Limites Et Avantages Du Pib

l’implantation des FMN on des conséquences mitigées sur les pays d’accueil ; les effets positifs de cette internationalisation de la production ont des limites. En 1979, Pékin décide de s’ouvrir sur le monde et met en place une formation et un développement d’infrastructures pour accueillir des Firmes Multinationales, dans l’optique d’augmenter le PIB du pays. Ainsi, lorsque la France exporte vers la Chine des biens nécessitant du travail qualifié, comme l’aéronautique, on assiste à une division du

l’origine de la crise des années 30, le renforcement des obstacles au commerce l’a aggravée et, pire encore, a contribué à asphyxier la reprise. La production mondiale est revenue à son niveau d’avant la crise en 1938, mais avec un ratio commerce/PIB inférieur d’environ 20 % à celui de 1929. Bien que les différentes séries de restrictions aient été progressivement supprimées à partir de 1934, il a parfois fallu plusieurs dizaines d’années pour revenir sur les initiatives malheureuses prises entre

syst�me capitaliste est souvent associ� � l'�conomie de march�. En effet, dans ce syst�me la r�gulation se fait principalement par lemarch� meme si au cours du XX�me si�cle, l'Etat a accru son poids. Taux de pr�l�vemens obligatoires = PO . 100 PIB Actuellement le taux est consid�r� trop �lev�: 41%. Le taux de PO permet de mesurer le poids que l'Etat repr�sente dans l'�conomie. Dans certains pays il peut atteidre le 58% (pays scandinaves); dans d'autres il peut descendre jusqu'au 30%. Cette

idées sont à la mode un peu partout dans le monde. Alors que le libre-échange était volontiers considéré comme la condition sine qua non de la croissance, un certain nombre d’experts se sont mis à envisager le protectionnisme sous l’angle de ses avantages plutôt que de ses inconvénients. Dans une France hantée par le chômage, la précarité et la peur du déclassement, la mondialisation fait figure de mal absolu. Commençons par un indiscutable constat. Depuis la fin des années 1990, les pays de l’OCDE

bien-être résultent de l’interaction de plusieurs types de capital : Comme il a été rappelé dans la fiche 1.1, la croissance économique, telle que mesurée conventionnellement par l’augmentation du PIB par tête, n’est pas nécessairement synonyme d’amélioration du bien-être pour tous. En outre, la croissance du PIB au cours d’une période donnée peut s’accompagner d’évolutions qui compromettent les possibilités d’amélioration du bien-être dans le futur. L’analyse économique du développement soutenable, ou

difficiles sont compensées par hausse du pouvoir d'achat entraînant une hausse du niveau de vie. Or, ce compromis fordiste a été remis en cause. En effet, malgré qu'il a montré son efficacité économique dans un 1er temps, il a rapidement présenté des limites constituant un frein à la croissance et ce à plusieurs niveaux: - Au niveau social: dès la fin des années 60, un climat de mécontentement freine la croissance de la productivité. Les conditions de travail pénibles à ce système (les ouvriers sont

rapport à l’évolution du PIB (produit intérieur brut) qui calculé de plusieurs manières (par la production, les revenus et les dépenses ou l’emplois). Néanmoins il présente certaines limites, car le travail non déclaré ou les activités illicites ne sont pas prise en compte mais sont évaluées approximativement, les services rendus par les administrations publiques sont évalués à partir de leurs coûts de production, mais la qualité du service rendu n’est pas prit en compte. Puis le PIB reste un outil économique

l’industrie d’assemblage et manufacturière. D’autres industries haïtiennes offrant des débouchés Données économiques PIB Croissance du PIB réel (Dollars US) 3,5 milliards $ (p. 2004) 1,5 % (2004-2005 ) PIB par habitant : 1610 $ (2003) à parité de pouvoir d’achat. Taux d'inflation : *Dette externe 15% (moyenne 2005) 1,37 milliards $ (2005) Taux d’investissement (% PIB) : 27.3 % (2003) Unité monétaire Taux de change : Année fiscale : Tourisme : Gourdes (HTG) 1 $CAN = 32,57 (Moyenne 2004)

PREMIÈRE PARTIE m 1. L’IDH, indice de développement humain, est l’un des outils choisis par l’ONU pour identifier le degré de développement des pays. Il a pour avantage de combiner trois types de critères : – économique : le PIB/hab. ; – culturel : le taux d’alphabétisation des adultes ; – démographique : l’espérance de vie, ce dernier critère informant aussi indirectement sur l’alimentation et le niveau de santé des populations. Sur la base de cet indice, le « Sud » se distinguerait du « Nord

même niveau Forte demande = augmentation des prix et lorsque la demande est inférieur à l’offre = prix bas Le prix est un indicateur essentiel pour les agents car c’est un indicateur de rareté, c’est un élément de comparaison… mais son rôle est limité, ce n’est pas toujours une source fiable car le marché est une construction sociale et l’asymétrie de l’information nuit au consommateur. Le prix est un indicateur relatif. Pour les Keynésiens, malgré les anticipations rationnelles des agents, certains