Ligne de fuite

traditionnel de la peste "en marche" (son évolution) Chronologie; adverbes de temps, connecteurs : étapes ("puis" ligne10, "bientôt ligne ?, "déjà" ligne 22, "c'est alors que" {forme amphatique} ligne 14). On observe un chaos, un désorganisation tel qu'on ne peut plus suivre l'histoire : tout ce passe en même temps. Images, scènes: bûchés, entassement de cadavres, désir de fuite. c) forme nouvelle : tableau fantastique. Apparition du registre fantastique (poétique) = portrait des médecins ("étrange

d’une scène qui illustre le monde antique idéalisé par les humanistes. Les savants sont réunis dans un bâtiment d’inspiration antique. La scène s’organise en trois plans, distingués selon deux axes horizontaux, dont la ligne d’horizon. Les lignes de fuite rejoignant le point de fuite, mettent en valeur la perspective d’imposantes colonnades s’ouvrant vers l’extérieur. Raphael a placé les personnages les plus importants de la philosophie grecque de l’antiquité, ils symbolisent la recherche du vrai

aucun doute dans la villa d’un grand aristocrate Romain : l’architecture, ses colonnes, ses arches et ses pavés ne pouvant être ceux d’une modeste habitation. Ce sont justement ces éléments qui assurent le parfait équilibre du tout. 4)Le point de fuite est a l’endroit de la main qui tiens les épées pour les donné a ses fils. Ceci est d’abord dû à l’opposition de la verticalité des colonnes à l’horizontalité du parterre. Ensuite, comme indiqué dans la partie trinité, les arches sont au nombre de trois

particulier car il n'y a pas de ponctuation. Il y a une remise en cause des vers et le texte se présente sous la forme d'un calligramme faisant penser à un pont. Le Pont Mirabeau n'est pas un poème d'avant garde, il reprend un thème rebattu (poncif) : la fuite du temps et l'amour malheureux. On dit que ce poème est inspiré de la rupture de Guillaume Apollinaire avec le peintre Marie Laurencein car il traversait le pont Mirabeau pour aller la voir ... On n'a pas à choisir car le poète laisse volontairement

premier d'Hervé Bazin, lui apporta la célébrité et le classa d'emblée parmi les écrivains les plus lus de l’époque. C) L’histoire débute durant l’été 1922, puis 25 ans plus tard, dans la demeurent nommé  «  La belle Angerie » ligne 12-page 7. « L’été » ligne 1-page 1 D) Jean Rezeau : dit Brasse-Bouillon, le narrateur, est le second fils de Jacques et Paule Rezeau. Fils détesté par sa mère, il entre en rébellion avec elle et s’insurge contre son milieu. Il a hérité de sa mère la dureté

qui lui échappe. Ce même fusil symbolise la lutte pour la liberté. La vie, au contraire est matérialisée par le ciel clair et les nuages blancs, et la lumière de cette fin de journée. La ligne d'horizon «ombrageuse » (en bas à droite de la photo) rejoint la ligne dessinée par l'ombre du milicien. Leur point de fuite est matérialisé par le fusil. Les jambes vacillent et les genoux fléchissent tandis que la partie supérieure du milicien révèle une tension extrême due à la violence de l'impact. Le cadrage

de fruits au premier plan et au centre, ainsi que de rideaux rouges sur la partie gauche de la toile qui rappellent la scène d’un théâtre. La composition : la perspective dans ce tableau n’est pas du tout respectée, il n’y a ni point de fuite, ni ligne de fuite, ni premier, second ou arrière-plan. Les volumes ne sont pas représentés par la perspective mais par des formes géométriques comme les losanges et des grands plans colorés. Pablo Picasso a également représenté des formes déstructurées qui

1. Partie 1: ligne 1 à ligne 11: le récit d'une fuite éperdue"Jacques fuyait dans la nuit mélancolique." l. 1 -type de phrase: -temps + valeur du verbe: -adjectif: série de verbes d'action au passé simple: actions de premier plan, qui se suivent L'enchaînement de verbes d'action montre la panique du personnage: il semble complètement perdu dans la campagne, ne cesse de monter et de redescendre sans savoir exactement où il va. "une côte" "un étroit vallon" "des broussailles", "à gauche", à droite"

Verdurin. I) Le portrait de la famille Verdurin 1) Aspect critique du portrait - Répétition de l’adjectif « petit » (ligne 1 et 2) : « petit noyau », « petit clan » : cette anaphore nous révèle l’aspect moralement étriqué de ce salon. - Le milieu se réduit, il devient de plus en plus petit. - Cette logique produit la fuite des abonnés (ligne 9 jusqu’à ligne 11) 2) Aspect comique - Il s’agit de dessiner les caractères les plus marquants, à gros traits les termes qui qualifient

la phrase de la ligne 2, on peut penser à des données objectives. Or, elle contient l’adjectif « malheureux », qui appartient au registre pathétique. L’expression « les Européens » (l.3) généralise tous les Européens ; il désigne tous ceux qui sont engagés dans ce crime qu’est l’esclavage des noirs, de près ou de loin. A la ligne 3, « la religion » traduit de manière implicite que Dieu veut échapper aux simples petites lois humaines. Dans le passage situé de la ligne 3 à la ligne 12, Jaucourt essaye