Limite Des Trentes Glorieuses Et Du Modèle Keynésien

1750 -1776 : les physiocrates et Adam Smith. B- 1.2 L'économie de 1800 à nos jours. a. L'économie politique classique, Malthus et Ricardo. b. Le marxisme. c. La révolution marginaliste. d. La révolution keynésienne. e. Les courants hétérodoxes. f. L'économie néoclassique : des keynésiens à l'école de Chicago. II- L'analyse économique. A- La microéconomie. a. Théorie microéconomique traditionnelle. b. Marché et défaillances du marché. c. Nouvelles théories : une meilleure prise en compte

voir le rôle du télégraphe & du journaliste dans les romans de Jules Verne (1860 – 1900), né à Nantes. Michel Strogof, L’île mystérieuse. Journaliste  Gedeon Spilett. On a une dé – mondialisation. Après 1945, on a une reprise des échanges mais limité au monde occidental. meretmarine.com Triple_E (Maersk)  Plus gros conteneur du monde, construit pour porter 18 000 EVP. Exemple d’altermondialiste : José Bové. Le Monde Diplomatique  Alternative économique. La mondialisation est une

ainsi la pensée économique qui précède la pensée libérale. La physiocratie Au xviiie siècle, en France, l'agriculture est fragilisée par la politique colbertiste de bas prix des biens agricoles, l'État est incapable de prélever l'impôt et de limiter son endettement et on garde le souvenir de la banqueroute du système de Law en 1720. C'est dans ce contexte que la pensée libérale s'est forgée, au sein de l'école physiocratique menée par François Quesnay (1756-1757, articles de l'Encyclopédie :

ce prix sont échangés 700 kg de pommes. Le prix d’équilibre est le prix où, sur un marché, s’égalisent les quantités offertes et demandées. [ DOCUMENT 3 ] Le prix, information économique (p. 111) 1 Qu’est-ce que « la main invisible»? Dans le modèle de concurrence pure et parfaite, le mécanisme des prix et la concurrence jouent comme une «main invisible ». Cette expression, que l’on doit à Adam Smith, désigne le processus par lequel le marché rend compatibles les décisions individuelles avec

du syndicalisme depuis la fin du « long boom » économique suivant la deuxième guerre mondiale. D’emblée, depuis la monté de la globalisation et des idées néolibérales, plusieurs prétendrent que le syndicalisme est incompatible avec les nouveaux modèles productifs des pays avancés. D’ailleurs, de nombreux syndicats locaux, par exemple dans le secteur de l’automobile Nord-Américain ne cessent de faire des compromis pour maintenir en emploi leurs travailleurs. Affaiblis, ces syndicats semblent adopter

profondément les sociétés. Après la seconde guerre mondiale, le taux de natalité élevé et l'allongement de l'espérance de vie entraînent une augmentation de la population. Ce renouveau démographique stimule la croissance économique appelée « trente glorieuses » La croissance touche surtout les pays industrialisés du nord dont la richesse augmente en moyenne de 5% chaque année et ou, le chômage n'existe pas. L'agriculture se modernise, et enfin le secteur tertiaire (commerce, transports banque, assurances

Sur le LT, si on veut limiter le chômage, le PT (ensemble des innovations qui génèrent de la productivité) doit être capable de créer plus d’emploi qu’il n’y a destruction. Le progrès technique détruit des emplois dans les secteurs où les GP sont supérieurs à la demande, aux débouchés. Ces gains de productivité permettent à 2% de la pop active de connaitre bien plus de production agricole qu’il y a 50 ans avec 40% des d’emplois. Transfert d’actif de l’agriculture vers l’industrie et les services

intérieure au détriment du développement de l’exploration du monde. - Europe adopte stratégie inverse poussée par la rivalité qui règne entre les nations. ⎝ à l’origine de sa croissance - cercle immuable entre les nations : volonté de dépasser les limites de son voisin ⎝ toujours faire mieux au prix de nombreuses guerres. Finalement ce qui conduit à la perte de système européen. L’addiction à la croissance : - sociétés industrielles mêlent création & destruction prospérité & dépression - sociétés

français à réformer un système de protection sociale déficitaire afin de préserver le rôle de l’Etat Providence ? I. Un contexte socio-économique nouveau qui chamboule l’équilibre social : A. La mondialisation et l’Europe provoque la fin du modèle keynésien : Après 1992-1993, il a fallu intégrer les réductions des dépenses sociales dans la stratégie de la dépense publique et des déficits publics afin de respecter les critères de Maastricht. L’engagement pris à l’égard de la monnaie unique conduit

il y a une double bifurcation dans l’analyse économique : pour les classiques c’est la logique de maximisation avec un équilibre d’offre et de demande on parle alors d’emploi mais pas de mécanisme de l’emploi ou le travail. Puis la bifurcation Keynésienne, le travail c’est un revenu avec la consommation, la production et l’épargne. Donc on est dans une approche macro économique. On parle aussi des salaires avec la théorie régulations qui fait le lien entre la micro et la macro. On s’intéresse peu