Lion belgique

Vous ferez un commentaire composé de la fable « le lion et le moucheron » Jean de La Fontaine, célèbre poète français du 16è siècle est connu comme le plus grand fabuliste français. Il offre ici une fable intitulé « Le lion et le Moucheron », faisant partie du premier recueil des Fables de la Fontaine. Cette fable raconte la rencontre d'un lion et d'un moucheron. Dans un premier temps le lion déclare la guerre au moucheron mais meurt finalement par celui-ci. Dans un second temps, c'est le moucheron

Disparition progressive du lion d'Asie Le territoire du lion d'Asie est en réduction constante. Vivant il y a plusieurs année de l'Inde jusqu'au Maroc, présent en Europe on ne le trouve plus que dans une petite partie de l'Inde. A la différence d'une lion d'Afrique qui vit dans la savane, le lion d'Asie, vit dans la forêt de Gir. Physiquement le lion d'Asie est plus petit et à une tête moins massive que le lion d'Afrique ainsi qu'une crinière moins épaisse. Le mâle pèse en moyenne 175 kg

pouvoir par la parodie du langage législatif, exécutif et judiciaire. (« Toute bête … » donne un style de texte de loi, nous sommes dans un style d’Edit royal. La Fontaine veut nous faire passer ce que le lion a mis en place dans son royaume). La Fontaine utilise des animaux symboliques, le Lion représente le Roi (dans le monde animal c’est aussi le roi), le lièvre représente les sujets (le lièvre est un animal craintif, la peur qui se traduit par la fuite), le grillon est le symbole du foyer (en

Résumé - "Le lion de Joseph KESSEL. Un journaliste en voyage en Afrique, avant de rentrer chez lui, décide de faire un détour dans une réserve naturelle, au Kenya. Le matin du premier jour, il est réveillé par un petit singe et un bébé gazelle et lorsqu’il sort se promener, il découvre sous les rayons du soleil naissant, le spectacle merveilleux des animaux se désaltérant dans un marécage. Comme hypnotisé, il descend pour les rejoindre et est arrêté par une petite fille, Patricia. C’est la fille

LANGAGE POLITIQUEMENT CORRECT ) : Cacher l'aspect déplaisant de ce que l'on dit. EXEMPLE : Les personnes du troisième âge -> Les vieux PERIPHRASE : Donner la définition d'un mot au lieu de dire ce mot. EXEMPLE : Le roi des animaux -> Le lion Un quiproquo : est un malentendu, une méprise sur l’identité d’un personnage. Antiphrase :C’est sous-entendre le contraire de ce que signifie une phrase énoncée : on dit ainsi le contraire de ce que l’on pense réellement. Exemple: En voyant passer

que ces trois textes appartiennent au même genre littéraire. Ce corpus est constitué de trois textes, écrits par Jean de la Fontaine, célèbre fabuliste du XVIIe siècle. Il s’agit de trois œuvres nommées : « Les Loups et les Brebis », « Le Lion s’en allant en guerre », extraits des Fables en 1668, ainsi que « Les Deux coqs » écrit en 1678. Il s’agira ici de montrer que ces textes se rapportent au même genre littéraire. Tout d’abord, il est possible de distinguer que ces trois textes

sein des campements. Pourtant, en 1939, la découverte de la statue de l’Homme-Lion, datant de – 32 000 avant JC, puis d’une statue encore plus ancienne quelques années plus tard remet totalement cette hypothèse en question. Dans un premier temps, il s’agira d’étudier la typologie de l’ensemble des statues du Gravettien et de l’Aurignacien pour ensuite se concentrer sur le contexte archéologique de la découverte de l’Homme-Lion. Ce qui entraînera par la suite une comparaison aux peintures rupestres afin

partie est une sorte de prologue qui définit de façon tragique la peste et ses conséquences néfastes sur les animaux, tant sur le plan moral que social. (v.1à14). La deuxième partie est essentiellement composée de dialogue entre des animaux tels que le lion, le renard et l'âne, le tout au style direct, auquel vient s'ajouter les propos du loup rapportés au style indirect libre (v.15à61) et la situation finale : l'exécution du plus humble et de l'innocent : l'âne. La troisième partie est constituée d'une

modifié. Une réécriture peut aussi être produite sous forme de pastiche, il s'agit de reproduire minutieusement le style de l'auteur en imitant ce qu'il aurait pu écrire. Jean de La Fontaine, s'y attelle dans sa fable Le Lion et le Chasseur, il avoue ouvertement dans Le Pâtre et le Lion , avoir pastiché la fable d'Ésope.

trop bon roi », « vos scrupules », « vos délicatesses ») tout en dénigrant ses victimes par antithèse, ce que va souligner l’emploi d’une gradation (« moutons, canailles, sotte espèce ») au vers 36. Il transforme le verbe « dévorer » employé par le lion (v. 26) par le terme «croquer » (37) beaucoup plus léger. Progressivement, la faute est déplacée sur la victime, en particulier « le berger », « digne de tous les maux » (40). L'expression « sotte espèce » paraît anticiper l'intervention de l'âne