Linéaire Développé

croissance économique n’est pas la même dans tous les pays, de même le niveau de développement peut varier de manière importante selon les zones géographiques et les États. On distingue classiquement les pays industrialisés (PDEM), qui sont des pays développés et des pays en développement ou en voie de développement. Aujourd’hui, le groupe des PED est lui aussi très hétérogène. Au départ, ces écarts de développement ont été vus comme la conséquence de facteurs démographiques ou naturels (climat, absence

milliards. Il traite, sur 6 chapitres, des problèmes concernant la croissance démographique mondiale, les crises économiques, la limitation des ressources, les déséquilibres démographiques Nord/Sud, l'accroissement des inégalités sociales dans les pays développés, l'urbanisation, entre autres. On observe en premier lieu que le livre présente le problème qui touche l'humanité aujourd'hui: la population mondiale est passée de 1 à 6 milliards en moins de deux siècles; certains pays, parmi les plus pauvres

dans les pays dits développés est habituellement appelé «société de consommation». La consommation s'affranchit en partie de la contrainte alimentaire pour devenir un moyen de se distinguer socialement, elle n'existe que dans les pays développés. Le fonctionnement de l'économie mondiale souffre de déséquilibre de plus en plus flagrant. La consommation par habitant augmente régulièrement dans les pays industrialisés, depuis 25 ans en moyenne de 2,3% par an dans les pays développés; alors que sur la

de la compétition et de l'instruction. La rationalité moderne valorise l'économie des ressources (temps, argent, énergie, travail, matières), ce qui implique une obsession de la productivité, une exploitation intensive du travail, une conception linéaire du temps, tendu vers le progrès. La maîtrise de l'environnement naturel par le travail, la science et la technique suppose une sécularisation de la société et une séparation du sacré et du profane." 4. Politique de développement Les actions à

économique. (Kocoglu et Rodrigo, 2009). Enfin, certains penseurs développent l’idée de l’existence des effets de feed-back c’est-à-dire la causalité à double sens que les travaux économétriques entamés par Devlin et Hansen (2001) sur divers pays développés n’ont fait qu’entériner. En effet, ces auteurs ont réussi à classifier ces pays en trois groupes. Au niveau du premier groupe, composé notamment du Canada et du Japon, ce sont les dépenses de santé qui causent au sens de Granger le PIB. Le deuxième

de la dette. De même, l'ouverture de l'économie, si elle se fait à partir d'un pôle unique exportateur, crée des investissements trop spécialisés qui ne peuvent entraîner l'économie. La conception linéaire de Rostow ~ La problématique est bien différente chez Rostow pour qui « le pays le plus développé, industriellement ne fait que révéler aux économies les moins développées l'image de leur propre futur ». Les pays du tiers-monde se situent à des étapes antérieures de développement. Il suffit, pour

de la demande de biens d’investissements. Le terme Welfare State est apparu dans les années 40. C’est en effet à cette époque, après la 2nde guerre mondiale, que les pays occidentaux ont mis en place un système de solidarité qui n’a cessé de se développer depuis, appliquant les politiques keynésiennes. L’économie n’était pas aussi mondialisée qu’aujourd’hui et les politiques de relance étaient souvent très efficaces pour relever le niveau de demande. Ex : Aux problèmes des pays en développement,

MODELISATION MAXI 2/8 Méthode de calcul de Maxi Meneghetti 1 MODELISATION DU MAXI La recherche du Maxi est au cœur des pratiques des sports de haut niveau, elle l’est encore plus dans les disciplines de force athlétique comme le Développé Couché en compétition. Elle permet l’adaptation des entrainements suivant les individus et les disciplines. Le maxi tel que nous l’entendons peut se réaliser sans grande difficulté avec l’aide d’un partenaire ou de machine adaptée. Cependant c'est

banque mondiale utilise ce terme et fournit des arguments en faveur de cette formule plus optimiste. On a longtemps utilisé la notion de sous-développement pour qualifier les pays sous industrialisés et diminué de ressources pour les opposés aux pays développés à forte potentielle technique et économique. Ce concept de « sous-développement » est à la fois contestable et opératoire. Contestable parce qu’il désigne une inférieurité, insuffisance, un retard, il peut s’accompagner d’une connotation péjorative

réussi, consiste en l'adoption et la diffusion des valeurs et des approches qui ont assuré le succès du mode de vie occidental. Le paradigme de la modernisation, aussi connu comme le paradigme dominant, considère le développement comme un processus linéaire, cumulatif, évolutif et unidirectionnel (top-down/du haut vers le bas). Le paradigme dominant accorde une place privilégiée à la croissance économique, à l’urbanisation, à l’industrialisation, à l’utilisation de technologies à forte intensité capitalistique