Ligament inguinal

ARTICULATION TIBIOTIBIOTARSIENNE (ARTICULATION DE LA CHEVILLE) PLAN D’ETUDE • • • • • • • • • • • INTRODUCTION 1-SURFACES ARTICULAIRES 1-1-MORTAISE TIBIO-PERONIERE TIBIO1-2-LE TENON ASTRAGALIEN 2-MOYENS D’UNION 2-1-CAPSULE ARTICULAIRE 2-2-LIGAMENTS 3-SYNOVIALE 4-PHYSIOLOGIE ARTCULAIRE 5-APPLICATIONS CLINIQUES 6-RADIO-ANATOMIE RADIO- INTRODUCTION • L’articulation tibiotibiotarsienne ou articulation de la cheville ou talotalocrurale est une trochléenne qui met en en contact trois pièces

c’est lui qui permet les mouvements de notre corps. Plusieurs acteurs sont impliqués : les muscles se contractent et tirent les os par l’intermédiaire des tendons. Ces derniers s’emboîtent au niveau d’une articulation maintenue solidement par les ligaments. Les os se déplacent les uns par rapport aux autres en limitant les frottements grâce au cartilage et au liquide synovial. A) Les risques de blessure a) Les blessures au muscle Les muscles sont des organes contractiles. Lors du mouvement

cornes, un ligament est tendu : le ligament transverse de l’acétabulum (TAL) C’est la partie qui va s’articuler avec la tête du fémur Le TAL est un des repères majeurs lorsqu’on met en place une prothèse de hanche pour déterminer l’orientation de l’acétabulum, le TAL nous donne l’antéversion acétabulaire ( : la cavité acétabulaire regarde en devant)    Fosse acétabulaire centrale, non recouverte de cartilage, comblée par un paquet adipeux, au sein duquel s’insère le ligament de la tête

baigne dans un liquide lubrifiant : le liquide synovial. Cartilage et liquide synovial jouent un rôle important lors du mouvement car ils limitent les forces de frottements au niveau de l'articulation. Les os sont maintenus entre eux par des ligaments, structures très résistantes à l'étirement qui confèrent sa solidité à l'articulation. Les muscles sont rattachés aux os au niveau de l'articulation par l'intermédiaire des tendons, qui sont eux aussi des structures peu élastiques. 2. Les muscles

répétition des sauts. Cette douleur peut être très vive et se faire sentir même en appuyant simplement avec les doigts 4 – Les ligaments et les tendons Le ligament est une bande de tissu inextensible unissant deux os voisins et qui a pour fonction de limiter certains mouvements. Le tendon est un cordon de fibres possédant une plus grande extensibilité que le ligament et par lequel le muscle se rattache à l’os. Ce sont les muscles que nous allons étudier dans ce cours. http://www.nantes-mpr

traumatisme des ligaments occasionné par une mobilisation excessive d'une articulation. Le ligament est en général étiré ou distendu, mais il peut être également déchiré (entorse grave ou déchirure), avec des complications liées à des arrachements osseux. Il existe différents degrés de gravité d’une entorse * Entorse légère : un étirement des ligaments, souvent appelé foulure. À ce stade, l’articulation est encore fonctionnelle ; * Entorse modérée : un étirement des ligaments accompagné d’une

intervertébrale a. Disque intervertébrale i. Le nucléus pulposus ii. L’annulus fibrosus b. Le foramen intervertébral 3. Les systèmes ligamentaires au niveau du rachis lombaire a. Le ligament vertébral dorsal b. Le ligament vertébral ventral c. les ligaments jaunes d. les ligaments interépineux e. Les ligaments supraépineux 4. Les muscles agissant sur le rachis lombaire a. Les muscles extenseurs ou muscles érecteurs du rachis b. Les muscles fléchisseurs 5. L’innervation du rachis et de

frein méniscal. La corne ant du ménisque lat s’insère jute en avant du tubercule intercondylaire latéral, en arrière du ligament croisé ant. La corne post s’insère juste en arrière de ce même tubercule latéral, en avant du ligament croisé post. La corne ant du ménisque méd s’insère dans l’espace antéro-médial de l’aire intercondylaire antérieur, en avant du ligament croisé ant. La corne post se situe dans l’espace antéro-méd de l’aire intercondylaire post en avant du lgmt croisé post.

éléments accessoires qui existent dans certains cas; leur rôle essentiel est d'augmenter la congruence des surfaces articulaires lorsque celle-ci est insuffisante. Ils adhèrent au pourtour des surfaces articulaires, ou y sont reliés par de petits ligaments. les bourrelets périarticulaires : ils se distinguent des ménisques par le fait que seule l'une des deux faces du bourrelet est libre et articulaire, l'autre adhère à la surface articulaire correspondante. Ils augmentent en même temps l'étendue

articulaire n’ayant pas abouti à la luxation. La plus fréquente est à la cheville elle est parfois associée à une lésion osseuse, l’immobilisation se fait avec une atèle. Il s’agit de l’atteinte du ligament latéral externe de la cheville. L’élongation ligamentaire définit l’entorse bénigne, la déchirure d’un ligament définit l’entorse moyenne et la rupture définit l’entorse grave. L’entorse de la cheville est particulièrement fréquente et son pronostic est habituellement favorable. Epidémiologie :