Lindicible Amour

surtout avoir pour fonction de décharger le héros de sa responsabilité dans sa chute. Prévost est obsédé par la fatalité de l’erreur passionnelle, par les puissances de l’imagination trompeuse, par l’impossibilité du bonheur. DG n’arrive pas à concilier amour et vertu, bonheur et morale. La Fatalité, c’est l’impossible conciliation entre les légitimes aspirations de l’homme à la félicité terrestre et son rêve de vertu, qui apparaît dès l’ « Avis du l’auteur ». Comment la passion, issue de ce qu’il y a de

« vengeance » = mot clé + « rassérène mon âme » : orgueil blessé pour M ( Corruption de C par V, elle apprécie d’avance… B) L’objet et l’instrument de la vengeance ( G est présenté comme un sot, or sa vraie faute est d’avoir blessé M dans son amour propre. Il a des exigences : belle, riche et correct, il a même des préjugés envers les blondes. ( Périphrase : « le sort inévitable » + « ne que » locution restrictive, il n’est vmt qu’un sot, or sot = très péjoratif puisque sc des lumières. ( C

chance, épargnent les deux acteurs de ce duel qui rendra l’honneur à La Vie française, ce qui lui vaut les félicitations de M. Walter et un redoublement de tendresse de la part de Mme de Marelle. Chapitre VIII Duroy et Mme de Marelle vivent leur amour secret tandis qu’arrivent de Cannes de mauvaises nouvelles concernant la santé de Charles Forestier. Mme Forestier demande l’appui de Bel Ami. Forestier meurt dans d’affreuses souffrances et Duroy en profite pour réitérer ses avances à Mme Forestier

Citations : Les Liaisons dangereuses "L'homme jouit du bonheur qu'il ressent, et la femme de celui qu'elle procure. Le plaisir de l'un est de satisfaire des désirs, celui de l'autre est surtout de les faire naître." (L.130) "On peut citer de mauvais vers, quand ils sont d'un grand poète." (L4) 'Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur.' (L.100) "La pitié, l'amitié et l'amour sont également étrangers

nous le livre ici. Avis personnel J'ai trouvé cette histoire effayante et facinante à la fois. Cette passion amoureuse qui conduit le Comte, pour préserver les convenances de son époque, à faire entrer Hauteclaire au service de son épouse. Cet amour qui pousse Hauteclaire à accepter de jouer ce rôle afin d'être toujours auprès de son amant. Renonçant par là à sa salle d'arme, à toute autre forme de vie, vivant dans la supercherie si longtemps auprès de la Comtesse. Et pour finir, les deux amants

développant de Marthe une image assez ambiguë, le narrateur adulte montre avec précision le caractère tragique de cette liaison vouée à l’échec, et qui s’achève avec la mort de l’héroïne. Le personnage de Marthe rappelle les héroïnes de Racine, car son amour aveugle, son goût de la révolte et de l’absolu, se heurtant à la réalité familiale et sociale, la conduisent à la seule issue envisageable, la mort. L’analyse psychologique prend souvent dans le roman la forme de maximes qui rappellent nettement celles

Exposé: Les Plaisirs de La Vie Ecume Des Jours I-LES SENTIMENTS A] Le Bonheur - lexique du rire: "riait; "rit"; 'rit de nouveau" + gradation (p85): "Elle rit encore, et le regarda, et rit de nouveau, encore mieux." --> transmission de la joie de vivre, du bien être. - Isis organise une fête pour l'anniversaire de son chien Dupont. Pour cette occasion, Colin apprend à danser le "biglemoi" (une danse rythmée de boogie-woogie) --> la danse nous permet de nous divertir, c'est une manière de s'amuser

traverse les époques. Son opposé, les pleurs peuvent eux aussi nous faire éprouver une grande émotion notamment lors d’œuvres dramatiques ou tragiques…Dans Roméo et Juliette de Shakespeare (1590), par exemple, lorsque Roméo déclare à Juliette son amour pour elle, le lecteur est touché par la beauté du lyrisme énoncé dans l’œuvre. Shakespeare utilise le lyrisme afin de toucher au plus profond de son cœur le lecteur et d’accentuer la beauté de la chose. Mais cette même œuvre peut aussi nous faire pleurer

s’agit d’un sentiment profond : « [j]e laissai de côté les Balzac...et tombai tout à tour amoureux... de Flaubert, de Gogol, de Melville, et même de Romain Rolland ». (136) 2.2.3 Il conclut finalement que « le flirt se transforma en grand amour ». (136) 2.3 Le narrateur est confronté à un choc culturel. 2.3.1 Le narrateur apprend grâce au personnage de Jean-Christophe, l’existence de l’individualisme et de la lutte individuelle puisque « jusqu’à cette rencontre volée avec

se marier mais elle partir. On peut alors se demander comment le départ de Camille annonce t-il un drame romantique ? Nous verrons dans un premier temps, nous verrons que ce départ est inattendu, puis nous verrons dans un second temps pourquoi cet amour semble alors impossible. Un départ inattendu. Maître Blazius pousse Perdican à se soucier de Camille, Perdican s’accorde alors à penser que le mariage aura lieu bien que le baron aie des doutes sur cette alliance. Mais c’est au tour de Camille