Le président en période de cohabitation
A. Un chef d’état politiquement désavoué
1. Les conséquences de la sanction des urnes
La cohabitation est surtout le résultat du désaveu du président, car juridiquement prérogatives très mince. En étant désavoué par le peuple il va perdre une certaine légitimité car on retire la confiance placé en lui. Avec un parlement hostile il ne pourra faire passer aucune loi. Les pouvoirs entre premier ministre et président répartition des compétences (partagés et propres), nous pouvons constater que nous revenons à une pratique plus proche de la lettre de la constitution (origine).
2. De prérogatives limitées
En période de fait majoritaire ; ils étaient quasiment confondues au profit président république, le pouvoir de nomination et de révocation (premier ministre)qu’il s’était arrogé, n’étant point prévu par la constitution. Car on se retrouve face à un premier ministre qui n’a que deux solutions obéir au président ou démissionner.
En période de cohabitation : article 16 « les crises majeurs », possibilité de dictature moderne..
Article 12, il pourrait s’en servir s vraiment la cohabitation bat de l’aile, perte de crédibilité. Cependant cela ne c jamais vu. Juridiquement c’est un pouvoir qu’il détient toujours mais politiquement cela n’est vraiment plus trop possible et même déconseillé.
Concernant la Nomination du premier ministre, il le possède toujours car il devra nommer son adversaire.
Juridiquement il possède toujours l’étendu de ces prérogatives, mais politiquement ils sont difficilement applicables au début de la cohabitation. «Le pouvoir use de ce qui en use » plus difficile a appliqué en début de mandat car la cote de popularité du premier ministre sera au maximum à cette période. En cours de mandat dans sa quête de recherche de l’intérêt général, au fur et à mesure de