Ligne symétrique

déchiffrement des données selon une méthode particulière. Cryptographie Symétrique : La cryptographie symétrique, également appelée cryptographie  à clé secrète, est la plus ancienne forme de chiffrement. Sa sécurité est basée sur le fait que la clé reste secrète et que seul les personnes destinées à lire la message la connaissent. Cryptographie Asymétrique : La cryptographie asymétrique s'oppose à la cryptographie symétrique dans le sens ou elle se base sur l'utilisation d'une clé publique, connue

tableau d’éléments de R comportant n lignes et p colonnes. Elle s’écrit : a1,1  .  . . an,1  ··· .. . ···  a1,p .  .  . an,p ou ai,j 1≤i≤n 1≤j≤p ou (ai,j ) où aij ∈ R est l’élément de la matrice situé sur la ligne i et la colonne j. Les scalaires ai,j sont appelés coefficients de la matrice A. L’ensemble des matrices à n lignes et p colonnes, à coefficients dans R, est noté Mn,p (R) ou Mn,p . Exemples La matrice suivante est une une matrice de 2 lignes et

----------------------------------------------------------------------------------/===============================EXERCICE 1 ============================/ ----------------------------------------------------------------------------------- ? Chiffrer un fichier ''toto.txt'' avec l’algorithme Blowfish en mode CBC, avec un mot de passe de votre choix, le fichier chiffré portera le nom de ''toto.enc''. => $openssl enc -bf-128-cbc -salt -in toto.txt -out toto.enc -pass pass:indaplace: ? Visualiser

associative, car le calcul montre que si x, y et z sont trois éléments de S, (x ∗ y) ∗ z et x ∗ (y ∗ z) x + y + z + xyz sont tous deux égaux à . Il est clair que 0 est neutre pour la loi ∗ et que tout élément 1 + xy + xz + yz x de S admet −x pour symétrique selon cette loi, qui est donc bien une loi de groupe (évidemment commutatif). Exercice 3 Il suffit de montrer que tous les éléments non nuls de A sont inversibles. Soit a ∈ A non nul et soit ϕ l’application de A dans A définie par : ϕ(x) = ax

lettres de l’alphabet (en mettant le I et le J dans la même case). On obtient donc un carré. Pour crypter un message, il faut remplacer chaque lettre par ses coordonnées dans le tableau. Par exemple, le K a pour code 25 (car il se trouve sur la deuxième ligne et la cinquième colonne), Dans une langue, toutes les lettres n'ont pas la même fréquence d'apparition. Dans un texte français, il y a presque toujours beaucoup plus de E que de W. Or, dans une substitution mono-alphabétique, le E est toujours

linéaire V- Applications linéaires injectives et surjectives VI- Rang d’une application linéaire Chapitre 3 : Matrices I- Généralités (définition, matrices particulières) II- Matrices carrées 1. Matrice diagonale, Matrice triangulaire 2. Matrice symétrique, Matrice antisymétrique III- Opérations sur les matrices 1. Addition, Multiplication, Puissance 2. Propriétés de l’ensemble des matrices 3. Matrice inversible IV- Matrice inverse : Méthode de Gauss-Jordan V- Matrice associée à un système de vecteurs

dernières années, l’article que nous étudions, propose un protocole en se basant sur le schéma d’authentification Défi/Réponse en utilisant le cryptosystème à clé symétrique Hummingbird. Pour procéder, donc, à l’authentification avec se genre de protocole, les étiquettes RFID doivent être en mesure d’exécuter les algorithmes à clé symétrique. Dans les parties qui suivent nous détaillons le fonctionnement du cryptosystème Hummingbird, ensuite nous analysons sa sécurité en se basant sur l’analyse de l’article

bibliographie. Un document ne vient jamais du néant. Pour élaborer ce support, je me suis appuyé sur diérentes références, des ouvrages disais-je plus tôt, mais aussi des ressources en ligne qui sont de plus en plus présents aujourd'hui dans la diusion de la connaissance. Les seuls bémols par rapport à ces documents en ligne sont le doute que l'on pourrait émettre sur l'exactitude des informations prodiguées, mais la plupart de leurs auteurs sont des enseignants-chercheurs qui font sérieusement leur travail

colonnes à coefficients dans , toute application M :[ [1..n] × [ ] [1..p] → . Pour (i, j) ∈ [ ] [1..n] × [ ] [1..p] on pose M (i, j) = Mi, j (ou mi, j ), c’est le ], coefficient de la matrice M d’indices i et j, le premier indice est appelé indice de ligne, et le second indice de colonne. L’ensemble des matrices à n lignes et p colonnes à coefficients dans est noté n,p ( ), on a donc ([ [1..n] × [ ] [1..p] ) ], n,p ( ) =  m1,1 · · · m1,p  . .  . . ou bien M =  . . .   mn,1 · · · mn,p  Notations

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