Lion asiatique

La Fontaine en 1678. Il s’agit d’un poète moraliste français d’une grande renommée grâce à ses fables. Ce poète vécu sous le pouvoir du roi Louis XIV, sous un régime qu’il trouvait injuste. C’est pourquoi dans ce texte grâce aux personnages comme le Lion et l’âne il nous fait passer un message critique de ce pouvoir oppresseur. Ainsi on étudiera comment l’auteur renforce-t-il sa thèse par le récit ? De cette manière nous étudierons dans un premier temps la manière habile, discrète et convaincante de

Paris est en pleine effervescence. On est en 1931 et l'Exposition Coloniale s'apprête à ouvrir ses portes. Les représentants de chaque colonie sont venus en groupes du monde entier. Mais loin de vouloir mettre en valeur leur culture, leur singularité et leur richesse, on leur demande de se comporter en sauvages. Parquée dans un enclos, entre les lions et les crocodiles, une tribu de Kanak (c'est à dire les habitants de Nouvelle-Calédonie) va ainsi subir les mauvais traitements des français et va

Le voilà À M. M., docteur de Sorbonne De tous les animaux qui s'élèvent dans l'air, Qui marchent sur la terre, ou nagent dans la mer, De Paris au Pérou, du Japon jusqu'à Rome, Le plus sot animal, à mon avis, c'est l'homme. Quoi ! dira-t-on d'abord, un ver, une fourmi, Un insecte rampant qui ne vit qu'à demi, Un taureau qui rumine, une chèvre qui broute, Ont l'esprit mieux tourné que n'a l'homme ? Oui sans doute. Ce discours te surprend, docteur, je l'aperçoi. L'homme

Un animal cornu blessa de quelques coups Le Lion, qui plein de courroux, Pour ne plus tomber en la peine, Bannit des lieux de son domaine Toute bête portant des cornes à son front. Chèvres, Béliers, Taureaux aussitôt délogèrent, Daims, et Cerfs de climat changèrent ; Chacun à s'en aller fut prompt. Un Lièvre, apercevant l'ombre de ses oreilles, Craignit que quelque Inquisiteur N'allât interpréter à cornes leur longueur, Ne les soutînt en tout à des cornes pareilles. Adieu

dans le monde réel, un prédateur : le lion, le renard, le loup, le tigre et l'ours. Dans la fable, ils ne forment qu'un puissant être contre l'âne sans soutien. Enfin, La Fontaine fait preuve dans Les animaux malades de la peste, d'une très grande variété de styles. Les différents types de discours s'enchaîne dans une harmonie permettant la fluidité du récit, on retrouve ainsi le discours direct, indirect et indirect libre, prononcés tantôt par le lion, puis l'âne et le renard et enfin par

Séquence 1 Texte analytique 2: RUY BLAS, Victor Hugo - V,4 INTRO: 1838 L'Acte V : « le tigre et le lion », le tigre pour Don Salluste (ruse, puissance) et le lion pour Ruy Blas (courage, vaillance). dernier acte de la pièce -> l'ultime affrontement entre Don Salluste et Ruy Blas. dernière scène du dernier acte => C'est le dénouement de la pièce. reine éclairée sur la machination de Don Salluste et ce qu'elle considère comme une trahison de Ruy Blas, refuse de pardonner le

Sévigné, de qui les attraits Servent aux Grâces de modèle, Et qui naquîtes toute belle, A votre indifférence près, Pourriez-vous être favorable Aux jeux innocents d'une Fable, Et voir, sans vous épouvanter, Un Lion qu'Amour sut dompter ? Amour est un étrange maître. Heureux qui peut ne le connaître Que par récit, lui ni ses coups ! Quand on en parle devant vous, Si la vérité vous offense, La Fable au moins se peut souffrir : Celle-ci prend bien l'assurance De venir à vos pieds s'offrir

LouisXIV. Dans sa fable il parle dans la deuxieme partie d'une guerre éminente ,il parle du peuple "l'animal aux têtes frivoles" et au vers 64 il parle bien sur des fables. dans le livre 7 fable 7 "La cour du Lion" La Fontaine met en scène le souverain a travers sa figure emblèmatique le lion. Omme je le vous disais plus haut notre poète a de mauvaise relation avec le roi qui exprime dans cette fable. Un fagatin est un bouffon du roi louvre représente le centre du pouvoir religieux l'ours représente

un simple charognard .Or elle est aussi et surtout un puissant prédateur. Les Fauves Ces grands félins sont au sommet de la pyramide alimentaire, ils n’ont pas de prédateurs. Ils se régalent d’herbivores ou de rongeurs. Parfois cependant, un lion ou une hyène mange un guépard ou un serval. Dans la couleur de la savane herbeuse ou ils vivent les fauves se dissimulent facilement dans les hautes herbes jaunies par le soleil. Le Léopard grimpe dans les arbres pour s’y abriter ou dévorer une proie

seront divisés en livres. Dans son œuvre, La Fontaine fait une critique sociale et universelle de l’homme à travers les animaux. Cela lui permet d’éviter la censure. « Le lion malade et le renard » est la 14eme fable de ce libre. Le Livre VI des Fables de La Fontaine reprend plusieurs sujets du poète grec Ésope, et notamment celui du Lion malade et du Renard. Ce sont là des personnages familiers du monde des apologues. En quoi cette fable offre une leçon de prudence face au discours des puissants. Pour