « American way of life ». Pour effectuer ses sculptures il fait appel à de réel modèle vivant pour faire des moulages de leur corps afin d’offrir aux spectateurs une réelle vision de la vie quotidienne américaine. Il se veut hyperréaliste. Les vêtements, les bigoudis, ou

évoluent : moins d’Européens, d’avantage de Latinos et d’asiatique. Grace a cette migrations la populations des Etats-Unis est la plus dynamique et la plus jeune de tout les pays développés. Les migrants cherchent à s’intégrer à l’Americaine Way of life , ils sont aussi sensible au mythe de la réussite incarné par le modèle du self-made man. B – Une économie dynamique et créative Les États-Unis on un territoire riche en ressource du sol (forêt, agriculture) et du sous-sol (hydrocarbures, charbon