Limites Et Contestation De La Mondialisation

| | |H1. Croissance économique, mondialisation et mutations des sociétés depuis le| | | |milieu du XIXe siècle (9h) | | | |Croissance et mondialisation (5h) |

Première S, histoire LMA, 2011-2012 Thème 1 – Croissance économique, mondialisation et mutation des sociétés depuis le milieu du XIXe siècle Question 1 – Croissance et mondialisation Cours 2 Les économies-monde successives (britannique, americaine, multipolaire) (2h) I L’économie-monde britannique du XIXe siècle à 1914 1. La puissance de l’économie britannique au XIXe siècle • Dès la fin du XVIIIe siècle, le Royaume-Uni est le " berceau " de la première révolution industrielle et le

« IL N’Y A PLUS DANS NOS SOCIÉTÉS DE RÉEL CONTRE-POUVOIR ; NE SUBSISTENT QUE DES FORMES ÉPARSES ET ÉPISODIQUES DE CONTESTATION, AUSSITÔT DIGÉRÉES, ANESTHÉSIÉES. » Ignacio Ramonet Un contre-pouvoir est communément défini comme une force politique, sociale ou économique qui s’organise face à une autorité établie dans le but de restreindre l’exercice du pouvoir en place et de proposer une alternative aux décisions de celui-ci. Ceci dit, l’essence d’un contre pouvoir réside dans son combat

automobile et de haute technologie) 2-une main-d’oeuvre qualifiée et dévouée. 3-un État qui soutient le développement économique (METI), -Les limites de la puissance japonaise : 1-un rôle politique international limité 2-une population vieillissante et une jeunesse moins dévouée 3-un rayonnement culturel limité Conclusion : un géant économique et un nain politique Chapitre 6-La France et l’Allemagne face aux crises des années 1930 (Histoire): -Les caractéristiques

Introduction : Qu’est ce que la mondialisation ? - C’est l’extension du capitalisme occidental au monde entier. La mondialisation intègre et exclue à la fois. - C’est à partir des années 50 que l’économie devient plus internationale. Ce système marginalise 50% de la planète. - La mondialisation crée de forte tension, car il n’y a pas de gouvernance mondiale. Depuis une 15ène d’années s’est développée une contestation altermondialiste (autre mondialisation, contrôlé). De plus, les états nations

Programme de géographie de Terminale ES-L Mondialisation et dynamiques géographiques des territoires  IM Préambule Le programme de Terminale ES-L s’inscrit dans la continuité du programme de Seconde et Première et des apprentissages construits dès le collège : • Continuité dans les méthodes et démarches : l’étude de cas mais avec des nuances (Cf. infra). • Une approche synthétique et problématisée des questions abordées • Exercice du raisonnement, de l’esprit critique

Mondialisation et institutions internationales Chapitre 1 – Mondialisation : manifestations, justifications et contestations 11 – Remarques préliminaires sur les concepts 111 – Mondialisation économique a) Les différentes facettes de la mondialisation et l’indice composite de mondialisation KOF «  La mondialisation est défini comme un processus de création des réseaux de relations entre des acheteurs très éloignés, grâce à une variété de flux comprenant les personnes, l’information et des

compte 36 560 communes, avec un record départemental pour le Pas-de-Calais : 898 communes, c’est plus que la Grande-Bretagne (522 communes). La France dispose de 3 995 cantons, 96 départements, 22 régions mais avec pour chaque division de nombreuses contestation, mais à l’échelle européenne l’émiettement du territoire français est un inconvénient, un frein aux décisions, au dynamisme, la France doit donc faire évoluer son histoire administrative pour entrer pleinement dans la modernité européenne. 2

DES IDEES | A qui profite la mondialisation ? | | | | Table des matières Introduction 2 I. L’aspect économique de la mondialisation 2 1) Rapide historique de la mondialisation 2 2) Les flux de personnes 2 A. Les flux de travailleurs 2 B. Les flux touristiques 2 C. Les flux de réfugiés 2 3) Les flux de capitaux 2 4) Les flux de biens et services 2 5) La mondialisation des mafias 2 II. L’aspect culturel de la mondialisation 2 1) Les systèmes de valeurs

disponibles, susceptibles d’être reprises. Certes, en bon social scientist, Tilly sait que les pratiques ne sont pas l’exécution d’une partition ou d’un texte, et que l’histoire laisse rarement le temps de répéter. Aussi précise-t-il : un répertoire de contestation « ressemble plutôt à celui de la commedia dell’arte ou du jazz qu’à celui d’un ensemble classique. » L’analogie n’en est que plus féconde. Aux chercheurs, elle offre un cadre théorique robuste pour comparer les répertoires dans l’espace et dans