Lionel Jospin

limite des contraintes matérielles (…) cette pratique souple et tolérante de la laïcité exclut cependant de transformer les établissements scolaires en lieux d'affrontement entre croyants de différentes confessions ou avec les non-croyants. » Lionel Jospin, ministre de l'éducation de l'époque, déclarera qu'il faut respecter « la laïcité de l'école qui doit être une école de tolérance, où l'on n'affiche pas, de façon spectaculaire ou ostentatoire, les signes de son appartenance religieuse. » Il précisera

surprise lors d'une élection présidentielle à savoir, la présence de Jean Marie Le Pen, président du Front National (FN) au second tour de l'élection présidentielle. Déjouant la plupart des pronostiques qui plaçaient le premier ministre sortant Lionel Jospin, candidat du parti socialiste (PS) et le président de la république sortant Jacques Chirac représentant le rassemblement pour la république (RPR), le candidat frontiste arrivait en deuxième position dérrière Jacques Chirac. Tout d'abord, nous

Proche du Parti communiste français (PCF), il s'en éloigne « en apprenant l'économie »19. Il adhère en 1976 au Parti socialiste. Après un court passage au CERES de Jean-Pierre Chevènement, il se rapproche de Lionel Jospin, premier secrétaire du PS, qu'il conseille à partir de 198120. Il est secrétaire national du PS, chargé des études et du programme (1986-1988), puis de l'économie et des finances (1988-1989). Les militants socialistes de la Haute-Savoie rejettent sa candidature en vue des élections

élections présidentielles de 2002, les différents instituts de sondage donnent Lionel Jospin largement vainqueur du Premier Tour, loin devant Jacques Chirac et Jean-Marie Le Pen. Pourtant, lorsque les résultats tombent, Jospin perd dès le premier tour, avec seulement 1 % des suffrages exprimés de moins que le président du Front National. Ce fut une énorme surprise pour tout le monde, et bien sûr encore plus pour Lionel Jospin : les chiffres donnés par les instituts de sondage étaient tant en sa faveur

Chirac et à environ 200 000 voix devant le candidat socialiste, Lionel Jospin. D’un point de vue sociologique, ces électeurs comptent principalement, lors du premier tour de l’élection présidentielle de 2002, des hommes (57 % contre 42 % chez Jacques Chirac et 49 % chez Lionel Jospin), des personnes issues des couches les plus populaires (73% d’ouvriers et d’employés contre 51 % chez Jacques Chirac et 47 % chez Lionel Jospin) et des citoyens relativement peu diplômés (29 % de niveau baccalauréat

à mesure de son mandat sa popularité sera entaché des reformes défendues. (Histoire Balladur, Jospin...) Le président ne peut pas en début de mandat refuser de signé, il doit laisser libre cour a la démocratie. Il va s’en servir comme un élément de négociation, de ralentissement, d’influence sur les nominations. (Envoie de troupe a Abidjan par Chirac, impossible Lionel Jospin s’y oppose ; Hamas Jospin) Le domaine réservé du président de la république il sera assez disputé par le premier ministre

Pour la première fois depuis 1981, un Président sortant n’est pas candidat. Le 7 mai 1995, c’est en France la septième élection présidentielle de la Vème République. Neuf candidats se sont présentés au premier tous, et ce sont Jaques Chirac et Lionel Jospin qui s’affrontent au second tour. Quatre mois avant l’élection, la droite a deux candidats issus du même parti, et le principal parti d’opposition, le PS, n’a pas encore trouvé le sien. Cette élection a été marquée par un fort taux d'abstention

. Chacun sait que la réforme envisagée ne changera pas cette anomalie, mais elle corrigera ce qui peut l’être » Lionel Jospin né le 12 juillet 1937 à Meudon, est un homme politique français représentant du Parti socialiste. Ancien diplomate et enseignant en économie, il est devenu député du XVIIIe arrondissement de Paris puis de Haute-Garonne à Cintegabelle jusqu’en 1997. Lionel Jospin remplissait de même la fonction de ministre d’Etat, ministre de l’Education nationale de 1988 à 1992. Il est ensuite

et Bruno Le Roux, s’étaient efforcés aux aussi de tirer la sonnette d’alarme dans le parti. L’aggiornamento eut pour chef d’orchestre Lionel Jospin. Un premier pas est franchi lors de la campagne présidentielle de 1995, sous l’impulsion de Daniel Vaillant. Sous la pression conjuguée des élus locaux et des études d’opinion que lui soumet Gérard Le Gall, M. Jospin va plus loin lorsqu’il accède à Matignon, deux ans plus tard. Dans sa déclaration de politique générale, le premier ministre qualifie la

gouvernement Cresson. 13. Pierre Bérégovoy (PS, 1992-1993) : gouvernement Bérégovoy. 14. Édouard Balladur (1993-1995) : gouvernement Balladur. 15. Alain Juppé (RPR, 1995-1997) : gouvernements Juppé (1) et (2). 16. Lionel Jospin (PS, 1997-2002) : gouvernement Jospin. 17. Jean-Pierre Raffarin (UMP, 2002-2005) : gouvernements Raffarin (1), (2) et (3). 18. Dominique de Villepin (UMP, 2005-2007) : gouvernement de Villepin. 19. François Fillon (UMP, nommé en mai 2007 par Nicolas Sarkozy)