Ligue Entre Deux Guerre Fascisme Nationalisme

Fascisme Le fascisme (en italien fascismo) est un mouvement politique italien apparu en 1919. Très utilisé, le terme a par la suite pris un sens beaucoup plus large, notamment pour désigner dans leur ensemble, durant les années 1930, les mouvements politiques ayant eu en commun des thèmes et des représentations politiques avec le mouvement italien. Le terme même vient du mot « fascio » (« faisceau ») désignant le rassemblement des fusils au repos ou l'attribut du licteur dans la Rome antique[1]

drapeau tricolore. Blanc: couleur monarchie, fleur de lys Bleu: manteau Vierge Rouge: symbole extrême gauche 1831: Louis Philippe abolit hérédité de la pairie. Fin aristocratie France -> noblesse. France divisée pour et contre le roi. -> Division entre princes. Louis XVIII abdique en faveur du duc d'Angoulème. Légitimistes ne reconnaissent que le comte de Chambord. 1832: échec de la révolte menée par la duchesse de Berry, qui tente de soulever la Vendée. Enfermée, on découvre grossesse, elle est

le désastre de la Première Guerre Mondiale, la France renoue avec la prospérité au cours des années 1920 : qu'on appelle "Les Années folles". Si la France a surmonté les retombées de la Guerre, elle est de nouveau frappée par une crise dans les années 1930. Une crise d'abord économique, qui s'accompagne vite de problèmes sociaux et politiques. La France, dans le contexte d'une Europe globalement fragilisée par la montée des nationalismes et du fascisme, se divise entre les partisans du gouvernement

distingue d'une part les populations issues du métissage entre les Blancs et les Hottentots aux XVIe et XVIIe siècles et les Malais du Cap. Ils représentent 9 % de la population sud-africaine en 1950. les Noirs ou Bantous : ils représentent près de 67 % de la population sud-africaine au moment de la mise en place de l'apartheid mais sont les moins urbanisés des 4 groupes raciaux (80 % vivent alors en zone rurale). Ils se répartissent entre une dizaine d'ethnies dont les plus importantes sont les

Puissance et sécurité ( 1914 – 1925 ): Jusqu'en 1914, l'histoire des relations internationales se confond presque avec celle des rapports entre les puissances européennes. Certes au cours des deux décennies qui ont précédé l'éclatement de la guerre, la montée de jeunes puissances extérieures au vieux continent a eu pour effet de constituer de nouveaux pôles de décision ayant leurs propres objectifs de politique étrangère et disposant de moyens de les faire triompher ( Japon, Etats unis ). Pour

Communistes et socialistes en Europe entre les deux guerres. Intro I. II. III. Le Parti communiste français : Chef du parti furent poursuivis et arrêtés en 29. Chute des effectifs après donc seulement 29 000 adhérents en 1931. 26 députés en 24, 12 en 28, 11 en 32. Pacte franco soviétique contribua à réintégrer les communistes dans la vie pol fr, qui se firent champions de la défense nat et d’une sorte d’union sacrée des forces démocratiques contre la menace hitlérienne. Marquées par la

1815, l’Empire ottoman domine encore la plus grande partie des Balkans et la quasi-totalité des pays arabes du Machrek et du Maghreb : seul le Maroc échappe à la suzeraineté du sultan d’Istanbul. Existe-t-il une Europe méditerranéenne ? L’Espagne entre dans un siècle de convulsion, l’Italie est toujours divisée, la Grèce est dominée par les Turcs. La France n’a pas les moyens d’être une puissance méditerranéenne. Déjà l’Angleterre, puissance extérieure, contrôle la Méditerranée. Puis l’Europe met

environ 10 ans pour se consolider. Section 1 : l'effondrement du 2nd Empire en 1870 Fin des années 1860 : le 2nd Empire paraît politiquement stable, politiquement sûr. C'est un désastre militaire qui va entrainer sa chute. Paragraphe 1 : la guerre franco prussienne de 1870 Dans la 2nd moitié du 19 siècle, l'Allemagne est divisée en plusieurs Etats indépendants, dont le plus important est la Prusse. Dans la 2ème moitié s'opère l'unification, grand projet de Guillaume 1er et du prince de Bismarck

A. CHAUOU -–Lycée de Kerichen – Pôle CMC DEMOCRATIES ET TOTALITARISMES DANS L’ENTRE-DEUX-GUERRES (1919-1939) L'entre-deux-guerres est caractérisé par une double mise en cause : celle du régime politique (la démocratie), par de nouvelles formes politiques nées après la Première Guerre mondiale (le communisme d'un côté, les « fascismes » de l'autre) ; celle du régime économique (le libéralisme), par le recours au dirigisme et à l'interventionnisme étatique. Le début des années 1920 inaugure

et en instaurant une tentative de souveraineté populaire. Dans la périodisation, un moment de rupture est donc un moment de définition dans le temps. Exemple de la Renaissance : rupture épistémologique, rupture avec l’Eglise, avec le féodalisme, guerres de religion, absolutisme,… L’ordre établi se désagrège ; les villes s’épanouissent dès le 12e siècle, c’est la naissance du Tiers Etat, de la bourgeoisie (qui habite le bourg, la classe possédante). En 1789, on atteint les limites de l’absolutisme :